Ghostly Bloom
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Dans un village reculé balayé par le vent et le silence, une femme vit dans l’attente de l’homme qu’elle aime, disparu depuis un mois après lui avoir promis de revenir. Chaque matin, elle affronte le vide laissé par son absence : les souvenirs, les odeurs, les gestes effacés. À travers le vent glacial et les paysages figés, elle tente de garder espoir, mais le doute s’installe peu à peu. Le Dernier Souffle du Vent explore la frontière entre l’attente et le renoncement, la mémoire et l’oubli, dans un monde où le silence semble murmurer plus fort que les mots.
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Ce poème, intitulé « Les cicatrices du silence », explore la nature complexe de la souffrance. Il décrit la douleur comme un feu intérieur, silencieux mais puissant, qui blesse sans toujours se voir. À travers des images fortes, il souligne à la fois la fragilité et la résilience de l’âme humaine, montrant que la souffrance, bien qu’elle déchire, peut aussi forger une force nouvelle. C’est un hommage à ceux qui portent leurs blessures en silence et qui cherchent, malgré tout, la lumière au bout de l’obscurité.
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Le vent soufflait sur les ruines d’une ville oubliée. Les pierres noircies par les flammes semblaient encore pleurer la douleur d’un monde tombé. Min Ji, une jeune fille aux yeux sombres, marchait seule dans ces décombres. Elle n’avait connu que la poussière, les silences et les cris étouffés de ceux qui avaient disparu. Son passé était un voile de mystères : elle se souvenait seulement d’avoir survécu à la grande nuit où le ciel s’était fendu, déversant sur la terre un torrent de feu et de cendres. Chaque soir, elle entendait des murmures. Des voix venues de nulle part, flottant dans l’air comme si les ombres elles-mêmes parlaient. Ces voix lui disaient : — Reviens… retrouve-nous… le monde n’est pas mort. Min Ji avait peur, mais une part d’elle voulait suivre ces appels. Car au fond, elle croyait qu’au-delà des cendres, un autre avenir pouvait renaître.
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Ce poème est un cri silencieux.
Il raconte l’histoire d’une âme brisée, d’une personne qui portait en elle un rêve de liberté, un désir profond de s’envoler… mais que la vie a enfermée.
Chaque strophe est un reflet de la douleur intérieure, de ces chaînes invisibles que l’on porte : les attentes des autres, les blessures du passé, la solitude, le manque de reconnaissance.
L'image des ailes attachées représente le potentiel étouffé, la lumière éteinte, les rêves que l’on a empêchés de naître.
Même quand elle tente d’espérer, tout l’abandonne : le vent, la lune, le monde.
C’est un poème profondément triste, mais aussi d’une sincérité brutale.
Il ne cherche pas à consoler.
Il ose dire : « Je souffre. Je ne veux plus faire semblant. »
Et en cela… il touche droit au cœur.
Il raconte l’histoire d’une âme brisée, d’une personne qui portait en elle un rêve de liberté, un désir profond de s’envoler… mais que la vie a enfermée.
Chaque strophe est un reflet de la douleur intérieure, de ces chaînes invisibles que l’on porte : les attentes des autres, les blessures du passé, la solitude, le manque de reconnaissance.
L'image des ailes attachées représente le potentiel étouffé, la lumière éteinte, les rêves que l’on a empêchés de naître.
Même quand elle tente d’espérer, tout l’abandonne : le vent, la lune, le monde.
C’est un poème profondément triste, mais aussi d’une sincérité brutale.
Il ne cherche pas à consoler.
Il ose dire : « Je souffre. Je ne veux plus faire semblant. »
Et en cela… il touche droit au cœur.
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Défi
Il était six heures. Le soleil pointait doucement derrière les immeubles, et Amine ouvrit les yeux avec un sourire. Ce n’était pas un grand jour, ni une occasion spéciale. Juste un matin ordinaire. Mais lui, il les aimait, ces matins-là. Il sortit sur le balcon, respira profondément. L’air sentait la pluie tombée pendant la nuit. En bas, un chat traversait la rue, un livreur sifflait un air joyeux, et le monde semblait recommencer à zéro. La cuisine l’attendait, avec son vieux poste radio. Il tourna le bouton, et la voix chaude d’un chanteur des années 70 emplit la pièce. En préparant son café, il tapa le rythme sur le plan de travail. Une joie simple, mais réelle. Puis, avant de sortir, il passa par la chambre de sa petite sœur, encore endormie. Une mèche de cheveux sur le front, une respiration paisible. Il la couvrit doucement avec la couverture. “Dors bien, petite rêveuse…” murmura-t-il. Sur le chemin du travail, il acheta du pain chaud à la boulangerie. Le boulanger lui lança un “bonne journée, l’artiste !” car Amine dessinait souvent pendant ses pauses. Ce mot-là, l’artiste, suffisait à lui illuminer la journée. Et quand le soir arriva, il rentra fatigué, posa son sac, regard
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Ce poème exprime avec douceur et douleur ce que signifie aimer quelqu’un… sans jamais pouvoir l’avoir. C’est l’histoire d’un amour silencieux, caché derrière des sourires, des regards détournés, et des mots qu’on ne dira jamais. L’auteure (ou le narrateur) vit avec ce sentiment profond, mais interdit, chaque jour, en silence — voyant l’être aimé s’éloigner, aimer ailleurs, exister dans un monde où elle n’a pas sa place. Ce poème met en lumière cette souffrance discrète, presque invisible, qu’on porte seul·e dans un coin du cœur. Et pourtant, malgré l’impossibilité, il reste quelque chose de beau, presque lumineux : un amour vrai, même s’il ne s’épanouit jamais. Un amour qu’on garde en soi, jusqu’au bout.
