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GEO

Région parisienne.
GEO
Silvio Lavoretti a neuf ans, il vit avec sa famille dans un quartier calme et populaire de Venise. Il partage tous ses jeux avec Agostino, son meilleur ami.
Un jour, Silvio vient en aide d’une troupe de chats des rues, ces derniers l'entrainent dans une exploration des lieux mystérieux que recèle son quartier.

Les derniers chapitres sont désormais publiés ! L'histoire est complète et se termine... Bien car c'est un conte.

En tant que membre du Club Valentine, je suis ouvert à un maximum d'annotations pertinentes.
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Défi
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Hélène, a déjà par deux fois rencontré des extra-terrestres. Comme on dit, jamais deux sans trois !
Aujourd'hui, elle part décrocher un stage dans une start-up vénitienne, mais la police locale et un curieux groupe de gens habillés en noir s’intéressent de près à ses faits et gestes.

La cité des doges est-elle le repère ultime de la fange de l'univers ?


(Club Valentine)
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GEO
Trois enfants de Venise, une vieille dame sur laquelle courent les plus folles rumeurs, une disparition. Que s'est-il passé dans la rue des rois mages ?
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Défi
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Club Valentine
Cette nouvelle a été écrite en réponse à un défi, elle est désormais terminée, la fin ayant laissé certains lecteurs perplexes, j'espère avoir des avis constructif sur celle-ci
Je suis ouvert à tous commentaires et annotations.
A Bientôt
GEO
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GEO
1906, Un détective privé parisien est engagé pour retrouver le fiancé d'une charmante jeune femme.

