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Cyrielle Joannard

Lyon.
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Cyrielle Joannard
Sous le dôme 348, toutes les demoiselles désirent devenir des Lady et épouser des Messieurs riches et important, comme Lysandre, le fils du gouverneur. Enfin, presque toutes. Mélody n'est pas de haute naissance et se moque bien des étiquettes, préférant bricoler ses machines dans son coin. Ces deux être n'étaient pas faits pour s'aimer, ni même pour se rencontrer. Pourtant, les chemins croisés s'entremêlent, mais parfois la passion est plus forte que tout.

Histoire publié sur Fyctia dans le concours New Romance "(N)ever"
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Défi
Cyrielle Joannard
Une princesse se réveille, sans aucun souvenir, le jour de son mariage! Complètement perdue, elle n'est pas disposée à accepter cette union, surtout que son futur époux n'a pas l'air d'être le prince charmant que tout le monde croit. Et si sa soudaine amnésie avait un lien avec le destin de son royaume, et surtout avec ses étranges nouvelles capacités?

Je sortirais cette série le lendemain de la publication de chaque chapitre sur la plateforme fyctia sous le même pseudo :)
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Cyrielle Joannard
Ceci est un recueil de poèmes et de textes que j'ai écrit étant enfant et que j'avais soigneusement consigné dans un carnet. Je le retrouve aujourd'hui, alors ça ne rime pas toujours, il n'y a pas forcément le bon nombres de pied, mais cela a été écrit avec le cœur, le cœur d'une enfant.
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Défi
Cyrielle Joannard

"Quelle belle promenade nous faisons,
Tu es si belle sous ton petit chaperon
Tes parents, savent-ils seulement
Que je te suis depuis tout ce temps?
Mefiez-vous, bientôt votre petit bout de chou
Sera-t-il mangé par le grand méchand loup?"
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Défi
Cyrielle Joannard

À toi, mon cher otaku,
Comment te dire encore une fois que tu me manques? Je crois que j'ai épuisé toutes les expressions possibles!
Je n'ai toujours pas fini l'immense pile de mangas que tu m'as prété la dernière fois. Je les adore tellement que je veux faire durer le plaisir.
J'ai hâte de te revoir enfin, passer un peu de temps seule avec toi, prendre la place de ton dakimakura et me blottir contre toi pendant des heures. Nous regarderons le dernier animé que tu as trouvé, puis en changerons parce qu'au final il ne sera pas terrible, jusqu'à trouver la perle rare. Comme je t'ai trouvé toi.
Je n'ai peut-être pas les courbes parfaites de tes waifus préférées, celles qui recouvrent les murs de ta chambre, mais j'ai le mérite d'être en 3D! Et aucune d'entre elles ne saurait t'aimer autant que moi!
Nous sommes unis et pourtant si loin, nous passons tout deux le plus clair de notre temps sur nos écrans, à jouer, regarder des vidéos, s'informer des dernières sorties. Peut-être est-ce là le moyen que nous avons trouvé pour nous rapprocher l'un de l'autre, même si tu restes trop avare en messages à mon goût.
Mais parfois, je suis d'accord, nous n'avons pas besoin de parler. Tous les deux allongés dans un grand lit, un manga dans les mains, seule la présence de l'autre nous comble de bonheur. Parfois, tu prendras ton pc pour jouer à Age of Empire, pendant que je continuerais d'élever mes pokémon, quête que j'entreprends depuis mon plus jeune âge.
Nous préparerons chacun nos prochains cosplays pour les conventions à venir. Un guerrier médieval fantastique pour toi, une lady ingénieur steampunk pour moi. Chacun avec notre propre caractère mais parfois assortis, j'aime nous voir dans ces costumes qui nous transportent dans des mondes imaginaires. Le rêve est éphémère, la réalité nous rattrape toujours et nous devons chacun retourner à nos vies respectives. Malgré la distance, malgré tout ce temps séparés, je ne cesse de penser à toi, au moment où nous serons enfin réunis. À notre future maison, avec une grande bibliothèque, un salon rempli de console de jeux, des fan-arts de nos héros préférés recouvrant les murs. Et tous nos amis, qui viendrons partager avec nous cette passion autour d'un jeu de rôle ou d'une soirée jeux vidéo.
À bientôt, pour recharger un peu de notre mana!
Je t'aime!
Ta healeuse préférée <3
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Cyrielle Joannard
Ce texte est une version conte du clip et de la chanson "A little piece of heaven" par le groupe Avenged Sevenfold. Des modifications sont à apporter, car j'aimerais y apporter une dimension un peu plus macabre tout en ne virant pas dans le gore (je ne sais pas si c'est possible, enfin j'essaye). De plus, j'aimerais également plus me raccrocher au texte et au clip pour avoir un rendu fidèle et qui y fasse honneur. Ceci n'est donc encore qu'un premier jet.
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Défi
Cyrielle Joannard
Quand une licorne rend visite à une jeune fille...
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Cyrielle Joannard
Les début d'une jeune fille dans un jeu vidéo en réalité virtuelle dans une ambiance steampunk, tout est dit! :)
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Défi
Cyrielle Joannard

