Lean Mildon
Les plus lues
de toujours
C'est un être extraordinaire que voilà,
Ma divinité bien-aimée et en-deça,
Celui qui me comprend quand tout va mal,
Qui me comble d'un vide dans l'idéal,
C'est le seul qui m'aime avec autant d'innocence,
Lorsque ma vie ne semble n'avoir plus aucun sens,
Sous son regard attentif et rutilant de bonheur,
Qui me donne tant en m'apaisant, non ce n'est pas un leurre,
Enfin c'est un être qui mourra avec moi ici-bas,
C'est ainsi que je vois... mon chat !!
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Défi
Comme le dit la légende
Le phoenix renaît de ses cendres
Mais toi qui parle tout bas
Tu ne peux plus aimer ça
Cette vie, qui te fait souffrir
Mais qui finira par t'éblouir
Car je te redonnerai tant de confiance
Que tu iras bien même en mon absence
Abandonnée à la naissance, tu seras fière de me choisir
Toi ma chère amie à qui je ferais découvrir
L'envers du décor, des ruines chargées d'or
Dont toi seule connaîtra la clé, sacre de ton sort
Je te montrerai le ciel comme jamais tu ne l'as vu
Pour que chaque jour tu t'émerveilles moi qui ai toujours su
Que ton voyage commencerait par un premier pas
Ainsi où que tu ailles je te guiderai à travers toi, et te prendrai dans mes bras...
Toi mon amie qui veut tout oublier
Je ne te laisserai pas abandonner
Tu ne mérites pas que je te laisse passer de la lumière à l'ombre,
C'est pourquoi je resterai là pour toi à t'aimer les jours sombres.
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Défi
Après la pluie, le changement.
Après les soucis, le beau temps.
Je m'accroche à mes rimes sur cette pluie fine qui raviva mes vaillants sentiments.
Et me suis remise à écrire pour mieux repartir et aller de l'avant.
Après la pluie, je passe de bons moments.
Le soleil darde sur ma vie sa chaleur de l'instant présent.
Je n'ai plus qu'à profiter et à me laisser porter.
Quoi de plus sage après la pluie, d'écrire à l'infini sur les rivages avenants de l'océan.
Et pourquoi pas, graver dans la roche un personnage rigolboche !
Pour qu'après la pluie, je me lave de mon ennui
Et récupère l'eau qui amène à faire prospérer la vie.
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Défi
Mon texte tient sur une page
Prétexte à quand la plage
Je retire mes stilettos avant de marcher sur le sable
Après avoir longé le sentier d'entre les feuillages
Puis je découvre la mer qui elle, ne changera jamais
Tout comme le bruit des vagues, et des mouettes sur le rivage
Là où personne d'autre n'entreprit pour l'heure de conquête sauvage
Sauf cette présence inhabituelle que je sens dans mon dos
Venant peut-être de cette maisonnette tout là-haut
Mais rien ne m'arrête, mes pieds s'enfonçent encore dans le sable chaud
Et viennent maintenant caresser le souffle de l'eau
Celle qui s'avance et recule à mesure que j'y pense, cette présence...
Je me retourne et ne vois rien.
Je reste cependant troublée et me sens contrainte de rester,
Car un beau coucher de soleil s'annonce avant demain.
Au loin, cette maisonnette qui attise ma curiosité car inerte ou inanimée...
Que sais-je ? Et si j'allais voir ?
Je regarde une dernière fois la mer comme pour lui dire adieu,
Je baisse la tête et regarde le sol comme pour passer aux aveux,
Et me retrouve soudain terrassée par un être humain... Oh mon Dieu !
Une énorme touffe de poils ! Que croire !
Je ramasse le bâton sur lequel j'ai failli trébucher et le lance avant de quitter la plage.
Plus tard, je saurais que grâce à son maître il était temps de tourner la page.
