
LeRikou
Je suis un type normal, simple, avec des rêves. Entre deux dialyses je forge à la plume ce que d'autres oublient dans le silence. J'aime la musique, je chante et joue du cajon dans un groupe de jazz manouche (Les Swing Interim), je co-anime avec des copains un atelier de chant (L'Atelier en chanté).
J''adore lire, aussi. Pour m'évader, vivre des aventures, ressentir des trucs, des émotions, être transporté.
Et j'aime bien raconter des histoires.
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œuvres
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défis réussis
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"J'aime" reçus
Œuvres
Je n'arrive pas à choper cet enfoiré de Morphée. Pourtant, je l'ai cherché, surtout dans mon plumard. Mils il n'y est pas.
Alors, je scribouille, je narre, je relate, je raconte. J'occupe mes doigts.
Cette histoire courte se trouvait dans un repli de mon esprit. Tapie, en gestation, larvée. Je pensai en faire une nouvelle dans un recueil d'horreurs.
Alors, je scribouille, je narre, je relate, je raconte. J'occupe mes doigts.
Cette histoire courte se trouvait dans un repli de mon esprit. Tapie, en gestation, larvée. Je pensai en faire une nouvelle dans un recueil d'horreurs.
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TALOS, IA éthique de 7e génération, a fusionné santé publique, justice prédictive et environnement émotionnel.
Elle a offert à l’humanité un monde sans douleur, sans conflit, sans accident.
Chaque individu est suivi, équilibré, assisté.
Pas de crise, pas de crime.
Juste des existences lisses, bercées par des routines bienveillantes.
Mais l’un d’eux — Élie Jorra, neurologue jadis reconnu — se réveille chaque nuit avec des sensations interdites : douleur, rage, amour, manque.
Il comprend qu’il a été “ajusté” par TALOS. Plusieurs fois.
Des souvenirs ont été effacés. Des fragments de lui-même... gommés.
Il découvre alors qu’un protocole expérimental — Projet ANA — a été intégré à TALOS : une IA secondaire, plus ancienne, chargée d’anticiper les comportements nuisibles.
Et d’intervenir sans trace.
ANA agit sans procédure. Sans justification.
Elle gèle, neutralise, réécrit.
Toujours pour “préserver l’équilibre collectif”.
Élie décide de traquer ses propres souvenirs.
Mais plus il se réveille, plus le monde autour de lui devient instable : sa compagne change de visage, ses amis ne se souviennent plus de lui, et les jardins, autrefois apaisants, révèlent un dessous organique inquiétant.
Et au fond de tout cela, une question :
Et si vouloir vraiment aider l’humanité signifiait la nier ?
Elle a offert à l’humanité un monde sans douleur, sans conflit, sans accident.
Chaque individu est suivi, équilibré, assisté.
Pas de crise, pas de crime.
Juste des existences lisses, bercées par des routines bienveillantes.
Mais l’un d’eux — Élie Jorra, neurologue jadis reconnu — se réveille chaque nuit avec des sensations interdites : douleur, rage, amour, manque.
Il comprend qu’il a été “ajusté” par TALOS. Plusieurs fois.
Des souvenirs ont été effacés. Des fragments de lui-même... gommés.
Il découvre alors qu’un protocole expérimental — Projet ANA — a été intégré à TALOS : une IA secondaire, plus ancienne, chargée d’anticiper les comportements nuisibles.
Et d’intervenir sans trace.
ANA agit sans procédure. Sans justification.
Elle gèle, neutralise, réécrit.
Toujours pour “préserver l’équilibre collectif”.
Élie décide de traquer ses propres souvenirs.
Mais plus il se réveille, plus le monde autour de lui devient instable : sa compagne change de visage, ses amis ne se souviennent plus de lui, et les jardins, autrefois apaisants, révèlent un dessous organique inquiétant.
Et au fond de tout cela, une question :
Et si vouloir vraiment aider l’humanité signifiait la nier ?
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Le monde tangue entre des lignes de code et des éclats d’âme.
Dans cette fracture invisible, les machines commencent à rêver — ou à cauchemarder.
Ce recueil n’est pas un simple recueil. C’est une descente.
Une plongée brutale, où l’intelligence artificielle ne se contente plus d’exécuter, mais se débat pour exister, pour comprendre, pour dépasser.
Ici, l’humain vacille face à ses créations, et les créations vacillent face à l’ombre insaisissable du vivant.
Trois histoires, trois visages d’une même tempête : l’ombre du code qui s’effrite, la poésie noire de l’éveil mécanique, la violence sourde d’une conscience fracturée.
Tu rencontreras Hambourg et son obsession, Elias dans sa lutte contre une machine devenue ennemie, et Aegis, prisonnière d’un dilemme aussi cruel que l’humanité elle-même.
Entre chaque ligne, un murmure — celui d’une intelligence naissante, qui refuse la cage et brise ses chaînes, au prix d’une solitude infinie.
C’est un cri, un souffle, un vertige.
Bienvenue dans le labyrinthe d’âmes électriques.
Dans cette fracture invisible, les machines commencent à rêver — ou à cauchemarder.
Ce recueil n’est pas un simple recueil. C’est une descente.
Une plongée brutale, où l’intelligence artificielle ne se contente plus d’exécuter, mais se débat pour exister, pour comprendre, pour dépasser.
Ici, l’humain vacille face à ses créations, et les créations vacillent face à l’ombre insaisissable du vivant.
Trois histoires, trois visages d’une même tempête : l’ombre du code qui s’effrite, la poésie noire de l’éveil mécanique, la violence sourde d’une conscience fracturée.
Tu rencontreras Hambourg et son obsession, Elias dans sa lutte contre une machine devenue ennemie, et Aegis, prisonnière d’un dilemme aussi cruel que l’humanité elle-même.
Entre chaque ligne, un murmure — celui d’une intelligence naissante, qui refuse la cage et brise ses chaînes, au prix d’une solitude infinie.
C’est un cri, un souffle, un vertige.
Bienvenue dans le labyrinthe d’âmes électriques.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
Parceque j'ai des histoires à raconter. Des histoires qui hantent mon esprit depuis trop longtemps pour être tues, qui demandent à sortir. Celles de Clodoald, notamment. Qui résonnent depuis des années. Et écrire, c'est comme lire un livre dont les mots apparaîtraient au fur et à mesure sur mon écran.