S’habituer à être en vie, c’est l’être un peu moins.

D’astre à désastre…

Lorsque je manque d’inspiration, j’observe le ciel en espérant trouver les mots qui, peut-être, se cachent derrière les nuages. Le ciel attend qu’on lui prête nos voix et nos plumes pour révéler ses histoires.

« Merci pour les roses et merci pour les épines. » Merci à Jean d’Ormesson pour cette magnifique phrase qui m’a grandement inspirée. Paix à son âme.

Cette question m’est venue à l’esprit : sommes-nous insignifiants ?

À tous ceux qui se sentent seuls…

Je l’ai tué. Il y a bien longtemps maintenant, je l’ai tué…

Laissez-vous bercer par les proses et appréciez l’aventure. Je vous raconte tout.

Désolé maman…

Et si j’écrivais à ma Solitude ?

Entre blessure et tentative de guérison : Écrire pour éviter de mourir.

Tant de questions qui interdisent au bonheur l’accès à mon cœur.

« Mais tu restes un des miens, un des nôtres, alors s’il te plait…

Arrête le temps, peins moi ta vision de la scène. »