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Alvyane Kermoal

Angoulême.
Défi
Alvyane Kermoal
Me voici bien embêté à t’écrire un courrier que tu ne liras probablement jamais. Pourtant, je ne peux me défiler et me dois de m’exprimer. Mes mots seront simples, parfois durs, car tu es mon compagnon depuis les instants de ma vie les plus obscurs.

Te rends-tu compte du courage qu’il me fallut pour vivre avec toi ? Non, bien sûr que non, toi qui te penses indispensable.

C’est de notre faute. On t’a mis très tôt sur un piédestal.
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Défi
Alvyane Kermoal
Déposer les enfants à l'école et vite rentrer à la maison pour pouvoir travailler. C'est tout ce dont j'ai envie jusqu'à cet instant précis où mon regard me découvre dans l'immense vitrine qui me fait face.

Un reflet qui me paralyse et qui me renvoie une image que je n'ai pas envie de voir.
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Alvyane Kermoal
Il fait si beau dehors et toute ma famille est réunie. On a mis ma musique préférée comme je l'avais demandé...
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Alvyane Kermoal
Le regard désespéré d'une jeune sorcière sur l'humanité.

Malgré son immense colère, elle ne peut pas agir et se demande comment les humains vont finir. Accompagnée d'un ancien, ils observent, détaillent ce qu'il se passe sous leurs yeux.
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Alvyane Kermoal
Lorsque l'attente est difficile et que la correspondance se fait coquine.
Maîtresse et Amant se confient l'un à l'autre, parfois grivois, souvent tendre et libertin.
La poésie s'invite dans leurs ébats littéraires, pour mieux les distraire.

Elle l'attend et le lui dit dans ces quelques vers,
et désespère de ce temps qui passe... si lentement, finalement.
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Alvyane Kermoal
Parfois, on se perd dans la contemplation d'une photo, d'une œuvre qui nous ouvre les portes d'un instant fugace, venu du passé, un instant vrai ou juste imaginé.

Je me suis laissée prendre et les mots me sont venus tout naturellement.

"Il" revient dans la demeure familiale laissée à l'abandon, la colère au cœur. Il me donnait ses pensées, je vous les offre en retour.
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Alvyane Kermoal



Cher Père Noël,
Voici des années que nous nous connaissons et nos rapports ont toujours été cordiaux. Bon, nous avons eu quelques différents pour des cadeaux demandés qui ne furent jamais livrés (J’attends toujours de savoir quel est le lutin qui m’a piqué ma poupée qui parle.). Cette année, je me suis dit que puisque les enfants t’envoyaient leurs doléances, je pourrais peut-être glisser la mienne sur une feuille de papier.
Ce cadeau n’est pas le mien. Il est pour un homme à l’âme douce et fière. Il est pour un homme qui me rend femme entière. Je pourrais te demander de me faire parvenir, l’une de ses petites tenues affriolantes, dont les mères Noël sont friandes… mais je leur laisse sans le moindre regret. La cravache que la mère fouettarde nous a offerte, nous plaît énormément. Elle accompagnera les liens de soies que j’ai confectionnés pour mon Autre, promesses de jeux inédits, de tendres folies. Il m’attachera à son lit, les yeux bandés, pour que mes sens fassent leurs envolées. Le souffle court, offerte à son imagination, j’attendrais, l’oreille aux aguets. Il tournera autour de moi, de sa main m’effleurera.
Les mots qu’il a couchés sur le papier, de la plume de son envie, il les couchera sur mon fessier. Je me laisserai aller à l’idée du désir qu’il a de me faire jouir. Ma croupe se soulèvera pour qu’il puisse en faire le tour, m’effleurer de sa verve. Mes mains s’accrocheront à nos liens. Des frissons, tout entière, me gagneront. Onduler pour mieux l’inviter. De ma croupe danser pour l’inciter. Un homme comme j’ai la chance d’aimer est un cadeau que l’on vous fait. Il s’écartera, me laissera espérer la prochaine promesse, la prochaine caresse. Comment le faire venir à moi, qui suis à sa merci, consentante par choix ? Ces liens qui nous attachent, sont les ailes de notre liberté, d’aimer avec panache, sensualité ou bestialité.
Mon cœur s’emballe à ces folles pensées, mais je ne peux m’en empêcher. Son souffle sur ma peau, ses mots à mon oreille, son regard si beau sont pour moi des trésors, de langoureuses merveilles. Les plaisirs qu’il m’offre de sa bouche me rendent, je l’avoue, folle et peu farouche. La cravache se fera douce, frôlera mon dos tendrement, par petites touches. Des larmes d’attente couleront le long de mes joues, je gémirai, le suppliant de tout mon corps d’être plus fou. Il la laissera partir de ma nuque tendue, la fera descendre avec dextérité jusqu’à mon cul. Elle restera un instant sans bouger, simplement là posée. Ses lèvres viendront se poser sur mon flanc, me faisant sursauter. Puis le coup sec claquera dans sa chambre, et me fera violemment me tendre. La douleur s’effacera pour que vienne la chaleur. Mais, il n’ira pas plus loin et sa bouche viendra effacer cette brûlure avec soin. On se découvrira, s’apprivoisera pour nos plaisirs interdits de demain.
Mon corps, mon âme, mon cœur sont alors sereins, lorsque je vis nos fantasmes et notre amour dès le petit matin. Il me fait adorer nos corps-à-corps autant que notre quotidien.
Je ne peux te demander de cadeau, car j’ai le plus précieux qui soit, mais s’il te plaît, père Noël… J’ai un vœu quelque peu enfantin, que tu comprendras, c’est certain.
Donne-nous, donne-lui un peu de neige le 25 décembre au matin… que l’on puisse après une bataille de neige, s’aimer sans fin, dans nos draps de satin.
Ta dévouée petite sorcière Alvyane,
presque désolée de t’avoir émoustillé.
P.S : J’ai oublié… Mon Autre et moi avons été très très sages cette année, comme tu peux le constater.
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Alvyane Kermoal
Un sujet qui me touche de plein fouet à un moment d'une rare violence pour moi.

