Élias et Naé ne se sont jamais parlé d’amour.
Ils se sont regardés, souvent. Croisés, toujours.
Dans les silences entre deux cours, dans les gestes offerts sans explication, dans les petits riens qui pèsent lourd.

Ils ont chacun écrit, en secret, des lettres qu’ils n’ont jamais envoyées. Des mots retenus, des battements masqués.

Et puis, un jour ordinaire, leurs chemins se sont arrêtés au même endroit, au même moment.
Pas de déclaration.
Juste une main tendue.
Une main prise.

Sans un mot, ils ont choisi.
De rester.
L’un pour l’autre.
Pour toujours.

Une histoire d’amour sans aveu, mais pleine d’évidences.

Le jour de ses 21 ans, Ely reçoit en héritage un miroir brisé, accompagné d’un mot mystérieux : « Regarde. » En posant enfin ses yeux dessus, elle découvre un monde parallèle où son reflet semble vivre sa propre vie — sombre, énigmatique, et terriblement réel. Pour comprendre son passé et sauver son avenir, Ely doit rassembler les éclats du miroir, chacun gardé par des créatures liées à ses secrets familiaux. Mais plus elle avance, plus la frontière entre vérité et mensonge se brouille, et elle réalise que ce miroir n’est pas qu’un objet : c’est une conscience ancienne qui veut s’échapper… à travers elle. Dans un face-à-face final où s’entrelacent ses multiples identités, Ely doit choisir entre fusionner avec cet être ou garder son humanité. Un voyage fantastique où regarder en arrière peut changer le futur — ou tout détruire.

Une fée désabusée par l’amour s’inscrit sur Meetasy, l’appli de rencontres pour créatures fantastiques. Elle y match avec un incube repenti, devenu bibliothécaire amateur de tricot astral. Leur rendez-vous dans la Forêt des Soupirs dépasse toutes ses espérances… et pourrait bien faire naître un amour aussi inattendu que magique.

Léo a enfoui un secret si lourd qu’il a brisé sa famille — au point de tuer sa sœur pour que la vérité ne s’échappe jamais. Élise, avant de mourir, a laissé une rose noire et un avertissement cachés dans un carnet oublié au fond d’une forêt. Celui qui découvre cette lettre s’expose à une menace invisible, prête à surgir de l’ombre pour protéger ce silence mortel. Désormais, le danger n’est plus seulement un souvenir : il est à ta porte, et la rose noire continue de fleurir, silencieuse...

Deux personnes. Une rupture. Un banc.

Mais ce qui semble clair pour l’un est flou pour l’autre.

Quand Lucas pense qu’elle l’a quitté sans émotion, Jade croit qu’elle l’a supplié en silence.

Deux points de vue, deux vérités… et un malentendu qui ne sera jamais corrigé.

Dans une mégapole sous-marine où humains et machines coexistent, Pixel est une sirène androïde, mi-femme, mi-code, née d’un rêve glitché. Prisonnière d’un océan numérique, elle rêve de toucher la vie humaine — ses failles, ses émotions, son chaos magnifique.

Quand elle croise le regard d’une humaine mystérieuse, Pixel fait un choix radical : abandonner ses circuits, brûler ses protocoles, et plonger dans l’inconnu pour devenir réelle. Mais le prix de l’humanité est lourd, et l’amour impossible.

Entre sacrifice et quête d’identité, Pixel nous emmène dans un voyage poétique au cœur d’un monde où les frontières entre le virtuel et le vivant s’estompent.

Un conte cyberpunk bouleversant, où le silence devient une mélodie.

Une vie, c’est un éclair d’émotions entre le premier cri et le dernier silence, trop courte pour qu’on la vive en pause.

Elle vit en différé.
Décalée, floue, mais toujours connectée.
À quoi ? Au manque, peut-être.
Un récit sur la fatigue d’exister, la poésie du presque,
et la lumière des âmes à 3 % qui refusent de s’éteindre.

Il a murmuré « je suis désolé », mais ce n’était pas pour la tasse cassée — c’était pour nous, pour tout ce qu’on ne pouvait plus sauver. Dans ses yeux, j’ai vu la fin avant même qu’il ne parte, et mon cœur s’est brisé en silence.

Tu presses un nuage consentant, t’en sors avec un jus plein d’émotions bizarres… et zéro utilité, sauf celle de rêver.

Un homme part sans un mot. Pas de cris, juste un silence qui hurle. Elle tente de comprendre, de faire le deuil d'une rupture sans explication. Le vide devient son compagnon.

Le narrateur affirme être innocent d’un crime atroce, mais révèle peu à peu qu’il est déchiré par un double maléfique en lui. Ce “fantôme” intérieur commet des actes qu’il nie, le plongeant dans une folie paranoïaque où il ne sait plus qui il est vraiment. Une confession ambiguë où la culpabilité se cache derrière la folie et le mensonge.