fin août 1922, un corps a été retrouvé dans un bois de Saint martin :
c’était celui d’un bûcheron âgé 42 ans, il s’appelait Jean-Claude et vivez avec ses deux enfants (sa femme était morte dans un accident de voiture).

La vie ne l’habitait plus, mais on a retrouvé des entailles sur tout son corps: il avait reçu des coups de hâche dans le ventre, la tête et la gorge, on lui a aussi arraché les mains, de plus, on ne retrouve pas l’arme du crime !
On a alors mis l’inspecteur Lensant sur le coup.

Il décida d’abord d’aller voir les enfants du bûcheron pour les interroger. Une fois là-bas il commença à leur poser des questions simples et brèves :
« Comment vous appelez vous ?
-Moi c’est Clara et lui c’est Julien. Dit la sœur aînée, et vous qui êtes-vous ?
-Je suis l’inspecteur Lensant , on m’a chargé de m’occuper du meurtre de votre père. Comment vous sentez vous après cette terrible nouvelle ?
-Je suis très triste et je culpabilise aussi beaucoup parce qu’à chaque fois qu’il voulait passer du temps avec nous, faire une balade en forêt, jouer au ballon, moi, je ne voulais pas venir, je préférais rester seul à la maison pour jouer au jeu vidéo. Maintenant je regrette. Dit le plus jeune.
- Moi aussi, il était gentil, bienveillant je suis d’accord avec toi petit frère mais j’ai remarqué plusieurs fois, lorsque nous devions dormir, des personnes douteuses venaient chez nous, je ne comprenais pas ce qu’ils disaient, car la porte était fermée puis ils repartaient. Expliqua la fille qui commençait à avoir les larmes aux yeux.
- Je comprends, dit Lensant, je vais repartir, je continuerai à vous poser des questions dans deux jours, à la prochaine et soyez prudents.

Il monta dans sa voiture et commença à rouler. Sur le chemin du retour, dans un bois, il vit un cabanon abandonné, enfin presque :
on aurait dit une vielle cabane de braconnier, sur l’extérieur, des bidons d’eau potable vides et pleins, une petite mâchette en bon état, un tas de bois, on peut distinguer des souches d’arbre coupées mais à l’intérieur, une lumière, comme un feu de bois et une silhouette !
L’inspecteur décida d’aller voir, il prit son fusil par mesure de sécurité et avança…


PS : je suis désolé pour les fautes d’orthographe, n’ hésitez pas à me donner des conseils sur la formulation des phrases etc …
Merci d’avance !

Moi, je m'appelle Mathieu, j'ai 14 ans, je vis dans un hameau avec mon père et ma mère, je vais à l'école dans le village d'à coté et je promène mon chien une fois tous les deux jours en prenant mon temps pour observer les oiseaux, les compter, les identifier. Une fois, j'ai même eu la chance de rencontrer un jeune hibou blessé, je l'ai amené chez moi pour le soigner, et relâcher. Souvent, je m’arrête au pied d'un grand chêne et je fais une sieste de 15 petites minutes. Mon chien et moi, c'est une vraie histoire d'amour. Un jour, en rentrant du collège, j'entendis une voix qui me dit :
« Ça va, ta journée s'est bien passée ?
-Je répondis, oui », sans prendre conscience qu'il n'y avait personne.
En prenant le goûter, je me rendis compte que j’étais seul ! Je commençais à me poser des questions. Mais qui m'avait donc parlé ?! Un peu plus tard, j'entendis la même voix qui me dit :
« Je voudrais profiter du beau temps et faire une balade avec toi ?
-Qui me parle !?
-Moi !!! » dit la voix. Je me dis que mon imagination me jouait des tours. Quand tout le monde était rentré et que l'on commençait à manger, on entendit :
« Moi aussi j'ai faim .
- Ma mère me dit, Tu viens juste de finir ton assiette ne me fait pas croire que tu n'as rien eu !
- Je répondis, ce n'est pas moi qui ai parlé.
-Elle me répondit, tu ne vas quand même pas me dire que c'est le chien qui parle ! »
Confus, je sortis de table et pour aller me coucher. Cette fois-ci je n'étais pas fou, ma mère l'a aussi entendu. Bon, la nuit porte conseil, espérons qu'il n'y ait pas de problème .
Le lendemain matin, je pris mon petit déjeuner, je partis au collège en expliquant ça à mon meilleur ami qui me dit :
« Très drôle ta blague mais j'te crois pas, je veux bien t'accompagner chez toi pour vérifier et j' promènerai ton chien avec toi.
Après les cours, je pris le bus avec Samuel, on descendit à mon arrêt puis quand on rentra dans la maison on entendit:
« Je vois que tu as ramené un ami, ce ne serait pas ce Samuel dont tu m'as déjà parlé
-Je répondis, QUE CELUI QUI ME PARLE SE MONTRE !!!!
On entendit plus personne, mon chien entra dans le couloir, coura vers nous pour avoir des caresses mais personne ne se manifesta.
Mon copain comprit que je ne plaisantais pas, il n'était pas très rassuré pendant le goûter il n'y avait personne d'autre que Samuel et moi mais on entendit « je veux sortir promener » Samuel comprit que c'était mon chien qui parlait et non pas un humain !!!!!!!!
à suivre dans le prochain Tome

moi, je n'ai jamais eu de mal à me faire des amis mais être seul c'est une liberté:
Partout ou je vais, je me fais des amis, comme au collège, en primaire, en maternelle même une fois a un camping des Hollandais mais, là n'est pas la question! je commence à grandir et mon entourage aussi: les amis d'hier deviennent les ennemis d'aujourd'hui et inversement. Il y a aussi ceux que l'on perd de vue ou ceux qui deviennent violents . parfois je vais seul sur un banc et je regarde le ciel perdu dans mes pensées pour moi ces moments seul valent de l’or et c’est un passe-temps au sens propre je me retrouve seul face à moi-même !
c’est d’ailleurs ces moments qui stimule mon imagination et grâce a eux je me sent liiiiiiiibre…

défit entre amis, n’ésiter pas a aller voir la version de mes amis
-Lisy
-l'inspecteur roman