Abygaëlle rentrait doucement de sa journée de travail. Pas n'importe lequel. Abygaelle était écrivain et cherchait à faire éditer son manuscrit par les plus grandes maisons de Londres. Pourtant, elle peinait à faire valloir son oeuvre.
- C'est tout à fait différent de tout ce que nous avons lu, lui disaient les responsables éditoriaux. Votre plume est intéressante, mais je crains que notre maison ne puisse pas diffuser ce genre de texte. Cela s'éloigne beaucoup trop de nos habitudes.
Et comme chaque soir depuis maintenant une semaine, Aby revenait bredouille à son hôtel. Mais ces echec n'affectaient en rien la détermination de la jeune fille.
- Mes objectifs restent les même, se disait-elle. Je ne dois pas me laisser faire!
Dans la rue où se trouvait son hôtel, une vieille femme laide aux yeux bridés faisait la manche, assise contre un mur. Elle baraguinait dans un flot de mots incompréhensible, certainement du wu ou un autre dialecte asiatique. Aby ne la comprenait pas, mais l'on pouvais traduire son charabia en ces mots:
- Bonsoir, noble demoiselle, disait la vieille aux vêtements pleins de trous. Auriez vous l'aimabilité de venir en aide à une pauvre ère dans le besoin?
La jeune fille ne connaissait pas ces mots, mais les intonations lui plaisait, et la vieille dame avait une voix encore claire pour son âge. Elle glissa au creux de sa mains une petite pièce avant de poursuivre sa route.
- Merci beaucoup, jeune demoiselle! Tu vas faire de grandes choses, j'en suis certaine, disait la mendiante, le sourire aux lèvres.
Même si elle ne comprenait toujours pas, la voix semblait heureuse, Aby l'était donc aussi. Juste à côté de l'hotel, une boulangerie laissaient s'échapper de ses murs de douces odeurs. Dans l'arrière boutique, on pouvait aperçevoir par une petite porte le boulanger. Il modela ses pains pour le lendemain, fabriqué à l'aide de différentes farines, avant de venir à la rencontre de la demoiselle.
Aby quitta le magasin avec une petite patisserie typiquement française, souvenir de ses voyages à Paris. Elle atteingnit enfin son hotel, promesse de prendre un peu de repos.
Au rez de chaussé se trouvait un bar restaurant dans lequel quelques habitués venaient prendre un dernier vers avant de rentrer chez eux. Certains semblait être des travailleurs assez banals, mais d'autre, Abygaëlle le savait, était des criminelles de bas étages, des sbires de la mafia londonienne, peu discret quant à leurs occupations. À une table, justement, deux d'entre eux parlaient de leur dernier coup.
- Et c'est à ce moment la que le type se noya! dit l'un en riant à gorge déployée à son accolyte. Je te jure, tu aurais dû voir ça!
- Ah ah! Ça tombe bien, le patron hait ce mec, reprenait son compagnon en portant à ses lèvres son godet de cuivre. Mais c'est du passé!
Abygaëlle ne pouvait cautionner ces agissements, mais elle ne pouvait rien faire. Un jour, se promit-elle, elle les dénoncerait à la police. "Vous traquez et vous exterminez tout ceux qui se mettent en travers de cotre chemin, et sans être puni. Il faut apprendre à faire avec, à contourner les obstacles, au lieu de tuer juste pour avancer!". Voila ce qu'elle aimerais leur dire, mais du haut de ses frèles épaules et de ses seulements vingt deux ans, elle n'aurait eu aucune crédibilité auprès de ces malfrats.
La jeune fille fini par s'approcher du tenancier pour lui annoncer qu'elle restera quelques jours de plus en ville, faute de n'avoir pas trouvé d'éditeur.
- Très bien, mademoiselle, lui répondit-il. Puis-je débiter votre compte?
- Faite, faite, termina Aby avant de s'éloigner.
Dans les étages, c'était toujours autant le souk. De nombreux habitués invitaient des filles de peu de vertues dans les chambres de l'hotel, malgré sa très bonne réputation, et l'on pouvait entendre souvent les ébats des amants d'un soir ou d'une heure. Heureusement, les chambres étaient elles-même bien isolées, Abygaelle pu donc retrouver un peu de calme avant de se remettre à écrire.
La nuit passée, elle avait écrit à une de ses anciennes copine d'internat, et cela lui avait pris toute la soirée, l'empèchant de travailler sur ses manuscrits. Ce soir, elle travaillerait sur son oeuvre, prévoyant d'annexer de nombreuse pages afin de mieux faire comprendre son univers aux éditeurs. D'après eux, sa griffe était beaucoup trop audacieuse pour une femme de l'époque, toute vêtue de tournure et de soie. Abygaëlle comptait bien faire changer les choses et faire une place à la gente féminine dans la littérature, de quelque nature qu'elle soit.
- En toi luit une force nouvelle, une modernité sans précédant, lui avait dit son père qui avait lu ses premiers textes, quelques temps avant de la quitter. Ne perds pas espoir, fait entendre tes idées. Un grand avenir s'offre à toi.
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Cyrielle Joannard
Mady semble être une domestique comme les autres, elle s'occupe de son mieux de la maison dans laquelle elle travaille ainsi que de ses propriétaires. Pourtant, le regard des autres blesse son cœur robotique, alors que son seul but, son vœux le plus cher, est de pouvoir aider le monde entier.
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Cyrielle Joannard