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A toi, mer de tous ces tourments
A toi, mère de tous ces enfants
Puissent-ils se noyer dans cette âme
Que reflètent tes yeux bleus d'océan
Moi qui chavire encore pour longtemps
Sur ton amour absent, sans états d'âme
Que pourrais-je faire d'autre pour toi
Larguer les amarres, sourire une dernière fois
Ou bien t'abandonner, contre vents et marées
Pour ainsi retrouver ce lien de marins échoués ?
C'est pourtant à toi que je pense, si souvent...
A toi, mer de tous ces tourments
A toi, mère de tous ces enfants
Que penses-tu vraiment des abysses
De ton coeur, interdit précipice
Où je n'ai eu aucun droit, pour trop de lois
Jusqu'à ce qu'un jour ton bleu azur
Me fasse accoster sans armures
Car s'en était trop pour moi, je crois
Tes vagues ont cherché à me faire fuir
Tes fausses bouées m'ont fait atterrir
A toi, mer de tous ces tourments
A toi, mère de tous ces enfants
Ah tu donnes et reprend la vie
Finie au gré de tes envies
On te traverse au bruit d'une innocence
Sur un voilier victime de ton insolence
Quand tempêtes et alizés crient au naufrage
Pour nous qui n'avons pas été assez sages
Alors bourreau des coeurs et des sentiments
Ta solitude avec froideur nous reprend
A toi, mer de tous ces tourments
A toi, mère de tous ces enfants
Embarquée sur le sillon de ton éternité
Comment se priver de tes ondes irrisées
Ton doux visage me ramenant au rivage
Où se mêle pêche et coquillages
Je ne me lasserai jamais de ton silence
Et de ton insouciance, assoiffée par l'infini
Infini de ton eau rebelle, si pure de la vie
Infini de ton eau rebelle, si belle est la vie.
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Défi
" Que ferais-je avec ces 900 euros ? Qu'est-ce que cela changerait dans ma vie quotidienne ? C'est vous qui me demandez ça ? Mais vous n'êtes qu'assistante sociale, non ? Bon d'accord, je vais vous l'avouer ; pour tout vous dire, alors... Alors calcul : 900 euros ça veut dire pour moi sortir de cet hôtel miteux pour cas sociaux, pour qu'enfin je puisse recevoir du monde chez moi (une fille ?... passons). Et bien évidemment, me prendre une chambre ou un petit studio à 300 euros maxi par mois vous dites ? Ok. C'est toujours mieux que rien. En gros, combien... je regarde sur le net, un instant...18 mètres carré. Bon, y'a pas de quoi s'en faire, c'est fonctionnel. Tout y est. De l'eau, un évier plus une douche, des toilettes, une fenêtre car tout de même je ne demande pas la lune, c'est parfait.
Calcul : reste : 600 euros. On va dire, autant ne pas chauffer l'hiver. Pour ce qui est des charges je dirais : aller, 200 euros car bien sûr, pour un logement dans le privé, le chauffage électrique semble le plus répandu. Et l'eau... moi qui ne bois que l'eau du robinet, ça va me coûter cher ? Bref, oui, vous me dites qu'il y a aussi les charges communes (poubelles, électricité du couloir s'il y en a un, entretien). L'électricité, mais oui ! J'oubliais, c'est celle qui ne cesse d'augmenter, non ? Et voilà, c'est bien ce que je pensais, ces sous-là, c'est un cadeau empoisonné. Avoir de l'argent ça nous pousse à changer de vie et à changer notre façon de voir les choses.
(Re)calcul : reste : 400 euros. Tout juste pour avoir de quoi fumer mon paquet de cigarettes journalier, boire avec les copains au bistrot et manger. Ou alors il va falloir que j'aille faire mes courses au discount market qui se trouve à 10 kilomètres. La poisse. C'est une farce, n'est-ce pas ?
