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Aoren

France.
Aoren
" Écoute, je te l’ai déjà dit, mais je vais recommencer, parce que tu n’as pas l’air d’avoir compris le message : laisse tomber cette histoire, oublie-la et rentre chez toi. Mange et ris avec ta famille parfaite, dors sur tes deux oreilles, n’ouvre pas les placards et tu ne trouveras pas les squelettes à l’intérieur. Mais sinon…
Il me dévisage pendant un moment qui semble durer des heures, puis recule lentement, et disparait dans la nuit.
N’ouvre pas les placards, et tu ne trouveras pas les squelettes à l’intérieur. Mais sinon…
Sinon quoi ?"

Keya crève de faim dans les rues, sans emploi. Lorsqu'elle réussit à décrocher un travail, elle est si heureuse qu'elle ne se demande même pas s'il s'agit d'un coup fourré.
Pourtant, alors que les bizarreries se multiplient, elle commence à se poser quelques questions. Quand elle trouve un homme en train d'agoniser, il lui devient impossible de fermer les yeux.
Elle se met à essayer de comprendre ce qu'il se passe autour d'elle, à reconnaître ses alliés et à chercher la vérité.
Mais à quel prix ?
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Défi
Aoren
Ceci n’est pas un testament. Pourquoi ? C’est bien simple : tu m’as tout pris. Le sourire, la joie, les rêves, les autres, tu as tout pompé jusqu’à plus soif et maintenant, il ne reste plus que moi. Une carcasse desséchée, molle et brisée de moi. Je n’ai plus rien à léguer. Mais pourtant, je ne t’en veux pas. Je suis le seul responsable. Je n’aurais jamais dû te croire, te faire confiance, te laisser m’amadouer comme on dompte un âne avec une carotte et quelques caresses, avant de le rouer de coups de bâton et de le charger d’un fardeau impossible à porter seul. De ce fardeau, tu t’es délesté. De ce fardeau, tu m’as incombé. Et c’est à mon tour, maintenant, de me délester : je ferai glisser ma chemise sur mes épaules, mon pantalon sur mes hanches, balancerai mes chaussures au loin. Je m’attacherai de nouvelles chaînes aux pieds, mais celles-ci ne seront pas métaphoriques comme les tiennes. Noires, solides, tangibles elles m'entraîneront vers le fond. Le lac, lui, au contraire, est d’un bleu miroitant. Non, je ne suis plus en colère, je crois. Quand on est arrivé là, la colère n’a plus d’importance. Seuls, les regrets demeurent. Ceci n’est pas un testament. C’est une lettre, un dern
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Aoren
Cette histoire raconte la rencontre entre une jeune femme mi-phoque, mi-humaine, et un pauvre pêcheur du nom de Tomag. Et puisque c'est un conte de fée, le pêcheur va tomber fou amoureux d'elle et, lorsqu'elle disparaît dans l'eau glacée, ne plus penser qu'à elle.
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