Claire Béatrice Montfort
Les plus lues
de toujours
À Bayeux, Elise se protège derrière un masque de pierre.
On la dit froide, incapable d’aimer.
Raphaël, un écrivain en exil, cache ses blessures dans ses carnets.
Leurs chemins se croisent au détour d’une conférence, d’un café, d’une promenade sous la pluie. Entre eux, pas de déclarations éclatantes, mais des silences, des frôlements, des gestes retenus. Peu à peu, dans la lenteur et la pudeur, une autre vérité s’impose : peut-être que la douceur, elle aussi, peut brûler.
L’Étreinte des Ombres Douces est un roman de regards et de silences, une histoire d’amour en clair-obscur, inspirée par un poème de Verlaine.
On la dit froide, incapable d’aimer.
Raphaël, un écrivain en exil, cache ses blessures dans ses carnets.
Leurs chemins se croisent au détour d’une conférence, d’un café, d’une promenade sous la pluie. Entre eux, pas de déclarations éclatantes, mais des silences, des frôlements, des gestes retenus. Peu à peu, dans la lenteur et la pudeur, une autre vérité s’impose : peut-être que la douceur, elle aussi, peut brûler.
L’Étreinte des Ombres Douces est un roman de regards et de silences, une histoire d’amour en clair-obscur, inspirée par un poème de Verlaine.
84
59
47
182
LA DOMINANTE
Et si le vrai pouvoir n'était pas de prendre, mais de savoir attendre ?
Nathan, acteur américain de 58 ans, cherche l'auteure anonyme dont il adapte le roman au cinéma. À Bayeux, il rencontre Clara, 45 ans. Restauratrice d'art. Des cicatrices qu'elle ne cache pas. Un regard qui impose le silence.
L'attraction est immédiate. Mais Clara fixe les règles : "Un centimètre à la fois."
Soixante-deux jours pour tout changer.
Soixante-deux jours où Nathan doit apprendre la patience.
Soixante-deux jours avant qu'il découvre qui elle est vraiment.
Car Clara est l'auteure qu'il cherche.
Et depuis le premier café, elle l'observe. Le teste. Écrit leur histoire en même temps qu'elle la vit.
Ce n'est pas une romance ordinaire. Ici, la femme domine. Pas avec des chaînes. Avec sa présence. Son refus. Sa lenteur obstinée.
Ici, le consentement est érotique. Chaque "oui" est un cadeau. Chaque limite respectée renforce le désir.
Ici, les corps sont réels. Cicatrices. Âge. Fausses couches. Regrets. Rien n'est effacé.
Ici, l'attente devient brûlante. Parce que la vraie dominance n'est pas dans la prise. Elle est dans le souffle.
Un roman écrit par une femme mais dont le narrateur est un homme.
Un roman cru, poétique, traversé de désir retenu.
Pour qui ?
Romances lentes où chaque regard compte
Érotisme intelligent où le désir se construit
Héroïnes qui ne se laissent pas sauver
Jeux littéraires et mystères identitaires
Amour mature, intense, marqué par la vie
La Dominante n'est pas un livre qu'on dévore. C'est un livre qu'on savoure. Qu'on referme en se demandant : "Et si c'était vrai ?"
"Un centimètre à la fois. Et soudain, tu as parcouru des kilomètres."
450 pages | 50 chapitres | Romance adulte
Érotisme littéraire | Slow burn | Mise en abyme
Ouvrez la première page. Respirez. Et laissez la peau parler avant les mots.
Et si le vrai pouvoir n'était pas de prendre, mais de savoir attendre ?
Nathan, acteur américain de 58 ans, cherche l'auteure anonyme dont il adapte le roman au cinéma. À Bayeux, il rencontre Clara, 45 ans. Restauratrice d'art. Des cicatrices qu'elle ne cache pas. Un regard qui impose le silence.
L'attraction est immédiate. Mais Clara fixe les règles : "Un centimètre à la fois."