Je ne pourrais même plus m'adonner à ma passion qu'est la musique. Là, plus moyen d'acheter des vinyles. Et merde, je le savais. A chaque fois que je veux faire quelque chose de ma vie je ressens peu de temps après, après avoir réfléchi, le goût amer, l'âpre désolation de me regarder mourir à petits feux. L'argent n'a pas d'odeur mais il a un prix. Le prix de pouvoir se regarder en face lorsqu'il n'y a plus d'espoir. Non je déconne. Mais il va bien falloir trouver une solution, car oui, j'en ai marre parfois de cette vie !
Pourquoi ne pas créer mon entreprise ? Merde, j'avais oublié les impôts. Voyager ? Pour quoi faire ? Encore glander ? J'aime pas les musées, ça me rend claustrophobe. Et bien alors dans ce cas, pour commencer : parce que là ça urge... je vais vous quitter, et je vais me préparer vite fait, pour aller déguster ce bon rumsteak-frites qui m'attend depuis toujours au resto d'en face, pour fêter cette excellente nouvelle !.
Merci à vous et bon appétit mssieurs-dames !..."
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La feuille est encore vierge, pure, j'ai peur
Que me reste-t-il, l'angoisse, la rancoeur
D'écrire et de décrire sans avoir les mots justes
Sans nul remords, cru, c'est injuste
De dévoiler ses pensées, noircir ses idées
Pour empêcher une lutte à peine dévoilée
Entre présent et passé, qui traduira
A qui voudra l'entendre, une douce mélodie
Empreinte de mots tendres, mais qui aura
Cette rage d'en finir, cruelle, infinie
mêlée à des sentiments emmêlés tout dévoués
A l'ouverture de mon coeur, sacrifice d'une boîte aux lettres
Quand je ne sais jamais ce qui s'y trouve ou pas
Pour me dire en l'ouvrant : un jour, peut-être...
Quand les mots crient, me tendent les bras, mais ne sortent pas
Un jour, peut-être...
Ce jour où je saurais surmonter le syndrôme de la page blanche
Ce jour où je saurais oublier, pardonner et enfin caresser
Cette fuite en avant, ce temps perdu, cette innocence
En puisant dans mon âme une éclaircie, un souffle volé
Qui chassera ce nuage, blanc au fond, comme le mur d'un plafond
Qui m'épuise déjà rien qu'en le regardant se noyer
Dans les méandres d'une phrase où les lettres ont dépassées
La tourmente de l'absence de mots abandonnés...
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Toi, tu es là
A me tenir dans les bras
Et moi, je te dis tout ça
Tu es mon roi
Et en tant que reine,
Je suis celle que tu aimes,
Et moi de même il en sera toujours pareil
Contre vents et marées
Briseurs de couples effarés
Nous avons toujours su lutter
Nous enivrer
De notre promesse d'amour
Dans cette vie de tous les jours
Ces jours difficiles à l'infini
Dont on a su aussi tirer parti
Toi, tu es là
A me tenir dans les bras
Et moi, je te dis tout ça
Tu es mon roi
Et en tant que reine,
Je suis celle que tu aimes,
Et moi de même il en sera toujours pareil
Tu ne savais quoi faire sans argent
Je ne savais quoi faire de mes mots
On voulait tout tout de suite maintenant
Le temps remplace les fléaux
Alors pourquoi s'acharner
A vouloir remplacer
Un amour qui se construit
Au fil de tant d'années
Toi, tu es là
A me tenir dans les bras
Et moi, je te dis tout ça
Tu es mon roi
Et en tant que reine,
Je suis celle que tu aimes,
Et moi de même il en sera toujours pareil
Pour le meilleur et pour le pire
Quand le pire est bien présent
Pour se projeter dans l'avenir
Quand le meilleur est absent
Pourquoi pas alors nous unir
A savoir qu'à deux on est plus forts
Mais à quoi bon ça peut servir
Lorsqu'arrive si tôt la mort
Si tôt que vous ne l'avez pas vue venir
Si tôt que vous ne l'avez pas vue venir
Et partie cette chance d'être heureux,
Mais de savoir souffrir à deux
S'ouvrir et souffrir
Partir et revenir.
