Ce sont des Lettres qui disent ce que j'ai n'ai jamais réussie a dire a voix haute a des personnes qui je pense auraient du savoir ces choses la. Je n'ai jamais étais à l'aise pour parler en face a face j'ai toujours étais plus douer a l'écrit.

Parce j'ai faim de lui et que cette fin est éternel même si je l'ai perdue pour l'éternité. Ce que j'ai ressentie pour lui ce que je ressent toujours fera à tout jamais partie de moi. Et même si j'ai merder et que ca ne changera jamais rien je tiens à faire partager cette faim sans fin que j'aurais toujours en moi pour lui.

Hier soir fut long, quelques lettres taper sur son téléphone et une attente, une attente si longue. Tellement longue qu'une éternité semble s'être écouler. Comme une torture, une torture qu'elle sait nécessaire pour son plaisir à lui. Une attente pour qu'elle comprenne, qu'elle se souvienne, qu'elle ressente tout ce qu'elle n'as pas ressentie depuis tout ce temps. Une attente pour lui rappeller où est la place qu'elle a choisit d'occupée, une place qu'elle a prise de son plein gré.

C'étais il y a quelques années déjà, une soirée de printemps devenue un peu maussade, une idée encrée dans sa tête depuis trop longtemps. Et une habitude que certains qualifirais de mauvaise, et pour cause elle allait sur un tchat, remplie de détraquer, de pervers, de la pire sous espèces d'homme qu'on puisse trouver.

Elle y était donc par habitude, une habitude prise parce qu'elle s'ennuyait, parce qu'elle n'avait pas grand chose de plus à faire. parce qu'au fond parler avec des inconnue le temps d'un discussion n'est pas plus mauvais (selon elle) que de perdre son temps a regarder desséries en boucle. De cette façon au moins elle pouvait se plaindre de sa vie, et rire le temps d'une discussion.

Donc elle s'installa comme a l'accoutumer derrière son ordinateur, mais cette fois ci la petite voix dans le fond de sa tête se faisait de plus en plus violante, plus incistante, plus persistante. Elle n'arrivait pas à la contrôler. Cette nuit là elle n'arrivait pas a passer outre cela.

C'est donc ainsi qu'elle démarra cette soirée, seule derrière un écran a parler a des inconnus, pour la plupart des pervers sur un site de tchat. Des inconnus qui resterait sans nul doute derrière leurs écrans et qui ne se souviendrais pas d'elle. Ainsi que cette voix dans sa tête, et une idée profondémment ancrée.

Donc elle n'était pas dans une bonne journée elle décida de prendre un pseudo trash aussi trash que ce qui la hantée ses dernière années. Et elle l'asuma jusqu'au bout. Elle voulait mettre fin. Fin a ce qui lui avait semblée être putain de vie de merde. Mais tout ceci est subjectif, cela dépends de la force mental, de la volontée, de l'endurance de chacun. Chacun est unique, chacun a sa propre sesibilité, sa propre façon de voir les choses et de se positionner face à la vie.

Un pseudo qui n'as pas manquée d'attirée l'attention, mais aussi les moqueries de chacun. Certains lui demander ce qu'elle attendait pour sauter le pas, d'autre demander pourquoi sans réellement s'intérésser à la réponse, ou qui se moquer de ses raisons de se sentir ainsi. Le temps guérie tout. Voilà des paroles qu'elle n'apprécie guère. Le temps est relatif, c'est une invention de l'humain pour se donner l'impression de contrôler ce qui se passe. Mais nous n'avons le contrôle sur rien.

Enfin bref une soirée désastreuse et des gens qui lui demander si elle nous voulait pas une bonne baise avant de mourir. C'est fou ce que je vais vous dire mais non quand ont a envie de mourir on a pas envie d'une bonne baise avant. Et ça marche aussi avec, sucer un mec, se faire prendre, fumer un bon joint ou boire de l'alcool. En fait elle n'avait envie de rien.

Franchement elle se disait qu'elle était tomber bien bas, si elle pensée réellement trouver quelqu'un qui comprendrais. Oui elle n'avait pas réellement envie de parler ni du pourquoi ni du comment. Juste envie de parler. Mais au lieu de trouver des gens qui ont garder leurs humanité elle était tomber sur des bêtes, alors elle les renvoya boulet, un par un. Cela dura deux heures ou peut être même trois. Et enfin de compte elle désespéra encore plus, les seuls qui lui demander comment elle allait finissait par vouloir du cul.

