Ce ne sont pas JUSTE des mots.
C'est un pansement sur des plaies qui saignent encore.

Cette histoire, c'est la mienne, c'est ma lente reconstruction.
Face au harcèlement scolaire.
Face aux douloureuses cicatrices qu'ont laissées leur rire, leurs mots et leurs actions,
Ces mots, ce sont la dernière pierre, la dernière étape avant la lumière.
Avant la délivrance.
C'est une entorse au silence

Si tu reconnais ton ombre entre ces lignes. Tes silences dans mes mots, leurs rires sur la page. Alors, ceci n'est pas seulement mon histoire, c'est aussi un écho à la tienne. Ceci est une note qui reprend tes cris.
Si tu t’es déjà cherchée entre deux battements de cœur, entre deux gémissements étouffés dans la nuit. Ce livre est pour toi.

Ces mots pulsent encore de colère et de douleur. Mais tendez l'oreille, vous entendrez aussi un cri de fierté.

À la suite d’un accident de voiture, Ina perd la vue. Perdue et désorientée, elle ne souhaite qu'une chose : Fuir ce cauchemar.
Elle se retrouve après un souhait désespéré à se réveiller dans un monde inconnu, et très différent du sien. Un monde où tout est magique, elle y comprit.

Ce monde ne l’a pas choisie par hasard : une mission vitale lui est destinée. Une quête qu'elle seule peut mener à bien. Pour sauver ce royaume qui n’est pas le sien et retrouver sa réalité, elle devra surmonter ses peurs, accepter sa différence et transformer son handicap en atout.

Accompagner de trois compagnons, elle s'élance sur les routes d'un royaume qui lui est inconnu. Dans lequel la magie est banale. Elle découvrira en elle des facettes insoupçonnées et des forces cachées. Mais parviendra-t-elle à s’accepter et à mener à bien sa mission ? Réussira-t-elle à trouver sa vérité ?
Entre recherche de soi, et quête de liberté. Ce voyage lui apportera, bien plus que des souvenirs. Une force incroyable qu'elle ne pensait pas posséder.

Ensemble de poème sur le harcèlement.

De quoi ? Toi non plus, mais c'est vrai qu'il faudrait écrire IDIOT en gros sur ton front, pour prévenir les autres. Mais tu sais, on peut arranger ça... Un petit uppercut et le tour est jouer. Tu veux qu'on essaye ? Non ? Bah pourquoi ? (*il ou elle fuit*) Bah attend ! Reviens !!! On n'a pas encore essayé !!

1. Tu te baladeras toujours avec un carnet sur toi, même aux endroits les plus improbables. Si tu ne veux pas que tes meilleures idées, s'envolent comme des petits papillons, 2. Tu écriras sur tout et n'importe quoi. 3. Tu accepteras les critiques constructives 4. Tu ne tenteras pas d'atteindre la perfection dès ton premier brouillon. 5. Tu prendras le temps d'attendre que les mots "justes" viennent. 6. Tu liras beaucoup, quoi qu'il arrive. 7. Tu n'auras pas honte de ce que tu écris et tu te ficheras complètement du regard des gens :c'est pour toi que tu écris! 8. Tu apprendras à effacer les passages qui alourdissent ton texte, même si c'est ceux que tu adores. 9. Tu mettras des mots sur tes maux: quel meilleur exercice d'écriture? 10. Tu en profiteras pour passer un message ou sensibiliser : Autant allier l'utile à l'agréable!

Dans les décombres de l'indifférence, Elle marche, droite malgré la peur, Elle a vu la mort, le sang, la douleur, Mais elle avance encore en silence, Les bombes l'ont frôlée, l'ont laissé en vie, Sans famille, sans sourire, sans amies, Plus de tombes que de maisons debout, Elle pleure dans le vent, leur amour si doux, Le soleil se lève, avec son lot de tristesse, Les rires des enfants malgré les horreurs, Teinte la poussière, insuffle de la couleur, Aux rues remplies des échos de détresse,

Aujourd'hui, il a plu, Fort, comme un cri jamais entendu, J'ai vu le reflet de mon état dans les flaques, Et chaque goutte sur ma peau a été une claque, Angoisse, peur, puis colère, J'ai noyé mes sentiments sous une pluie salutaire, Un vent ferme a séché mes larmes, Comme pour me dire que j'avais toujours des armes. Mais l'incertitude et la surprise, Sont restés collés à ma peau, en traitrise, Dans mon oreiller, j'ai hurlé mes questions, Et mes doutes sont revenus avec l'appréhension, La pluie fera-t-elle naitre bientôt, Quelque chose de plus beau, Que des cris et des sanglots ?

