Françoise Grenier Droesch
Bonjour la communauté,
Je suis retraitée de l'éducation nationale depuis 2015 et d'un emploi d'adjointe d'animation depuis 2022. Malgré ça, je n'arrive pas à me discipliner pour écrire tous les jours alors que j'ai une éditrice qui aimerait que je transforme une novella (genre thriller) en roman, déjà éditée par une autre ME qui arrête la collection (il s'agit de "Peaux-Mortes" précedemment publiée par Evidence Editions qui me rend mes droits d'auteur).
Je pense que les ateliers d'écriture payants pourraient me convenir (celui qui concerne les Polars ou bien celui Fantasy car j'ai d'autres nouvelles jeunesse qui seraient à étoffer de sorte qu'ils atteignent le nombre de pages suffisants pour un petit roman de 50 pages.
J'ai eu pas mal de publications en Anthologie chez de petits éditeurs (RrozZ éditions, Otherlands, Gandahar, Jacques Flament, NanazProductions, Les Ombres d'Elyranthe, Les Occultés, La Cabane à mots, Les roses Bleues, Le don des mots, L'Ivre- Book en numérique ainsi que sur le blog du Nouveau Monde suite à ma participation aux tournois des nouvellistes de 2014 à 2016 "Au coeur de l'Arène"... quelques receuils collectifs en auto-publication comme "Damnations" et "Malédictions"). Beaucoup ne sont plus imprimées ou ont disparu en même temps que les micro éditions.
Je me considère plus comme une novelliste, même si ma première publi était un roman genre thriller paranormal. Bien avant l'écriture, je me destinais au professorat de dessin (j'ai echoué au CAPES par 2 fois à cause d'un manque de préparation aux épreuves orales du à la fac Saint Charles de Paris, à l'époque). Bref voici pourquoi je dessinais et brusquement je me suis mise à écrire :
Pour évacuer mon trop plein d'imagination qui se manifestait au départ par le dessin, les gravures, des œuvres tournées vers le fantastique. Un jour, je n'ai pas pu dessiner un personnage, vampire psychique à la fois maître de l'espace, du temps et j'ai été obligée, car il me "vampirisait", à commencer à écrire les flashs qu'il m'envoyait, ses mauvaises œuvres visant le rajeunissement. "Le piano maléfique" est né avec un inspecteur à la recherche d'élèves séquestrés et d'une maîtresse trouvant le moyen de se sauver du château du maître, le Comte de Nerval. Un jeu du chat et de la souris entre le Comte et L'inspecteur Léonidas formant une sous-intrigue.
1ère fois que j'écrivais autant (250 pages), années 2009 / 2010
Il a été publié par Le manuscrit.com, ME plutôt tournée vers la publication de thèses d'étudiants et par des livres de cuisine, bref, pas trop à voir avec la SFFF, mon domaine de prédilection (voit l'horreur). Mauvaise expérience donc qui m'a poussée à fréquenter les forums d'écriture (l'Écritoire des Ombres et Cocyclics) et à me familiariser avec cette difficile passion (que je me suis découverte) qui est l'écriture et la création de nouvelles. Des succès à certains AT me confortent dans la poursuite d'écriture de textes SFF et aussi de romans jeunesse (j'en ai 3 de publiés chez de petites structures dont "Les aventures d'Aldo Lerouge" chez Chérubins Editions en ce début d'année 2023).