bonjour a tous,
je me retrouve ici comme nombre d'entre vous, a la suite de Doctissimo. je n'ai encore rien publié. je m'etais promis avant d'entamer quoi que ce soit d'autre, de terminer ici le seul recit que j'avais publié sur docti (la vengeance de Louise). mais...je manque un peu d'inspiration pour continuer et terminer ce récit sur Louise, et une autre histoire me trote dans la tête. une histoire vrai qu'on m'a raconté, et que j'aimerai développer ici.
je vais donc essayer de vous parler, d'une histoire de Cuckold.

-POV Louise-
je m'appelle Louise, je bosse dans le ciné et le spectacle, je suis maquilleuse.
Ce matin, je dois me rendre au studio trois pour maquiller deux comédiens qui doivent tourner une scène, pour une série bien française, bien mal écrite, et sans aucun doute pas très bien jouée...mais peu importe, un mauvais comédien doit être aussi bien maquillé qu'un bon!
J'arrive dans les loges pour faire mon travail, et ils m'attendent déjà tous les deux. L'un à l'air particulièrement agacé et me reproche d'être en retard alors que je suis en avance, ça commence bien, et l'autre me détaille sans aucune gêne, d'un œil un peu trop insistant.
Je commence par le plus grognon, me disant qu'il vaut mieux que je fasse vite pour le maquiller pour ne plus l'entendre se plaindre, mais ça laissera au second tout le temps et le loisir de me mater sans retenue.
La scène nécessite seulement un léger maquillage pour les lumières artificielles du plateau, j'ai vite terminé avec ce mec vraiment très gentil...il passe les trois minutes dont j'ai besoin pour le maquiller à s'agiter, se plaindre que je ne vais pas assez vite, que je ne devrais pas bosser dans le cinéma si je ne suis pas capable de le maquiller correctement...vraiment un bon moment d'échange avec un type que j'ai hâte de recroiser quoi !
Vient le tour du second que j'avais un peu oublié durant le malaise installé par le premier. Il essaie clairement de me draguer pendant que je le maquille. Il me fait des compliments lourdingues, niveau trois heure du mat en boite, essaie de me toucher les bras, je le repousse gentiment mais assez fermement pour qu'il comprenne. Heureusement qu'il s'agissait d'une retouche légère, il n'aura pas eu le temps de trop m'importuner.
Il rejoint le plateau à son tour, me laissant souffler.

Je me retrouve seule face au miroir. Il me renvoie l'image d'une jeune fille rousse à la chevelure longue et ondulée, flamboyante. pas très grande, un peu moins d'un mètre soixante dix, ni ronde ni mince, je fais attention à ma ligne mais je suis gourmande, mon emploi du temps très chargé me donne une excuse toute trouvée pour préférer me reposer au lieu de faire du sport quand j'en ai la rare occasion...la balance affiche soixante quatre kilos pour un metre soixante neuf. je pourrai perdre quelques kilos pour être plus en forme, mais j'assume très bien mon corps et ses légères rondeurs, assez avantageusement placées. Plutôt que de stocker mes petites rondeurs dans les chevilles ou le menton (pas très sexy hein?), la nature m'a doté de galbes sensuels. Une poitrine très voluptueuse, j'affiche fièrement un quatre-vingt quinze E assez résistant à la gravité, des fesses rebondies et des hanches larges. Je suis une jeune fille du vingt et unieme siècle, qui a succombé à la mode des tatouages et des piercings. Six de chaque, et tous ne sont pas visible dans ce reflet. On peut voir des petits symboles à mes poignets, un grand anneau créole a chacune de mes oreilles ainsi qu'un "labret", petite boule noire discrète sous ma lèvre inférieure. Le reste est caché sous ma tenue de travail préférée, une jupe noire au dessus du genoux, un débardeur en lycra noir très près du corps et décolleté, et une paire de talons un peu rock, avec quelques ornements style clous mais, plus sexy girl que punk, et un petit tablier noir par dessus.
Je suis très heureuse du métier que je fais, j'ai rencontré pleins de gens super, mes meilleurs amis et d'autres moins proches mais sur qui je peux compter; c'est un milieu méconnu mais très ouvert. La suite au prochain chapitre!