L’histoire oscille entre le mystère et l’horreur psychologique, avec une atmosphère oppressante où la frontière entre la réalité et l’illusion se floute. Le lecteur est invité à explorer les limites de la perception humaine et à questionner la nature de ce que l’on voit, de ce que l’on est… et de ce que l’on refuse de voir.
et il y a le chapitre 11

Commentez moi j’écris quoi ici ?

La lune me parle encore elle parle de Une personne seule, qui ne trouve pas de réconfort dans les gens autour d’elle .

Cette histoire parle d’Isadora, une tueuse solitaire, mystérieuse, presque invisible.
Elle vit dans l’ombre, tue avec précision, mais elle n’est pas un monstre : elle est brisée, hantée par un passé douloureux et par les vies qu’elle a prises.C’est une âme fatiguée qui cherche à ne pas sombrer complètement.

C’est un poème très personnel et sombre, souvent lié à la solitude, à la dépression ou à une douleur qu’on n’ose pas montrer

L’histoire « Le Banc sous la Pluie » parle de : L’attente éternelle d’un amour disparu.
Elle raconte la vie d’une femme nommée Min-Seo, qui s’assoit chaque jour sur un banc, au même endroit où elle avait rencontré l’homme qu’elle aimait. Un jour, il est parti en lui promettant de revenir… mais il n’est jamais revenu.

Les souvenirs sont les traces laissées par le passé dans notre mémoire.
Ils peuvent être des images, des sons, des odeurs ou des sensations, qui reviennent à l’esprit et ravivent des instants vécus.

La personne qui part semble hésiter : ses yeux supplient de rester, mais elle ne dit rien. Ce silence fait encore plus mal



Cette image symbolise la perte de l’avenir ensemble. Ce "demain" qu’ils auraient pu partager disparaît comme une odeur emportée par le vent.

Il parle de la perte d’un chien aimé, de ce vide immense qu’il laisse après son départ, et de l’amour éternel qu’il continue de faire vivre dans le cœur de son maître.
C’est un poème triste, mais rempli de tendresse et de souvenirs.

Ce poème célèbre la paix, la sagesse et le refuge que l’on trouve dans la nature, surtout dans la forêt, où tout semble pur et hors du temps

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Minuit tombe… et moi, je dors Sous une pierre, loin des corps. Le vent récite ce que j’étais, Un nom gravé… que l’on oubliait. Les roses fanent sur le marbre froid, Les pas s’effacent, personne ne voit. Je parle aux ombres, je parle aux vers, À ceux qui rampent dans la terre. Minuit… et la lune m’éclaire à peine, Comme un regard perdu, sans haine. J’entends les vivants rire là-haut, Mais leur joie me semble si faux. J’étais quelqu’un, jadis, peut-être… Maintenant, je suis juste un être Que la nuit berce sans retour… Minuit sur ma tombe… sans amour.