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Défi
Injustice
Toi qui me broies le coeur et le déchire en lambeaux
En montrant bel et bien la fin des idéaux
Toi qui s'échappe parfois d'un tribunal
Quand les victimes sont traitées comme les bourreaux
Pour remuer le couteau, là où ça fait mal
Injustice
Moi qui souffre de ta cruauté à la seule pensée
De te voir grandir au fil du temps impuissant à t'ignorer
Ou te voir grandir au fil du temps impuissant à t'oublier
Moi qui me sens visé par ton acharnement à me bannir
De toute religion où l'éthique serait commune à haïr
Injustice
Pour la quête d'un bonheur impossible à partager
Aimer notre prochain comme nous-mêmes, y renoncer
Pour tous tes désirs non assouvis, insatisfaits
Puisqu'on aimerait tant connaître l'imparfait
Et non le présent, où tout n'est que problèmes et tourments
Injustice
La douleur de tes épreuves qui marquent à l'infini
Mon esprit hypersensible bien que juste, trahi
Par la confiance tant accordée par une innocence, liberté
Difficile à garder vu l'incontinance de ma souffrance, la vie
Avec Toi, Injustice, qui me mène au supplice, armée.
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Défi
Ou plutôt, je ne suis plus là où je ne devais pas être.
J'ai laissé tomber ce fardeau, cette relation toxique, je ne veux plus voir ces faux-semblants, quelques prétentions jetées au hasard, bien que, tu m'aies tendue la perche.
Lasse de ces débuts qui ne finissent que par une fin, celle de regarder à la fenêtre, à défaut de se regarder à travers une conquête.
Je ne suis plus là, non, en fait, je ne suis plus. De justesse, tout en finesse, j'ai appris à ne plus être de mèche.
Avec mon inconscient et mon miroir qui ont fini de me jouer des tours de passe-passe.
La réalité me rattrape avant que je ne me noies dans la masse.
A contre-courant j'ai décidé de lever les voiles.
Celles à contre-coeur se dévoilent
Méprisant le mépris
Bannissant l'ignorance,
Les mots bannis de ton langage,
Sérieux naufrage...
Qui m'a fait atterrir ici.
Aujourd'hui, je revis
Et même changée,
Tu ne peux pas m'empêcher d'être née.
Aujourd'hui, je vis, pour moi,
Et même si tu ne l'acceptes pas,
Rien ni personne ne peut m'y encourager.
Mais penses-y la prochaine fois.
Plus je tombe et plus je me relève en force.
Je suis de l'arbre son écorce.
Alors adieu, toi, mon pervers narcissique.
J'ai décidé que ma vie d'après serait magnifique.
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La musique s'allonge avec les lignes
Son rythme en guise d'interlignes
Déguise alors l'obscurité de mes pensées
Elles défilent parce que je te donne ces mots amers
Qui ne veulent pas crier ou se taire
Même dire que c'est perdu d'avance
Puisque c'est maintenant que je pense
Que tu pourrais peut-être les mettre plus à profit
Aussi moi j'en profite, j'écris et t'écris ceci
De ces lettres coulent mon sang
Et inversement
Et quand je pars en miettes
Je redécouvre ce présent
Celui qui, quand la musique s'allonge avec ses lignes
Me fait vivre le rythme en guise d'interlignes
Avoir le temps d'en rire de cette phobie
Cette phobie d'écrire sur l'instant
Dans laquelle je m'abandonne
Car puisque seul le chemin compte
A quoi peut bien servir le résultat ?
Prendre ce que l'on me donne
Jusqu'à ce que mon heure sonne
En y croyant pas plus que ça ?