Son enquête le mènera-t-elle au bout du tunnel ou au fond du trou ?
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Ce texte est un complet remaniement, je reste évidement ouvert à tous les commentaires possibles et imaginables sur l'intrigue, le style, l'orthographe.
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GEO
Chaque année, un concours de nouvelles de SF en moins de 300 caractères est organisé. Je n'ai pas participé, mais le concept m'a plu.
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GEO
Que se passe-t-il si une grosse masse ouvre une brèche entre les univers ?
Comment réagira Joachim, lycéen en perpétuelle fuite s'il passait dans un monde violent en suivant une jeune et mystérieuse jeune femme ?
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Défi
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Un poing, une joue, un KO.
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Ce matin du seize juin 1906, je compulsais de la paperasse, je devais rendre un rapport sur les affaires de la nuit. Le patron se montrait intraitable sur ce point.
Il devait être sept heures du matin quand Plantieu rentra dans mon bureau.
— Inspecteur, il faut que vous veniez.
Je pris un temps avant de lever les yeux de mon document. Sa lecture ne me passionnait pas, mais je souhaitais faire cogiter le nouvel arrivant sur son incorrection. Lorsque je remarquai le teint livide de sa grosse figure, un frisson me parcourut. Je me demandais ce qui pouvait mettre ce vieux briscard dans un état pareil. Il en avait vu depuis qu’il patrouillait dans la capitale, des suicides, des crimes conjugaux, des enlèvements d’enfants et bien pire encore. Qu’il ait été aussi choqué me déroutait. Je me levai et enfilai ma veste avant de prononcer le moindre mot.
Il me devança à la porte et commença à dévaler l’escalier du commissariat avant que je ne le rattrape.
— Que se passe-t-il, Plantieu ?
J’espérais adopter un ton rassurant, mais je discernai des trilles d’angoisse dans ma propre voix.
— Je préfère que vous vous fassiez votre propre idée, inspecteur.
Même si je le sentais content de me refiler la responsabilité de ses problèmes, je percevais à quel point il était perturbé. Son corps tremblait. Il manqua de tomber en enfourchant sa bicyclette et je me demandais s’il tiendrait le coup. Je pris mon propre vélo et le suivi.
Il me conduisit près de Montmartre, à l’entrée d’une impasse où deux hirondelles attendaient. Le plus jeune, Gilbert, avait taché sa capeline à force de rendre le contenu de son estomac. L’autre, Carmin, ne faisait pas non plus le fier et tirait frénétiquement sur un bout de cigarette éteinte.
Plantieu mit pied à terre et m’invita à le suivre. Je le voyais qui se tendait à l’idée de retourner sur place. Je dévisageais un instant Gilbert qui baissa les yeux et essaya de me cacher les traces de vomis de son uniforme.
Un poing implacable me serra les tripes. Une odeur empestait le fond du passage. La tête des trois hirondelles en disait trop long pour soulager ma soudaine angoisse.
Nous entrâmes dans la ruelle. Elle devait servir de dépôt au troquet du coin, à en juger aux emballages de Suze qui traînaient là. Des relents de chair morte s’insinuaient dans mes narines. Je les reconnaissais bien, ils peuplaient mes souvenirs les plus sombres.
Plantieu me guida jusqu’à un tas de caisses et s’immobilisa, en m’indiquant de la main que je devrais continuer seul.
J’entrai et me figeai, le cœur à l’arrêt. Mon regard ne pouvait se détacher de son visage. Je ne sais pas combien de temps j’étais resté paralysé. Des bourrades et des paroles indistinctes parvinrent à briser ma coquille.
— Qu’est-ce qu’on fait inspecteur ?
Au ton de sa voix, je comprenais qu’il avait dû se répéter avant que je réagisse.
— Empêchez les curieux de s’approcher, bredouillai-je.
Devant sa passivité, je pris sur moi de compléter mes instructions.
— Plantieu, éloignez les curieux et envoyez Gilbert au poste ! Dites-lui de convoquer Prévost. Qu’il vienne avec son carton à dessin et cinq hommes. Qu’il prévienne la médico-légale pour qu’ils expédient un fourgon. Plus vite que ça !
Heureux de quitter les lieux, le gros policier claqua des talons en saluant et partit d’un pas chancelant.
Laissé seul, je me tournai vers le fond de l’impasse et contemplai à nouveau la tragédie. Le corps mutilé gisait entre deux caisses, à demi enveloppé dans des vêtements déchirés. Le torse et l’abdomen béaient sur les entrailles. Une robe et un chemisier, imbibés de sang, se confondaient avec les blessures. Une des jambes, arrachée à hauteur du genou, se couvrait d’un jupon de coton désormais rouge.
Sans que je leur demande, mes yeux explorèrent la scène et tombèrent sur un pied sagement chaussé d’un petit soulier. La facture des vêtements témoignait d’une condition modeste. La victime n’appartenait probablement pas à ces filles des rues poussées par trains entiers sur les boulevards de la capitale. Mais elle n’en restait pas moins morte. Je retardai le moment d’affronter sa vision. J’allumai une cigarette. Je regardais du sol vers les murs borgnes, puis vers le ciel qui se découpait entre les toits. J’abandonnai ma contemplation pour descendre à nouveau sur le visage.
Elle devait être brune, n’avait pas plus de vingt ans et affichait une grande sérénité. Elle avait raison, plus rien ne pouvait désormais la toucher. On croit en général que la face d’un supplicié porte les souffrances subies avant de mourir. J’ai souvent constaté que leur expression ressemble généralement à celle d’une personne endormie et paisible.
Je sortis mon carnet de ma poche et commençai à écrire : 12 juin 1906, impasse du Bolivet, sept heures quinze du matin. Sont présents sur les lieux : Gilbert, Plantieu et Carmin. Victime : jeune femme 20 ans ou moins, condition modeste. Corps mutilé, pas de trace de lutte, violence extrême.
Les odeurs de déjection de moisi et d’ordures se mêlaient à celles du sang. Ensemble, elles me retournaient l’estomac. Je passai entre deux caisses et rejoignis les autres à l’entrée de l’impasse.
Je retrouvai Carmin et Plantieu. Ils me tournaient le dos et fumaient, muets. Devant eux, des badauds les dévisageaient, mais ne faisaient pas mine de s’approcher.
Nous attendions depuis une demi-heure quand le reste de la brigade arriva. Cinq agents commandés par Prévost, un jeune inspecteur au regard tendre et aux belles moustaches. Il n’avait pas encore eu l’occasion de faire ses preuves sur le terrain. Par contre, il avait démontré ses talents de dessinateur et son souci du détail. Dans l’immédiat, je souhaitais trois portraits de la victime et je l’accompagnai auprès d’elle.
Après quelques vomissements, ses tremblements cessèrent. Dix minutes plus tard, il me tendit les croquis. Il lui avait donné un beau sourire et des yeux pétillants. La voir si vivante, tracée de quelques traits de crayon sur une feuille blanche me laissa la sensation d’un coup de poignard glacé.
De son côté, Prévost s’était remis à l’ouvrage et cartographiait la ruelle avec précision et méthode. Son regard d’artiste lui permettait de se détacher, de se tenir à distance de l’horreur. Je l’enviais.
Quand le fourgon de la morgue arriva, tiré par un cheval bien nourri, je sortis de l’impasse pour accueillir les nouveaux venus.
— Bonjour, Lilien. De Lavigne ne se déplace pas ?
— Non, à cette heure, il prend le thé avec le préfet. Qu’est-ce que t’as ?
— Une jeune dame, pas belle à voir.
Lilien et deux infirmiers me suivirent. Prévost continuait de porter des détails sur son carnet. Il s’écarta, livide.
Lilien s’accroupit près du corps et commença son examen. Il regarda, huma l’air, trempa un doigt dans une flaque de sang sur le sol.
— Je dirais qu’elle est morte, dit-il en tournant la tête vers moi.
Je ne souhaitais pas répondre. Mon visage devait être effrayant et il changea tout de suite de registre.
— D’après la coagulation, le décès date d’hier soir. Sa cause semble évidente, mais je ne pourrai te dire quel type d’arme a été utilisé qu’après examen.
— Je passerai vers six heures.
— Viens plutôt à sept. Le patron dîne chez le maire et je ne crois pas qu’il t’aime beaucoup.
Je retournai auprès des autres. À l’entrée de la rue, de petits attroupements se formaient de temps à autre et nos concitoyens tentaient de se renseigner. Je pris deux agents à l’écart.
— Faites le tour du voisinage, boutiques, marchands de vin, habitants. Demandez s’ils ont entendu ou vu quelque chose vers neuf heures hier soir. S’ils reconnaissent la fille du dessin, notez les noms et adresses, je m’occupe des pensions et des hôtels.
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Défi
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Bonjour

