Ne me rends pas fou bébé,
Tu me donnes des sales idées,
Tu ne peux pas te marier.

Maintenant, que je t'ai trouvé,
Je serais là pour te rassurer,
Personne ne pourra te toucher,
Je serais ton bouclier.

J'ai formé une armée,
Tout autour de ton foyer,
Pas pour te surveiller,
Mais plutôt être assuré,
Que personne ne puisse te piquer.

Doucement, ne joue pas avec mes sentiments, après avoir tant chercher enfin trouvé(e), il ne faudrait que de l'essence pour t'enflammer.

Le cannabis nouille à ta vie,
Regarde encore un délit,
Tu vas avoir des graves ennuis.

T'es sourd ou tu le fais exprès,
Regarde-toi dans la glace,
Tu verras ta vraie face,
Qui se cache derrière tes méfaits.

Le jour de mon anniversaire,
C'est une guerre,
Une vraie soupe d'ennui.

Que je viderai bien dans le lavabo,
Car je travaille dans la ville de Paris,
Et mes parents refusent de venir en duo,
Car ils habitent loin d'ici.

À toi, je me suis attaché,
Tu sais, je te protégerai,
Je te rôderai toujours autour,
Comme un vautour.

Tu es ma reine,
Et mon âme-sœur,
J'attendrai que tu dors,
Pour te regarder même si tu n'es pas d'accord,
Mais demain réveille-moi de bonne humeur.

Est-ce que je suis prête à grandir,
Ou de devoir souffrir,
Je veux savoir ce que je vais devenir,
Ou à qui appartenir

Est-ce que je serai capable de me protéger,
Ou j'aurai besoin d'un bouclier ?
Dis-moi la recette pour moins stresser,
Raconte-moi tout avant le danger.

La vie de rêve,
Je dois l'admettre,
Mais plein de mal-être.

Quand tu vois les autres,
Qui essayent de s'en remettre,
Et d'autres qui profitent de la retraite,
Alors donne-leurs une raison pour ne pas sauter de la fenêtre.

Elle se lève dépourvue d'air,
Tout le temps en galère,
En attendant d'être cueilli par un volontaire.

Qui la choisira esthétiquement,
Pour sa couleur primaire,
Et pour son odorat très épicé,
Qui ravira sa partenaire.

L'amour devient chelou.
Ou même un échec.
La vie est de la merde,
Je dois l'admettre.
Ton cœur est en miette,

Allume ta cheminée, ça va être la fête,
Tu devras défaire ta laine.
Je sens ton coeur l'ouest,

Arrête de te gaufrer de chips,
J'ai mal à la tête.
T'as même pas de politesse,
Je dit bonne chance à vous tous.

On s'est connue en primaire,
Tu habitais à la frontière,
J'adorais le lawn-tennis comme ta mère,
Tu m'avais dit que le club en France, c'était une merveille.

Je rêvais d'y aller, mais ma mère était une misère,
Tu te rappelles elle t'as suivi avec une scie circulaire,
Car on est monté en haut de la falaise,
Tu adorais les phases lunaires.

Tu m'as dit que t'aller surmonter, ce calvaire,
Mais t'as fait le contraire.