Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

MehdiEval

MehdiEval
Sous le règne de Philippe le Bel, deux demi-frères grandissent ensemble à l'ombre d'une forteresse. L'un est l'héritier d'une noble lignée ducale, l'autre un enfant illégitime. Malgré ces inégalités de naissance, rien ne semble pouvoir briser leur fraternité : ni crime, ni trahison... ni amour.
Illustration de couverture: Smalt-Fur creations
628
813
1392
646
MehdiEval
Suite du Chevalier Bâtard, disponible ici : https://www.atelierdesauteurs.com/text/2093982973/le-chevalier-batard

Pour sauver leur vie, le chevalier Daniel a dû fuir avec sa nièce, Amelina d'Autremont, héritière de deux puissantes seigneuries.
A bien des lieues de là, une femme revient d'entre les morts, la mémoire effacée.
Les liens du passé pourront-ils les réunir ?


Illustration de couverture: Smalt-Fur creations
265
465
531
326
MehdiEval
Ma version librement inspirée d'un véritable conte médiéval, intitulé "le Roman de Silence".

J'ai écris ce conte pour m'amuser, me détendre d'autres travaux d'écriture plus (trop ?) sérieux. Je ne le retoucherai donc pas beaucoup, même s'il y a sûrement plein de défauts ; néanmoins, j'espère que vous serez autant divertis à le lire que je l'ai été à l'écrire.
17
18
11
94
Défi
MehdiEval
La gamine a souri de ce genre de sourire solaire que Myriam avait tout le temps. Qu'elle a toujours, j'espère. Je sais pas. Ça fait un an maintenant que j'ai pas revu ma fille et ça changera pas tant que je traînerai le fond de mon pantalon dans la fange en tendant la main. Quelle ironie. C'est pour elle que j'avais accepté le deal de ce patron infect, au fond. Tu parles d'un deal : un chantage, plutôt ! Je pouvais pas me permettre un procès pour coups et blessures, vraiment pas. Quand bien même ce vaurien de Bernard les méritait dix fois. Mais ce vaurien de Bernard, c'était un protégé. Le rejeton du patron, rien que ça. Ceux qui lui permettaient d'avoir de l'avancement pouvaient espérer être eux-même promus. Mais bon avec moi y avait pas besoin de se donner tant de peine. Ils allaient étouffer l'incident, ouais, Bernard sera officiellement tombé sur sa canne de golfe ou quoi, à condition que je ponce tout son boulot à sa place. En plus du mien, bien sûr. Et c'est lui qui récolterait tous les lauriers, bien sûr. J'ai pensé à la frimousse de Myriam, son visage rond qui avait déjà dû changer. Ça se transforme vite à cet âge-là, une vraie métamorphose. La mère avait argué au divorce q
2
4
3
2
Vous êtes arrivé à la fin
0