C'est bien au milieu de se gouffre ou elle s'enfonçais encore plus qu'elle trouva une perle rare. Peut-être étais-ce sa perle rare. Mais il est trop tard elle l'envoya boulet comme les autres cause de sont pseudo a lui. C'était peut-être trop brutale pour elle, sur le moment. Mais heureusement il ne lacha pas l'affaire. Il insita. Heureusement pour elle, mais aussi pour lui.

Un inconnu derrière un écran venait de lui tendre une main, il venait de lui redonner goût à la vie, foi en l'humanité, même si à cette instant ils ne le savaient pas encore.

De la commença la conversation la plus longue qu'ils n'aient jamais eu. Vingt - quatre heures sans s'arrêter. Un record à battre peut-être... Seul le temps à la réponse à cette question. Toujours est-il que ce fût une conversation salvatrice, pour elle, d'une certaine façon peut-être pour lui aussi. Et c'est ainsi que commença leurs histoires. Depuis ce jours ils ne passait pratiquemment pas une journée sans se parler.

Biensur ils sont humains ils ont eu des différents, ils se sont ignorer quelques jours (enfin elle a essayer parce qu'à chaque fois qu'ils se sont disputer elle n'attendait qu'une chose en tête lui envoyer un message. Pourquoi elle ne l'as pas fait, suremment de la fierté très mal placée, un orgueil trop imprégné. En tout cas toujours est-il qu'elle avait une infini peur de le perde parce que malgrè tout c'est sont meilleurs amis. Sont seul ami mais sont meilleurs ami quand même.

Donc c'est ainsi qu'ils sont devenue amis, en partageant toute leurs vie l'un à l'autre, aucun filtre, aucun mensonge. Une honnêteté sans faille, comme si ils avaient toujours étaient amis depuis des années et des années, comme si ils se retrouvaient après des années de séparation mais que rien n'avait changer dans leurs relation, alors qu'à ce stade aucun des deux n'avait vue l'autre.

Malgré leurs différence d'âge ils avaient tellement de point commun, la façon de voir le monde, de pensée ,le plus souvent, un humour qui ne faisait pratiquement rire qu'eux. Une facilité a parler parce qu'ils savaient que l'autre ne les jugerais pas. C'est peut-être aussi pour cela qu'ils se sont livrés l'un à l'autre avec autant de facilité.

Puis le temps les a rapprocher encore plus, ils n'étaient plus seulement amis, et de fil en aiguilles une histoire forte s'est crée, un lien au délà de toute résistance, du temps, de l'espace, au délà même de l'univers. Leurs destin ont toujours étaient connecter et le seront jusqu'à la fin des temps.

Cependant l'être humain est bien étrange il repousse ce qui lui fait du bien mais garde dans sa vie ce qui le fais souffrire. Même si ils sont plus intelligent que la moyenne ils ne sont pas non plus à l'abrit de commetre des erreurs. Un tas de choses se sont produite au cours de leurs dernières année ensemble, des choses sur lesquelles ils n'ont eux aucun contrôle, aucun choix, ils ont subbis. Subbis chaques obstacle. Mais il en fut un de trop, un qu'ils n'ont pas pue surpasser. Et c'est ainsi qu'ils se sont séparer, dans la douleur, le regret, la tristesse, sans avoir le choix.

Parce que malgré tout ce qu'on dit sur on choisit tout ce qui nous arrive ce ne fut pas la réalité, ils ne voulaient pas se séparer aucun des deux, du moins pas vraiment, mais aucun des deux ne voulait blésser plus l'autre qu'ils ne l'avaient été par le passée.

Et oui chaque personnes qu'on rencontre a un passée plus au moins charger et des choses qu'ils se refuse d'y repenser, mais parfois sans le vouloir on ouvre ce qui n'aurait pas du l'être et on relache un monstre emotionelle trop difficile pour l'autre de s'y opposer et c'est la qu'il ou elle devient submerger et du coup il y a un manque de stabilité pour se remettre sur pied, d'ou le lacher prise sur quelque chose.

Enfin bref, une rupture pour le moins déchirante et indescante. Une plaie ouverte qui les poursuivra tout les deux bien longtemps.