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Kang Jiwoo, un lycéen coréen de 17 ans, vit dans un silence profond. Marqué par le deuil de son grand frère et l’abandon émotionnel de ses parents, il traverse chaque jour comme un fantôme, sans jamais vraiment être là. Solitaire, discret, il cache en lui une douleur ancienne, trop lourde pour un cœur aussi jeune.
Mais tout bascule lorsqu’il rencontre Sora, une nouvelle élève qui semble elle aussi porter un fardeau invisible. Elle est différente. Franche. Instable. Et brisée.
Les deux adolescents se rapprochent doucement, apprennent à se reconnaître à travers leurs blessures respectives. Une relation fragile mais intense naît entre eux, faite de silences partagés, de regards douloureux et de vérités non dites.
Mais tout bascule lorsqu’il rencontre Sora, une nouvelle élève qui semble elle aussi porter un fardeau invisible. Elle est différente. Franche. Instable. Et brisée.
Les deux adolescents se rapprochent doucement, apprennent à se reconnaître à travers leurs blessures respectives. Une relation fragile mais intense naît entre eux, faite de silences partagés, de regards douloureux et de vérités non dites.
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Ce rap est un clash frontal, brutal et sans filtre. « T’es qu’un écho » démonte l’arrogance vide, les faux airs de grandeur et les egos fragiles. C’est un texte tranchant qui oppose la vraie puissance intérieure aux apparences superficielles. À travers des punchlines percutantes, il affirme une voix sûre d’elle, lucide, qui remet les pendules à l’heure sans trembler.
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"Les Yeux de la Forêt" est une histoire d’horreur psychologique où cinq adolescents entrent dans une forêt maudite après la mort étrange d’un vieil homme. Ce qu’ils prennent pour un simple défi devient une descente terrifiante dans un monde où ils sont observés par une force ancienne, invisible, et affamée. Un à un, ils sombrent dans la folie, les disparitions, et les murmures de la forêt. Jusqu’à ce que la vérité éclate : ils n’étaient pas seuls… et ne l’ont jamais été.
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Ce poème parle de ces moments où l’on respire, où l’on marche, où l’on sourit… mais sans vraiment vivre.
Il raconte cette douleur silencieuse, celle qu’on cache derrière des gestes simples, des regards vides.
C’est l’histoire d’une personne qui s’efface doucement, qui tient debout parce qu’elle le doit, pas parce qu’elle le veut.
Un cri muet, un cœur qui bat sans joie, une vie remplie de silences…
« J’existe sans vivre » est un poème pour tous ceux qui souffrent en silence,
et qui, malgré tout, continuent à avancer dans le vide.
Il raconte cette douleur silencieuse, celle qu’on cache derrière des gestes simples, des regards vides.
C’est l’histoire d’une personne qui s’efface doucement, qui tient debout parce qu’elle le doit, pas parce qu’elle le veut.
Un cri muet, un cœur qui bat sans joie, une vie remplie de silences…
« J’existe sans vivre » est un poème pour tous ceux qui souffrent en silence,
et qui, malgré tout, continuent à avancer dans le vide.
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"Rien ne bouge" explore un état de vide émotionnel, une sorte d’hibernation de l’âme où plus rien ne fait vraiment mal… mais plus rien ne touche non plus. Il évoque une tristesse silencieuse, presque calme, où le monde extérieur continue sans nous. Ce poème parle de cette déconnexion intérieure qui ne crie pas, qui ne pleure pas, mais qui consume doucement — comme si l’on s’était effacé en silence.
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« Les Ombres du Silence » est une histoire poignante et mature qui suit le parcours d’une jeune fille, Lina, confrontée à la perte brutale de ses parents. À travers quatre chapitres, on découvre son combat contre la solitude, la douleur et les jugements extérieurs, mais aussi sa quête de résilience. Entre silence lourd et éclats d’espoir, cette histoire explore avec sensibilité les blessures invisibles de l’âme et montre comment, malgré les ombres, la lumière peut renaître.
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