Si seulement nécessaire à ma dignité n'y voir que l'argent
Evidemment contraire à ma cause qui n'a que d'autres raisons
Peut-être contraires à notre amitié, aussi -
Je ne m'attarde pas de toute façon
Sur l'ignorance qui n'est qu'un poison
Comme tous ces vieux démons
Dont j'arriverai bien à me défaire
Mais je ne sais pas, je ne sais plus parfois
Comment ne plus connaître l'enfer
De mes souvenirs et leurs déserts
Alors j'écris grâce à la musique que j'entends
Qui s'allonge avec les lignes
D'où son rythme, intransigeant
En interlignes
Mine d'or ou d'argent
Qu'importe ce que ça rapporte
Si elle doit être creusée par le temps
Pensées acides au fonds de commerce
Seule ma volonté fera le reste
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Défi
J'ai mis le temps... mais j'ai trouvé, enfin, un défi intéressant, un défi utile. Quelque chose qui sorte de l'ordinaire, mais essentiel. Je n'ai pas idée des réponses déjà données à ce défi, alors pas certaine que ma réponse soit acceptée telle quelle !
Enfin si j'écris ce soir c'est sûrement pour me rassurer, hein, je ne vais pas crever tout de suite... J'ai encore le temps de prévoir, hein... bizarrement c'est ce que tout le monde se dit, non ? .
Donc voici ma liste des choses à faire avant de mourir :
1. Ne pas paniquer j'ai déjà tout prévu.
2. Ne pas crier ni de rage ni de joie. Accepter sa défaite.
3. Ne pas regretter de n'avoir rien fait pour les autres, à sa hauteur, compte tenu de nos propres exigences en matière d'empathie.
4. Oublier que ce sont toujours les meilleurs qui partent en premier donc les scélérats vont tous continuer à vivre et à faire chier le monde, y compris dans notre famille ou avec nos amis.
5. Détester tous les bonimenteurs qui prônent le lâcher-prise et croient à la vie éternelle.
6. Mais mdr se rappeler quand même qu'on peut être fier d'avoir respecté nos valeurs et notre liberté de pensée et d'agir en son âme et conscience ?... (quand on est une femme)
7. Ecrire son testament, une simple feuille suffit, c'est légal et reconnu par la loi. Enfin c'est ce que Google raconte :o
8.Dire à ses proches de laisser son portable dans le cercueil au cas où Dieu nous appelle pour un séjour tout frais payé au paradis.
9. Demander un enterrement spécial du genre que je ne pourrai jamais avoir alors que je suis encore en vie, avec pleins de gens réunis pour me témoigner de l'affection ou de l'amour, mais surtout, en musique. Un truc gai, quand même, faut pas déconner. Vous inquiétez pas, ma tombe sera trop petite pour faire boîte de nuit.
10. Ah oui, j'oubliais... Comme je vais sûrement devoir donner mes organes à cause d'un bug informatique... "Mais c'est super, ça, tu vas pouvoir te réincarner !!!..." Ah bon je croyais que j'étais nuisible ?
11. Faire parler son coeur. Sans blague. C'est vrai, c'est facile, la vie est tranchante, "la vie aime et chante, la vie est méchante", je ne sais pas, je ne sais plus. Faudrait déjà que l'on sache m'écouter puis tenter de me comprendre. Pas une mince affaire, mais pas une affaire d'état non plus.
12. Refuser tout démarchage téléphonique sur les conventions obsèques. Les nouvelles vont plus vite qu'il n'y paraît.
13. Réaliser que notre mission est terminée. On en a rien à foutre de ta mission de vie mémère, ce que tu peux faire maintenant c'est nous donner ton tiroir-caisse.
14. S'échapper de l'hôpital pour mourir sur le littoral.
Bref. La liste est supposée être longue, mais nous retiendrons ceci : profitons encore du temps qu'il nous reste. Arrêtons d'attendre le sursis.
Pareil que dans un tribunal, vous ne savez pas si vous y aurez droit.
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