Ce matin le réveille fût difficile, une nuit dans l'attente n'as pas aider, chaque notification sur le téléphone était un assenceur émotionelle, suivie d'un gouffre de déception, puis le souvenir de ce choix fait il y a si longtemps. Rien de mieux qu'un teste, un teste pour être de nouveau a lui. Le téléphone était autant épuisé qu'elle, elle le mis a charger avant de se faire couler un bain, histoire de reprendre un peu de force.

Une pause, un temps pour se poser les questions qui doivent l'être. Après tout ce temps ils ne s'étaient pas reparler une seule fois, depuis bientôt cinq ans. Elle apréhander énormément ces retrouvailles. Elle fût replonger dans ses souvenir, et il lui parrût presque que c'était hier qu'ils s'étaient séparer.

Mais elle fût bien vite ramener à la réalité, son conjoint venait de rentrée de son voyage d'affaire. Elle sortie du bain s'habilla et elle le rejoint dans le salon. Cela faisait deux ans qu'ils avaient enmenager ensemble Eleanor et Pietre. Ils sont ensemble depuis quatre ans. Elle ne savait pas quoi faire, devait-elle lui dire qu'elle avait repris contacte avec son ex. Est-ce que c'était le tromper que de lui caché cette vérité?

Elle n'eut pas vraiment le temps d'y penser vue qu'elle devait partir pour travailler. Elle passa cependant la journée a se demander ce qu'elle devait faire, elle ne voulait pas blesser ou decevoir Pietre et elle ne sait pas mentir, donc lui dire la vérité été la chose la plus simple à faire. Il connait sont histoire avec Louis, il sait presque tout ce qui s'est passer entre eux.

Il faut quand même dire que Louis a fait partie de sa vie, qu'il lui à sauver la vie, alors oui elle parle de lui. Parce qu'apres tout ce temps écouler, elle le voit toujours comme son meilleurs amis. Elle pense souvent à lui mais elle n'as pas eu le courage, ni l'envie de le déranger avant. Et elle redoute, elle redoute le moment ou elle dira a Pietre qu'elle parle a nouveau avec Louis, et elle redoute la réponse de Louis.

Comment ne pas redouter sa réponse une vie entière s'est écouler, si sa se trouve il a bloquer son numéro, il a changer de pays, tant de choses peuvent s'être produite en cinq ans. Elle rentra chez elle, sans savoir ce qu'elle devait dire, sachant seulement qu'elle ne saurait lui cachée la vérité, qu'il mérite au moins l'honnetetée de sa part. Elle rentra chez elle plus nerveuse que jamais.

Pietre était au fourneau qund elle passa le seuil de la porte. Elle filla dans la chambre tout en lancant un bonsoir au passage, déposa ses affaires, inspira un grand coup avant de sortir. Il la connait si bien qu'il avait eu le temps de comprendre que quelque chose n'allait pas, il avait sortie un verre de vin blanc, un sauternes, et avait mis en stand by la préparation du repas. Elle sourit, elle se rendit compte a cette instant comme une illumination dans le fond de sa tête, ils avaient réelement construit quelque chose de puissant eux aussi, une vrai relation, qui parfois n'as pas besoin de mots, juste des regards, des attitudes.

Elle sauta le pas, il le fallait, de toute façon elle ne sait pas mentir. Elle s'assit à côté de Pietre et elle lui parlas, longtemps, en lui expliquant le pourquoi du comment. Il resta un temps silencieux, analysant ce qu'elle lui avait dit, ce qu'elle ressentait, ce que lui même ressentait. Un coup de massue.

Il resta silencieux pendant un temps. Un temps qui lui paraissait une éternité. Mais elle respecta, elle compris ce besoin de reprendre ses esprits, et elle ne pue s'empêcher d'avoir peur, une boule au fond de son ventre. Étrangement une attente venant de lui ne lui faisait pas le même effet qu'avec Louis.

Il comprit, et il accepta même si il n'était pas ravi, au fond il n'as pas vraiment le choix il sait tellement ce que Louis représente pour elle qu'il ne ferais que crée des problèmes qui n'ont pas lieu d'être. Après tout il ne veut que son bonheur.

Plus tard dans la soirée le téléphone sonna, elle le dévérouilla sans vraiment attendre une réponse de Louis, elle ne pensée pas qu'il lui répondrait si vite. Elle lue sa réponse, sont visage s'illumina comme si un rayon de soleil pouvais sortir de son visage. Et elle parle avec Louis, comme elle l'avait toujours fait, sans filtre, sans crainte, comme si ils avaient parlée la veille.