C'est une tempête qui fait rage. Le vent ravage tout sur son passage, rien ne lui résiste. L'eau qui dormait se trouble de plus en plus, les vagues naissent et gagnent en puissance. Les feuilles des arbres sont arrachées et accompagnent le souffle des rafales. Les vagues s'écrasent avec fracas contre les falaises d’où s'écroulent des pans de roche dans l'écume. Le tonnerre gronde et la pluie tombe sans interruption.
Mais personne ne s'en aperçoit. Cette tempête est retenue dans un dôme de verre, et donne libre court à sa violence sans déranger le monde extérieur. Elle est là mais personne ne l'entend.
Jusqu'à ce que le dôme montre des signes de fatigue. Il s'assombrit, petit à petit, jusqu'à ce que la pression à l’intérieur devienne trop forte pour résister. Le dôme montre des signes de faiblesses, il se fissure mais essai de tenir encore. Il veut montrer sa résistance, qu'il est fort et sait tout encaisser. Mais comme chaque chose en ce monde, il possède ses limites.
Alors, fissuré de toute part, le dôme de verre éclate. Toute la force de la tempête envahi les environs et plus encore. L'eau s'écoule de tous les côtés, recouvre toute la terre. La pluie n'arrange rien et frappe durement le sol. Le vent siffle et rafle tout, chaque chose s'envole, les feuilles, les branches, les bris de verre du dôme, tout est projeté partout et nulle part. La puissance de la tempête prend possession du monde et laisse sa violence s'emparer des éléments. La foudre embrase les arbres ôtés de leur habit de verdure, et les flammes se répandent dans les bois. La terre tremble et se fissure, crée des gouffres et des ravins ou tombent l'eau, les rochers et tout ce que portent les bourrasques.
La tempête continue de ravager le monde, puis perd peu à peu de sa puissance. Le calme revient, le vent perd de sa puissance. Un nouveau dôme de verre se forme, autour de la tempête, pour l'enfermer une nouvelle fois, afin contenir sa rage et sa violence. Ainsi emprisonnée, elle ne cause plus de dégât à l'extérieur, contenue dans cet espace restreint. Mais elle sait pertinemment qu'un nouveau jour, sa geôle cristalline se rompra à nouveau pour laisser le champ libre à sa violence. Mais dans combien de temps?
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Défi
Cyrielle Joannard

