En attendant la pluie
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de toujours
Intense ? Toujours.
Improbable ? Souvent.
Déstabilisante ? Il parait.
Le delta de Vénus, c’est l’écart entre la sainte et la pute. Il faut naviguer entre.
C’est ce que je tente de faire avec des textes érotiques très divers : poèmes, extraits de roman en cours, idées qui me trottent dans la tête.
Crus ou plus réflexifs, selon mes humeurs.
Improbable ? Souvent.
Déstabilisante ? Il parait.
Le delta de Vénus, c’est l’écart entre la sainte et la pute. Il faut naviguer entre.
C’est ce que je tente de faire avec des textes érotiques très divers : poèmes, extraits de roman en cours, idées qui me trottent dans la tête.
Crus ou plus réflexifs, selon mes humeurs.
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Défi
Les mots peuvent être des morsures, des bleus indélébiles.
La trace de la violence... Est-ce ainsi que vivent les hommes ?
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Je venais de corriger cette scène quand j'ai découvert ce défi. "Est-ce ainsi que les hommes vivent ?" convient très bien à ce texte sur la violence patriarcale.
Il fait partie d'un projet plus vaste dont je n'ai pas encore publié de passage. Ce défi est l'occasion de partager ce premier texte. Il s'agit d'une autofiction. Les paroles entendues sont 100% véridiques, malheureusement...
Je vais ajouter les textes qui suivent immédiatement "sale pute".
L'illustration a été réalisée à peu près à l'époque du récit... C'est dire que ça date !
La trace de la violence... Est-ce ainsi que vivent les hommes ?
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Je venais de corriger cette scène quand j'ai découvert ce défi. "Est-ce ainsi que les hommes vivent ?" convient très bien à ce texte sur la violence patriarcale.
Il fait partie d'un projet plus vaste dont je n'ai pas encore publié de passage. Ce défi est l'occasion de partager ce premier texte. Il s'agit d'une autofiction. Les paroles entendues sont 100% véridiques, malheureusement...
Je vais ajouter les textes qui suivent immédiatement "sale pute".
L'illustration a été réalisée à peu près à l'époque du récit... C'est dire que ça date !
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Défi
C'est parti pour le défi du Brad mensuel ! Mériterais-je ma place parmi les Spartiates ?
Pour le moment, j'ai prévu deux catégories : fantastique (contes revisités, imaginaire...) et le quotidien d'une école primaire.
Pour le moment, j'ai prévu deux catégories : fantastique (contes revisités, imaginaire...) et le quotidien d'une école primaire.
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Fée est née d'une goutte de pluie. 
Elle découvre la vie dans une nouvelle de fantaisie érotique qui ne se prend pas au sérieux.
Elle découvre la vie dans une nouvelle de fantaisie érotique qui ne se prend pas au sérieux.
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Défi
Le passage de l'enfance à l'âge adulte peut être brutal.
Ce texte s'inscrit dans l'univers du "Chant de Loreleï". Loreleï traverse des métamorphoses : fille, amante, femme libre.
Ce texte aborde un point de rupture : pourquoi a-t-elle renoncé à sa liberté ?
Ce texte s'inscrit dans l'univers du "Chant de Loreleï". Loreleï traverse des métamorphoses : fille, amante, femme libre.
Ce texte aborde un point de rupture : pourquoi a-t-elle renoncé à sa liberté ?
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Défi
C'est un conte qui m'a inspiré pour le défi "Mariage heureux, mariage foireux". Mon second défi est que vous reconnaissiez de quel conte il s'agit. 
Ce mariage commence sous les meilleurs auspices. Il y a juste un vilain petit secret...
 
NB : pour connaitre les versions originales des contes, je vous conseille l'excellent "Et à la fin ils meurent" de Lou Lubie.
https://loulubie.fr/livres/et-a-la-fin-ils-meurent
Ce mariage commence sous les meilleurs auspices. Il y a juste un vilain petit secret...