Et ils rattrapèrent le temps perdue, se racontant leurs vies, leurs histoires, leurs réussites, leurs échecs, tout ce qu'il y avait a dire depuis cinq ans. Tout. Ils retrouvèrent rapidement leur complicité, leur habitude, leurs private joke.

Ils passèrent des semaines a parler. Et peu à peu elle se rendit compte de ce qu'il lui manquer le plus, sa place. La seule place qu'elle est réellement choisie en sont âme et conscience, le seul véritable endroit ou elle voulait être à cet instant. Dans ses bras.

En renouant avec Louis elle renoua avec tout ce qu'il lui avait apporter un jour, mais voilà comment surpassé ce sentiments aujourd'hui alors qu'elle n'avait pas réellement su le faire ces cinq dernière année? Serait-elle assez forte pour ne pas tout foutre en l'air avec Pietre juste sur un coup de tête.

Je me suis réveillée ce matin là, avec des sentiments partagée, je venais de réalisée que j'étais tombée amoureuse à nouveau de Louis, enfin à nouveau je ne sais pas plutôt je n'ai jamais arrêter de l'aimer et que j'étais aussi amoureuse de Pietre. Je suis amoureuse de deux hommes. Je vous raconte pas le bordèle des derniers jours, je me sentais coupable de vivre avec Pietre, je me sentai coupable de parler avec Louis.

Je pensée pas pouvoir ressentir autant d'amour pour deux personnes, ni recevoir autant d'amour parce que malgré tout je pense que les deux sont amoureux de moi. Je sens le mal de crâne me monter. Ce n'est pas parce qu'ils sont tout deux amoureux de moi qu'ils vont accepter l'autre, et puis c'est étrange de se dire que je veux les deux dans ma vie et d'une certaine façon de la même manière.

Je suis amoureuse des deux mais pas de la même façon, ils sont différents et ils sont unique donc forcément l'amour que je leurs porte est unique aussi. Je ne veux pas les blesser, je ne veux pas les laisser tomber ni l'un ni l'autre. Je dois leurs dire ce que je ressens n'est-ce pas. Ils ont le droit de savoir. Et puis de toute façon je ne sais pas mentir. Je parlerais avec Pietre en premier, je vis tout de même avec lui.

Je suis rentrée plus tôt que les autres jours, je voulais cuisiner pour lui, non pas parce que je me sens coupable (même si au fond c'est le cas), mais parce que cuisiner ça a toujours était m façon de m'exprimer. Il est rentrée une heure après moi environ et le dîner était presque prêt. Je nous servie un bon verre de vin.

Je n'avais qu'une seule vrai peur la peur de le blesser, et de détruire tout ce que nous avions construit jusque là. Je lui racontait les grosses lignes de ses dernières semaines passer a parler avec Louis, et ce que j'épprouve pour lui. Ce que j'épprouve pour eux, la culpabilité que je ressent, l'impression de les tromper eux deux. Il ne répondit rien. Il prit sont mentaux ses clefs et il s'en alla sans m'adresser un mot.

Je compris a cette instant que j'aurais dû me taire, ne rien dire. Je le regardée passer le seuil de la porte. Mon cerveau ne compris pas ce qui venait de se passer, je pleurée, sans réelement savoir pourquoi, il venait de partir oui, mais il ne m'avait rien dis étions nous toujours ensemble? Je pleurée encore et encore, je reçu un message de Louis, je ne savais pas si je devais lui répondre ou non. Je venais juste de perdre Pietre je n'étais pas sur d'encaisser la perte de Louis derrière. Mais je n'avais pas le droit de faire marche arrière, lui aussi mérité malgré tout de connaître la vérité.

Je pris mon courage à deux mains a moitié effondrer sur le canapé, :" Non ça ne vas pas très bien, Pietre viens de quitter la maison sans un mot sans un regard... Je ne suis pas sur qu'il revienne."

Mon téléphone sonna immédiatement:

- Allo!
- Oui?
- Pourquoi il est parti comme ça, il s'est passé quoi?
- Je lui ai dis quelque chose... Et il n'as pas réagis il est juste parti.
- Mais tu lui a dis quoi pour le mettre dans cette état.
- ça te concerne aussi. Je préfère pas te dire ça par téléphone, toi qui préfère le savoir a l'ignorance vient à la maison je te dirais tout.

