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Nath.Rvr

Après un bac Pro, direction la fac (Je ne sais pas si c'est encore possible aujourd'hui mais, à l'époque oui.)

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours dessiné, lu, écrit et fait de la photo. Donc, normal que je me dirige vers un cursus de littérature et d'arts. J'ai suivi le cursus jusqu'au bout, laborieusement (pour ne pas dire labirieusement), étape par étape.

Parallèlement, j'ai effectué pas mal de petits boulots. Mon DEA en poche, j'ai accepté des CDD en communication, puis d'autres CDD de formatrice en communication visuelle. J'avoue que ne voyant pas le super CDI arriver, je n'étais plus du tout motivée. Aujourd'hui, j'ai changé de voie professionnelle et je travaille, de façon stable, dans l'un des "métiers du livre". Je ne préciserai pas plus (mais ce n'est pas l'édition).

Je me suis passionnée pour la science-fiction lorsque j'ai eu à rédiger des travaux de recherche (sur Terry Gilliam et James Cameron) pour mon DEA (aujourd'hui, nous dirions "Master 2"). Et mon sujet de thèse en a été une sorte de suite.

Comme j'ai toujours eu un travail prenant, je n'avais jamais véritablement pris le temps de corriger ma thèse dans les années qui ont suivi la soutenance pour l'envoyer à un éditeur... Depuis, le temps a passé...

Quant à devenir enseignante (MC), c'était une possibilité, car j'ai adoré enseigner, mais les places sont très rares dans certaines disciplines, notamment en HSS, et plus encore si vous n'avez pas ou plus de réseau relationnel garant de vos qualités professionnelles. Et puis finalement, pourquoi aller voir ailleurs quand on a déjà un travail que l'on apprécie.

Aujourd'hui, c'est autant pour partager mon travail que pour "m'obliger" à prendre du temps pour le corriger que je me décide à le publier.

Pourquoi sur Scribay ? Parce que j'en ai une très bonne expérience via une autre identité sous laquelle je participe, je l'espère, activement à la vie de la plateforme. J'aurais pu d'ailleurs publier sous une seule et même identité, j'ai hésité, et finalement j'ai séparé. La recherche = ici. Les textes purement créatifs (et mon défouloir) = sous pseudo. Telles les deux faces différentes d'une même pièce.



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Œuvres

Nath.Rvr
D’où venons-nous ? Qui sommes-nous ? Où allons-nous ?
Ces trois questions existentielles sous-tendent le film de Stanley Kubrick, 2001, A Space Odyssey. Ce récit résume un siècle de science-fiction à travers ses thèmes majeurs comme la conquête de l’espace, la recherche d’une intelligence non terrestre, la technologie, la robotisation, le désir de surpasser le créateur qu’il s’agisse de l’homme ou de Dieu lui-même, ou encore la solitude de l’homme face à l’immensité de l’univers.
L’homme est le sujet de 2001, A Space Odyssey. De ses origines à son avenir, Kubrick nous montre son évolution. Plus largement, il nous parle de la vie, celle que l’homme pourrait rencontrer dans l’espace, ou celle qui pourrait venir à lui, sur la Terre. 2001, A Space Odyssey, récit moderne, pose ainsi, dès 1968, les fondements de la science-fiction contemporaine.
C’est pourtant moins par sa thématique métaphysique que par sa maîtrise cinématographiques et les technologies dont il use que Stanley Kubrick frappe le public et la critique. Il marquera ainsi la génération de cinéastes apparus dans les années 70 parmi lesquels Lucas, Spielberg, Dante, Gilliam ou Cameron, de même que la suivante, celle des années 90, à laquelle appartiennent Del Toro, Niccol, Natali, Jackson, les Wachowski...
Avec ces cinéastes, c’est aussi l’infographie et le numérique qui ont intégré le cinéma. L’image et l’imagination n’ont désormais plus de limites. Le cinéaste est devenu un infographiste. L’image de synthèse est devenue nécessaire à la pré production comme au financement du film.
Influencés par l’oeuvre de Kubrick, les écrivains ont, à leur tour, donné un nouveau souffle à la science-fiction. Avant les années 60, ce que l’on pouvait encore appeler des sous-genres comptaient déjà la fantasy, l’utopie, le space opera et l’anticipation. Dans les années 70, ce sont de nouveaux motifs qui apparaissent parmi lesquels l’écologie, l’informatique, ou la musique. Ils vont conduire, dans les années 80-90, à l’éclosion de nouveaux sous-genres, telles que le cyberpunk, le Steampunk, la hard science, la speculative fiction…
Mais ce qui apparaît surtout à travers cette étude, c’est que la science-fiction, qu’elle évoque un passé qui aurait pu être, un présent alternatif, ou un futur hypothétique, parle de l’homme, de ses préoccupations, de ses désillusions et de ses espoirs, dans son présent et dans sa réalité.

Pour tout le texte sans exception : © Tous droits réservés Nath.Rvr / NR. 2019 ©
Une version papier (tapuscrit) existe à la BU P. Sineux (Caen-14).

Vous pouvez effectuer un téléchargement de mes textes pour vos lectures personnelles, mais ils ne peuvent être vendus ou loués sous quelque forme que ce soit, à qui ou à quoi que ce soit. Citations ou / et extraits ne peuvent être reproduits, notamment lors d'une publication, quelle qu'elle soit, sur quelque support que ce soit, qu'avec mon autorisation.
Cordialement,

Nath.RVR / NR

Publié en version initiale:http://www.theses.fr/2007CAEN1474
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