Larme qui brille sur des joues, enfance gâchée par la guerre, Petit garçon dans les décombres, quand le jour se fane, Creusé par la fatigue et la faim, habillé de poussière, Il crie et hurle sans réponse à part le vent qui ricane. Blessé, à peine a-t-il ouvert les yeux sur ce monde, Brisé sans raison, perdu sans maison, Forgé par la cruauté, il murmure une chanson. Sous les bombes, le ventre vide, il vagabonde, Il n'a connu ni l'abondance, ni arboré la légèreté. D'un enfant innocent, empli de rêve, de liberté, Il a vécu beaucoup, si peu, il hurle dans l'indifférence, D'un monde où l'argent prime sur l'humanité et sur la cohérence, On dit prôner l'égalité et la fraternité. Mais lesquelles de ses belles paroles ont été réalisées ? Je vous en prie, juste une minute, juste un instant. Pensez à eux, à ces enfants, N'oubliez pas Gaza.

Pour commencer ce plan maléfique. Je vous prie, cher lecteur ou lectrice, de lire entièrement cette page. Avant de commencer à la mettre en pratique. Question de logique : On ne fait pas une recette en même temps qu'on la découvre! Sinon, on se retrouve avec des coquilles d'oeuf dans le gâteau. Et même si ça rajoute un côté croustillant. On est tous d'accord pour dire qu'on préfère éviter. Alors, pour cette partie, vous devez leur faire croire que vous êtes partout. Que vous êtes tout le monde et personne. Les désorienter. Leur faire si peur qu'ils en tremblent. Immiscer l'angoisse dans leur quotidien. Vous pouvez par exemple glisser des petits mots dans leur boîte à œufs. (Ne poussez pas mémé dans les orties non plus, il faut éviter qu'ils se suicident. Sinon, il y aura des plaintes.) Les appeler à toute heure du jour et de la nuit. Blindez leurs boîtes aux lettres pour qu'ils comprennent que ce qu'ils font, ça vous saoule. Et puis vous verrez qu'ils se refermeront sur eux-mêmes. Et là, magie! Ils ne feront plus de fête jusqu'à quatre heures du matin en mettant la musique à fond. Elle n'est pas belle la vie?

Voilà ça, c'est moi. D'une moins une partie de ce que je suis.

Soudain, j'ai eu envie d'écrire. J'ai écrit sur tous. Sur rien. Mais jamais sur ça. Pourquoi ? Ça fait partie de moi, et je n'en ai pas honte.
À chaque fois que j'ai essayé, les mots s'enfuyaient. Ils filaient dans le vent. Mes souvenirs allaient trop vite, mais pas mon esprit. Cela me frustrait et je n'arrivais à rien.
Mais aujourd'hui, c'était différent. La feuille m'attirait, et les mots coulaient tous seul. Alors, je me suis lancée. Je me suis replongée dans mes souvenirs et j'ai raconté comment. Comment je me suis relevée après avoir été harcelée.
Lorsque j'ai mis le dernier mot. Je me suis relu. J'étais satisfaite. Cela devait faire deux ans que je courrais derrière ses mots. Tous ces mots qui décrivaient ce que je ressentais. J'avais enfin réussi à les coucher sur du papier.
J'aurais pu le garder pour moi. Comme tout ce que j'écris... Mais j'ai eu une autre idée : le publier.

Comment commencer une lettre quand c'est pour clore la lettre de la fin de sa vie? Cette question tourne et retourne dans ma tête. Devrais-je commencer par "Salut"? Ou alors devrais-je m'excuser de la tristesse que je vous cause... Je l'ignore. Tout ce que je sais. C'est que je me sens vide. Et que je ne ressend plus aucune joie à l'idée d'écrire. En faîte je ne ressent plus rien. Un opaque brouillard a envahit mon corps. Alors, avant de commencer à m'expliquer sur les raisons de mon geste. J'aimerais vous poser une question simple... Qui es-tu : toi qui tiens cette lettre. Une personne de ma famille? Ou un un/e ami/e? Si c'est le cas, je te remercie de m'avoir tout donné. L'amour, la vie, le courage et des souvenirs joyeux... Je te remercie d'avoir été là, et je m'excuse pour ce que je viens de faire. Sachez que vous avez fait partie des seuls à m'avoir fait douter de mon choix. Je vous aime. Pour chaque particule de bonheur que vous m'avez offert sans exiger en retour. Pour chaque parole réconfortante, optimiste, motivante que vous m'avez donnée, dans ma vie. Je vous souhaite un bonheur sans limite. De la taille de votre bon coeur et de votre courage. Vivez en paix, faites-le pou