150 mots (comptés sur ce site) et trois obligations.

Je devais ajouter dans le texte, handicap invisible, fatigue chronique et entorse.
Ma colère, ma fatigue ont parlé avec autant de calme que possible.

Merci pour cette petite libération.
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Défi
Alvyane Kermoal
Ethan ne parvenait plus à comprendre ce qu’il se passait. Irrémédiablement toutes ses pensées se mélangeaient, ne trouvaient plus la moindre logique à sa vie. Il avait envie de laisser les larmes couler le long de ses joues, de hurler le nom de son père, comme s’il pouvait le faire revenir d’entre les morts pour innocenter sa mère. Il se sentait perdu. Plus rien n’avait de sens. Le jeune garçon voulait retrouver cet arbre magique, retrouver Sophie. Peut-être pourraient-ils glisser dans un des mondes parallèles et changer les choses ? Ce serait si simple, si rassurant. Plus de policiers, plus de maman en pleurs, plus de papa absent. Seulement quelque chose dans l’esprit d’Ethan lui faisait comprendre que c’était impossible. Pourquoi vouloir retrouver Sophie alors qu’elle était près de lui quelques minutes avant ? Ethan sentait poindre une forte migraine. Il avait soif et ne parvenait pas à se déplacer comme il le souhaitait. Il fronça des sourcils, examina les lieux autour de lui. Une impression d’obscurité oppressait son esprit. Il étouffait, essayait de reprendre sous souffle. C’était tellement difficile. Ses bras étaient lourds, ses jambes ne bougeaient plus. Il ne pouvait plus r
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Défi
Alvyane Kermoal
Extrait d'un pas de danse, vieux texte.

Eva se rend à l'anniversaire de sa meilleure amie. Elle est un peu perdue et c'est l'occasion pour elle de sortir de ses problèmes, de prendre le temps de se détendre.

La musique et un inconnu vont lui faire vivre un instant intense et sensuel.
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Alvyane Kermoal
Une scène de violence conjugale comme tant d'autres. Des douleurs, la peur pour ses enfants, mais pas celle de mourir.

Elle a tout accepté de lui, subit les humiliations, sauf que Gwen va trouver le courage de dire Stop.

Rien n'est jamais facile.
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