NB : pour connaitre les versions originales des contes, je vous conseille l'excellent "Et à la fin ils meurent" de Lou Lubie.
https://loulubie.fr/livres/et-a-la-fin-ils-meurent
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Ils avaient fait "une blague" à sa fille. Une simple blague, pensaient-ils.
Elle, elle n'a pas trouvé ça drôle.
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Illustration : "Le berceau" de Berthe Morisot
Elle, elle n'a pas trouvé ça drôle.
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Illustration : "Le berceau" de Berthe Morisot
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Défi
Un homme ordinaire se confie sur ses enfants. 
Les mensonges les plus tenaces ne sont-ils pas ceux qu'on se fait à soi-même ?
Les mensonges les plus tenaces ne sont-ils pas ceux qu'on se fait à soi-même ?
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Défi
Un parking, la nuit. Une femme qui attend. Une odeur qui se répand dans la voiture.
Baissez la lumière et lancez "Requiem" d'EZ3kiel.
Baissez la lumière et lancez "Requiem" d'EZ3kiel.
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Défi
Un court texte en réponse au défi "C'est quoi... vivre ?" 
 
Illustration : Charlotte Rudolph, Le Saut de Palucca, around 1922-1923. Photo Adam Rzepka,Centre Pompidou, Diffusion RMN. © Adagp, Paris 2011
Illustration : Charlotte Rudolph, Le Saut de Palucca, around 1922-1923. Photo Adam Rzepka,Centre Pompidou, Diffusion RMN. © Adagp, Paris 2011
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Défi
Autoportrait d'un corps à la dérive... ou libéré ?
Le défi était inspirant, même si mon texte a un goût d'inachevé.
Le défi était inspirant, même si mon texte a un goût d'inachevé.
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Sous la surface du réel, j’explore des mondes possibles.
Ceux que le deuil fait surgir, que le souvenir redessine, que l’écriture ressuscite.
Les textes rassemblés ici relèvent d’une écriture en tension :
tension entre mémoire et fiction, entre vécu brut et distanciation poétique.
Je convoque des univers fantômes — souvenirs altérés, futurs bifurqués — pour questionner ce qui nous constitue, ce qui nous échappe, et ce que nous tentons de transmettre malgré tout.
Ces fragments sont nourris de mon roman "Au cœur des vivants", dérivent de ses marges : scènes uchroniques, dialogues rejoués, correspondances déplacées, expérimentations stylistiques où le réel s’effiloche pour mieux faire apparaître une vérité plus intime.
Je travaille aussi (ici uniquement) avec et contre l’intelligence artificielle, comme dans "Protocole 7.4", dialogue spéculaire entre une autrice en reconstruction et une voix synthétique — désincarnée, mais étrangement réceptive. L’IA devient ici un révélateur, un miroir algorithmique qui renvoie la question essentielle :
Que veut-on sauver quand on raconte ?
Écrire, c’est peut-être cela :
faire parler les vivants à travers les morts.
Ceux que le deuil fait surgir, que le souvenir redessine, que l’écriture ressuscite.
Les textes rassemblés ici relèvent d’une écriture en tension :
tension entre mémoire et fiction, entre vécu brut et distanciation poétique.
Je convoque des univers fantômes — souvenirs altérés, futurs bifurqués — pour questionner ce qui nous constitue, ce qui nous échappe, et ce que nous tentons de transmettre malgré tout.
Ces fragments sont nourris de mon roman "Au cœur des vivants", dérivent de ses marges : scènes uchroniques, dialogues rejoués, correspondances déplacées, expérimentations stylistiques où le réel s’effiloche pour mieux faire apparaître une vérité plus intime.
Je travaille aussi (ici uniquement) avec et contre l’intelligence artificielle, comme dans "Protocole 7.4", dialogue spéculaire entre une autrice en reconstruction et une voix synthétique — désincarnée, mais étrangement réceptive. L’IA devient ici un révélateur, un miroir algorithmique qui renvoie la question essentielle :
Que veut-on sauver quand on raconte ?
Écrire, c’est peut-être cela :
faire parler les vivants à travers les morts.
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