J'ai raccrochée le téléphone en mode speedy gonzales j'ai pleurée à nouveau. Je ne veux plus souffrir comme ça. Effectivemet aimer deux personnes et être aimer des deux ça donne deux fois plus de bonheur, mais la souffrance aussi peut être multipliée par deux. Et puis d'un coup la réalité me ramena sur terre. Après cinq ans sans voir Louis j'allais le revoir pour la première fois, lui dire que je l'aimée toujours. Que j'aimais quand même Pietre tout ceci est de la folie. Je sais qu'il ne me jugera pas, mais acceptera t il.

Il arriva environ trente minutes plus tard, je lui ouvri la porte et je resta la a le regarder d'en bas. Avec ses vingt centimètre de plus, les yeux et le bout du nez rouge, comme une enfant qui a besoin d'être rassurée qui a beoin d'être prise dans les bras. Et sans un mot de ma part il compris. Il me pris dans ses bras, et on est rester comme ça sur le pas de la porte de longues minutes.

Puis il fallut nous séparée de cette étreinte si longuement attendue. On entra, il observa un peu ma maison, et il m'as rejoint sur le canapé. Il me pris la main comme pour me dire, qu'il était la qu'il ne me jugerais pas qu'il écouterait comme il l'avait toujours fais auparavant. Il m'as fallut quelques minutes pour rassembler mon courage et lui dire enfin tout ce qui s'était passer avec Pietre et lui dire que j'étais toujours amoureuse de lui.

Il m'écouta parler sans m'interrompre. Quand mon monologue pris fin, il me sourit. Un sourire que je n'avais plus revue depuis tant d'années, un sourire qui vous illumine de l'intérieur, un sourire a faire fondre n'importe qui, n'importe quoi, un sourire que je pensée ne plus jamais revoir. Trois mots, trois petit mot venus carresser mes oreilles et rechauffer mon coeur. Je t'aime.

Et des larmes qui coullairent a nouveau, un mélange de joie, de tristesse, d'anxiété, de pur bonheur. Lui aussi m'aimer. Seulement je ne pue m'empêcher d'être triste car Pietre n'avait pas l'air d'accepter que je puisse réellement aimer deux hommes. Ont resta la sur le canapé a parler. Puis il m'as dit qu'il était la et qu'il serait quand même la pour moi. Que ce qui compte pour lui c'est que je l'aime lui, même si j'en aime un autre en même temps. Et qu'il ne ferais rien tant que la situation n'étais pas plus clair pour moi.

Le lendemain Pietre rentra. Il s'excusa d'être parti de cette façon mais qu'il avait besoin de temps seul pour réfléchir remettre ses idées au claires et gérer ce que je lui avait dit. Je ne lui en voulais pas bien au crontraire j'étais contente qu'il soit rentré sain et sauf. Il me dit que le fait que j'aime Louis ainsi que lui n'avait rien d'étonnant, au vue de ce que je lui avait dit sur Louis. Et que la seule chose qu'il voulait c'était mon bonheur. Il me pris dans ses bras me dit qu'il m'aimait et déposa un baiser sur mon front.

Quelque jours plus tard je me suis rendue compte qu'aucun des deux n'avaient rencontrés l'autre et qu'il fallait qu'ils se rencontre, que c'était essentielle vue qu'ils faisait tout deux partie de ma vie désormais. Je leurs proposa un dîner a trois à la maison, Pietre accepta il sait que de toute façon Louis reste mon meilleurs amis et qu'il est important pour moi qu'il se rencontre.

Louis accepta aussi même si il ne m'avoua pas être un peu gêner de rencontrer Pietre, non pas parce que je l'aimer aussi, mais plutôt parce que j'avais raconter a Pietre quasiement toute notre histoire.

Le soir du dîner arriva rapidement. Je me préparai pour les deux hommes que j'aime. Je partie ouvrire a Louis avec son sourire toujours aussi lumineux, un bouquet de rose rouge à la main ( mes préférés). Je les mis dans un vase au milieu de la table. Et on commença tout les trois a discuter, j'étais un peu anxieuse qu'ils ne s'entendent pas, mais au final ils se sont bien entendue, comme des vieux amis.

On passa la soirée a discuter, a rire, a se raconter des histoires. Je leurs pris la main a tout les deux, je les regarder a tour de rôle et je leurs dis que je les aimer. Ils me regardèrent tout deux. Et presque en coeur ils me répondire qu'ils m'aimer aussi.

J'étais enfin entourée des deux hommes de ma vie. Louis et Pietre.