Soixante-deux jours pour tout changer.
Soixante-deux jours où Nathan doit apprendre la patience.
Soixante-deux jours avant qu'il découvre qui elle est vraiment.
Car Clara est l'auteure qu'il cherche.
Et depuis le premier café, elle l'observe. Le teste. Écrit leur histoire en même temps qu'elle la vit.
Ce n'est pas une romance ordinaire. Ici, la femme domine. Pas avec des chaînes. Avec sa présence. Son refus. Sa lenteur obstinée.
Ici, le consentement est érotique. Chaque "oui" est un cadeau. Chaque limite respectée renforce le désir.
Ici, les corps sont réels. Cicatrices. Âge. Fausses couches. Regrets. Rien n'est effacé.
Ici, l'attente devient brûlante. Parce que la vraie dominance n'est pas dans la prise. Elle est dans le souffle.
Un roman écrit par une femme mais dont le narrateur est un homme.
Un roman cru, poétique, traversé de désir retenu.
Pour qui ?
Romances lentes où chaque regard compte
Érotisme intelligent où le désir se construit
Héroïnes qui ne se laissent pas sauver
Jeux littéraires et mystères identitaires
Amour mature, intense, marqué par la vie
La Dominante n'est pas un livre qu'on dévore. C'est un livre qu'on savoure. Qu'on referme en se demandant : "Et si c'était vrai ?"
"Un centimètre à la fois. Et soudain, tu as parcouru des kilomètres."
450 pages | 50 chapitres | Romance adulte
Érotisme littéraire | Slow burn | Mise en abyme
Ouvrez la première page. Respirez. Et laissez la peau parler avant les mots.
23
0
0
23
Défi
Une plongée nostalgique dans l'univers des technologies obsolètes qui ont façonné notre rapport au temps et à la matérialité, avant que le numérique ne dématérialise nos souvenirs et nos gestes quotidiens.
4
5
0
2
Défi
Pour tous ceux qui ont lu "L'Empreinte des Ombres douces", vous la reconnaitrez. Pour les autres, je vous présente Elise. Une femme admirable qui vous apportera beaucoup de sourires et de douceur.
3
12
0
3
Défi
À toi, qui as su, dans le silence de ta propre douleur, affronter les tempêtes et faire entendre, contre le tumulte du monde, une vérité trop souvent tue. À toi, homme debout, dont le courage a éclairé des chemins que l’on croyait réservés aux voix féminines, rappelant à tous que la souffrance n’a ni genre ni frontière, et que les blessures intérieures n’obéissent à aucune loi sociale, sinon celle du cœur qui bat encore malgré les orages. À toi, qui as choisi de ne pas détourner le regard, de ne pas t’enfermer dans le silence complice, mais d’offrir au monde la sincérité nue de ta voix, même tremblante, même cassée parfois — car la vérité ne demande pas de perfection, seulement d’être dite. À toi, dont la fragilité assumée devient une force, dont la pudeur éclaire plus que mille discours, dont la simple présence rappelle que l’on peut survivre sans cesser d’aimer, et aimer sans cesser de se reconstruire. À toi, qui m’as montré, sans le savoir, que les cicatrices pouvaient se transformer en éclats de lumière, que les larmes n’étaient pas des faiblesses mais des preuves d’humanité, que le courage n’est pas le contraire de la peur, mais l’art d’avancer malgré elle. À toi, qui inspires
3
2
1
1
Défi
Jean a fui Balleroy et ses quarante-trois ans d'amour pour se noyer dans le vacarme de Paris. Mais dans cette ville qui hurle et qui court sans jamais s'arrêter, le silence normand le rattrape. Et elle avec.
Un texte sur l'arrachement et la résilience qui commence.
Inspiré de "Mon rêve familier" de Verlaine.
Un texte sur l'arrachement et la résilience qui commence.
Inspiré de "Mon rêve familier" de Verlaine.
2
4
0
3
Vous êtes arrivé à la fin
