Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

salbah

Ô âme, si ça te blesse, c'est pour ton bien,

Si c'était constamment l'été, le soleil brûlerai les jardins.

23
œuvres
21
défis réussis
80
"J'aime" reçus

Œuvres

Défi
salbah

Je l'ai fait. Cela semblait impossible au premier abord, voire fou ou suicidaire, mais pourtant je l'ai fait. J'ai réussi à l'oublier. Oublier peut paraitre difficile mais ce n'est pas impossible. Lorsque l'on arrête de penser à cette personne, et si on arrive à remplir la place qu'elle laisse, avec la présence de quelqu'un d'autre. Alors oui, on peut oublier facilement. Et cela, même si on s'ennuies de ne pas vouloir oublier. Parfois, il faut savoir tout oublier, tout effacer. Pour pouvoir recommencer depuis le début, pour pouvoir aimer à nouveau.
5
12
5
0
Défi
salbah

Dis-moi, quel âge as-tu ?
Tu es à la tête de tous mes problèmes,
A tout moment sans exception,
Comme si le passé te manquait.

Je ne sais pas, quel âge as-tu ?
Tu joues avec mes émotions,
A tout moment sans exception,
Comme si tu rêvais du lendemain.

Ne t'arrête pas, pleure, pleure,
Les larmes sécheront avec le temps, pleure.
C'est un monde tellement cruel,
Qui finit dans tes bras.

Dis-moi quel âge as-tu ?
Te sens-tu seul, à ce point ?
Je le vois à tes légers frissons,
Penses-tu que c'est le froid ?

Je ne sais pas, quel âge as-tu ?
Tu es conscient de tout,
Tu sauves tes peines,
Sans penser aux miennes.

Ne t'arrête pas, pleure, pleure,
Les larmes sécheront avec le temps, pleure.
C'est un monde tellement cruel,
Qui finit dans tes bras.


4
4
0
1
Défi
salbah

Je suis psychiatre. J'aide les personnes qui se sentent mal. Je les écoute. Elles se sentent comprises, et importantes. Le coeur veut parler, et le café est une excuse.
J'écoute les personnes, qui quand elles étaient enfants, ont grandi dans des maisons où elles n'étaient ni aimées, ni appréciées. Actuellement, ces personnes ne peuvent pas aimer, ni faire confiance non seulement à eux- mêmes mais également aux personnes autour d'eux, et au monde dans lequel elles ont grandi. Pourquoi ces enfants devraient aimer et faire confiance au monde, ce monde qui les a tant dénié, qui les a tant humilié, et qui leurs a toujours été injuste ? Ces personnes sont tellement sures qu'elles ne seront pas aimées. Elles veulent tellement croire ceux qui leurs disent "Je t'aime". Mais, une voix intérieure leurs répétent "Vous n'etes pas digne d'etre aimé". Donc tout le monde autour d'eux ment. Si leurs parents les avaient aimés, alors elles pourraient aimer à leur tour.
Il y a une chose que ce métier m'a appris : très souvent, la maison dans laquelle nous sommes nés, finit par nous définir.
8
5
15
1

Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

j'écris ce que je ne peux dire
0