
Philippe Meyer
Les plus lues
de toujours
Ceci est un Bradbury, un étui à nouvelles en hommage à tous les auteurs de SF que je lisais enfant et qui m'ont si bien fait voyager !
Différents personnages s'activent ici en fonction de mes envies du moment.
Jarol Lutarc, c'est l'explorateur de l'espace que j'imaginais adolescent. Immature, un peu peureux et impulsif. Toujours avec ses gadgets tech sensés le protéger de tout !
Marc, lui, vient d'être inventé. Il est plus mûr mais plus sombre, sans illusions
D'autres ne sont pas encore revenus de ma jeunesse et dorment encore dans mes souvenirs.
Bientôt peut-être ?
Différents personnages s'activent ici en fonction de mes envies du moment.
Jarol Lutarc, c'est l'explorateur de l'espace que j'imaginais adolescent. Immature, un peu peureux et impulsif. Toujours avec ses gadgets tech sensés le protéger de tout !
Marc, lui, vient d'être inventé. Il est plus mûr mais plus sombre, sans illusions
D'autres ne sont pas encore revenus de ma jeunesse et dorment encore dans mes souvenirs.
Bientôt peut-être ?
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J'avais perdu le goût de la lecture qui m'est heureusement revenu subitement en Juillet 2024, après avoir lu Evariste de François-Henri Désérable. Si j'ai gardé un goût pour la SF de ma jeunesse, je dévore la littérature française, affamé d'avoir trop longtemps jeûné, avec un goût marqué pour les autobiographies et les interrogations sur les déterminismes familiaux.
J'écris un petit texte après chaque lecture, pour m'aider à en garder la trace. J'aime cette habitude qui me fait à chaque fois un mini-challenge d'écriture !
Je vous les partage, parce que vous aimez écrire et donc lire.
J'écris un petit texte après chaque lecture, pour m'aider à en garder la trace. J'aime cette habitude qui me fait à chaque fois un mini-challenge d'écriture !
Je vous les partage, parce que vous aimez écrire et donc lire.
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Si j'écris des poèmes, c'est pour m'amuser
Alors si ça vous amuse, lisez-les
et s'ils vous amusent, tartinez-les !
Alors si ça vous amuse, lisez-les
et s'ils vous amusent, tartinez-les !
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Lorsque j'ai recommencé à écrire en juillet 2024, j'avais 61 ans et je réalisais doucement que l'essentiel de ma vie était derrière moi. Je me suis mis à écrire sur la mort, ou plutôt sur la vie après la mort, en essayant de l'imaginer. Je pense que bizarrement ça me rassurait, me donnait un peu de contrôle. Une illusion bien sûr ! Je ne sais pas si je vais poursuivre mais j'ai trouvé l'exercice intéressant.
Je les classerais dans le genre "fantastique"
Je les classerais dans le genre "fantastique"
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Défi
Que n'ai-je connu René Frégni avant ? Il a découvert la lecture jeune-homme, en pleine révolte. Il devait s'échapper d'un monde absurde et tenter de le comprendre pour se construire. Dans ce roman, il raconte sa vie avec un focus sur sa jeunesse de cancre épris de liberté. On se sent pousser des épaules à le suivre dans son itinéraire brutal. Il aurait pu se heurter à tout ce qui croisait son chemin et faisait obstacle à l'impérieuse nécessité qu'il avait de vivre. Mais avec intelligence il a appris, mûri et trouvé un chemin unique pour être au monde. Ce n'est pas seulement une plume que je découvre, c'est un homme simple et d'une profonde densité. C'est un ami qui enrichit ma mémoire en me racontant la sienne, me prêtant au passage un peu de sa force. Il écrit sa révolte et sa lucidité puis la paix qu'il a trouvé auprès de la nature. Une merveille. Cet homme est une merveille.
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