- AAAAAAAAAAYAYAAAAAAAAAAYAYAAAAAAA!!!
Grands fans de Disney, mon frêre jumeau et moi venions de regarder le film Tarzan. Pendant que Théo se dressait frièrement debout sur le canapé en frappant sa poitrine et en hurlant à tout rompre, je poussais la chansonnette en un yahourt incompréhensible. Il se faisait tard et nos parents nous envoyèrent nous brosser les dents avant de nous coucher, sans ommettre bien sur notre petit bisous du soir, sans lequel il nous est impossible de fermer l'oeil. Une fois la lumière éteinte et nos parents partis, quelques minutes passèrent avant que je n'entende Théo m'interpeller.
- Psssst, Cécile, tu dors??
- Oui, lui répondis-je.
- Ah, d'accord, fit-il un peu déçu.
- Mais non gros béta, je viens de te répondre! Qu'est-ce qu'il t'arrive?
Malgré l'obscurité, je l'entendis se redresser sous ses couvertures et dans sa voix, je décelais qu'il souriait.
- J'ai une super idée, tu vas voir! Tu veux faire comme Tarzan?
- Comment ça?
Il quitta sont lit et se dirigea vers la porte, à la recherche de l'interrupteur. Heureusement, une veilleuse Titi l'aida à trouver son chemin. Quand il alluma la lumière, mes yeux se fermèrent instantanément et je poussa un grognement de mécontentement.
- Allez, tu va voir, ça va être sympa. Viens.
Je me redressa donc à contrecoeur et le rejoignis près de la fenêtre.
- Tu ne veux pas sauter depuis le balcon j'espère?
- Mais non, tu va voir!
Il déplaça sa table de chevet à roulette et la positionna à droite de la fenêtre et m'invita à faire de même, de l'autre côté. Puis, chacun debout sur ces plateformes surélevées, Théo aggripa fermement le rideau de son côté et sauta. Il se balança jusqu'à attendre mon promontoir, tout en criant en chuchottant le crie de guerre de notre héros.
- Vas y, essaye!
Emballée par cette démonstration et par le grand sourire de mon frère, je fis de même et atteignis, non sans quelques difficultés, sa table de nuit. J'avais la sensation de voler, d'être dans une jungle peuplée de bêtes sauvages. Quelle experience merveilleuse.
Nous avons continué de sauter de liane en liane, tentant quelques figures, parfois en trébuchant. Nous riions à couvert pour ne pas allerter nos parents outre mesure. Puis, notre petit jeu pris fin.
Nous étions de chaque côté, prêts à prendre notre envol pour nous croiser et attérir chacun de l'autre côté. Nous nous élançâmes et en plein milieu de notre course, nous sentîmes la tringle à rideau se tordre puis céder. Dans un grand fracas, nous nous étalâme par terre, la barre de bois venant frapper lourdement nos petits crânes et les rideau nous enveloppant dans la culpabilité. Pas le temps de cacher les preuves, nos parents arrivèrent en trombe pour constater les dégat et, nous voyant ainsi affaler, le rouge leur monta aux joues.
- Cécile, Théo, privés de télé pendant une semaine!

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