
En attendant la pluie
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Défi
C'est parti pour le défi du Brad mensuel ! Mériterais-je ma place parmi les Spartiates ?
Pour le moment, j'ai prévu deux catégories : fantastique (contes revisités, imaginaire...) et le quotidien d'une école primaire.
Pour le moment, j'ai prévu deux catégories : fantastique (contes revisités, imaginaire...) et le quotidien d'une école primaire.
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Fée est née d'une goutte de pluie.
Elle découvre la vie dans une nouvelle de fantaisie érotique qui ne se prend pas au sérieux.
Elle découvre la vie dans une nouvelle de fantaisie érotique qui ne se prend pas au sérieux.
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J'ai retrouvé des poésies légères, mutines et sans prétention dans mon grenier.
Attention tout de même, vous entrez en zone romance classée X.
Attention tout de même, vous entrez en zone romance classée X.
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Défi
C'est un conte qui m'a inspiré pour le défi "Mariage heureux, mariage foireux". Mon second défi est que vous reconnaissiez de quel conte il s'agit.
Ce mariage commence sous les meilleurs auspices. Il y a juste un vilain petit secret...
NB : pour connaitre les versions originales des contes, je vous conseille l'excellent "Et à la fin ils meurent" de Lou Lubie.
https://loulubie.fr/livres/et-a-la-fin-ils-meurent
Ce mariage commence sous les meilleurs auspices. Il y a juste un vilain petit secret...
NB : pour connaitre les versions originales des contes, je vous conseille l'excellent "Et à la fin ils meurent" de Lou Lubie.
https://loulubie.fr/livres/et-a-la-fin-ils-meurent
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Défi
Un court texte en réponse au défi "C'est quoi... vivre ?"
Illustration : Charlotte Rudolph, Le Saut de Palucca, around 1922-1923. Photo Adam Rzepka,Centre Pompidou, Diffusion RMN. © Adagp, Paris 2011
Illustration : Charlotte Rudolph, Le Saut de Palucca, around 1922-1923. Photo Adam Rzepka,Centre Pompidou, Diffusion RMN. © Adagp, Paris 2011
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Défi
Un homme ordinaire se confie sur ses enfants.
Les mensonges les plus tenaces ne sont-ils pas ceux qu'on se fait à soi-même ?
Les mensonges les plus tenaces ne sont-ils pas ceux qu'on se fait à soi-même ?
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Défi
Autoportrait d'un corps à la dérive... ou libéré ?
Le défi était inspirant, même si mon texte a un goût d'inachevé.
Le défi était inspirant, même si mon texte a un goût d'inachevé.
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Sous la surface du réel, j’explore des mondes possibles.
Ceux que le deuil fait surgir, que le souvenir redessine, que l’écriture ressuscite.
Les textes rassemblés ici relèvent d’une écriture en tension :
tension entre mémoire et fiction, entre vécu brut et distanciation poétique.
Je convoque des univers fantômes — souvenirs altérés, futurs bifurqués — pour questionner ce qui nous constitue, ce qui nous échappe, et ce que nous tentons de transmettre malgré tout.
Ces fragments sont nourris de mon roman "Au cœur des vivants", dérivent de ses marges : scènes uchroniques, dialogues rejoués, correspondances déplacées, expérimentations stylistiques où le réel s’effiloche pour mieux faire apparaître une vérité plus intime.
Je travaille aussi (ici uniquement) avec et contre l’intelligence artificielle, comme dans "Protocole 7.4", dialogue spéculaire entre une autrice en reconstruction et une voix synthétique — désincarnée, mais étrangement réceptive. L’IA devient ici un révélateur, un miroir algorithmique qui renvoie la question essentielle :
Que veut-on sauver quand on raconte ?
Écrire, c’est peut-être cela :
faire parler les vivants à travers les morts.
Ceux que le deuil fait surgir, que le souvenir redessine, que l’écriture ressuscite.
Les textes rassemblés ici relèvent d’une écriture en tension :
tension entre mémoire et fiction, entre vécu brut et distanciation poétique.
Je convoque des univers fantômes — souvenirs altérés, futurs bifurqués — pour questionner ce qui nous constitue, ce qui nous échappe, et ce que nous tentons de transmettre malgré tout.
Ces fragments sont nourris de mon roman "Au cœur des vivants", dérivent de ses marges : scènes uchroniques, dialogues rejoués, correspondances déplacées, expérimentations stylistiques où le réel s’effiloche pour mieux faire apparaître une vérité plus intime.
Je travaille aussi (ici uniquement) avec et contre l’intelligence artificielle, comme dans "Protocole 7.4", dialogue spéculaire entre une autrice en reconstruction et une voix synthétique — désincarnée, mais étrangement réceptive. L’IA devient ici un révélateur, un miroir algorithmique qui renvoie la question essentielle :
Que veut-on sauver quand on raconte ?
Écrire, c’est peut-être cela :
faire parler les vivants à travers les morts.
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