Ce texte constitue ma réponse au défis : contraintes moultement contraignantes de Jonas.

Résumé : Un vent de révolte souffle dans l'usine, le patron arrivera-t-il à sauver son entreprise tout en appliquant une politique sociale progressiste?

GEO

PS : Je revendique un problème avec les incises à la première personne au présent de l'indicatif. Si parmi vous, une bonne âme pouvait se dévouer à m'aider sur ce point, ce serait un trs beau cadeau de Noël.
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Le soleil s’abat sur sa nuque et le sable s'insinue dans ses narines, sa bouche, il n'ose pas ouvrir les yeux de peur de le sentir s'infiltrer sous ses paupières.
Sa mémoire lui revient par flashs successifs : l'ordinateur de bord commence par une alerte, presque la routine. Puis les signaux se succèdent, une escalade de l'emmerdement vers le sommet de la catastrophe.
Enfin commence la chute, sept longues minutes de lutte avant l'inéluctable, avant le renoncement : éjection, trop bas, trop vite, le parachute, même s’il se déploie à temps, ne le freine pas assez.
Il est désormais là, les membres brisés, l'esprit anesthésié par les antalgiques injectés par sa combinaison : le premier humain à poser le pied sur une exoplanète, le premier homme à y vivre et très prochainement, le premier à y mourir.
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1- Que se passe-t-il dans les sous-sols de la ville, dans les tunnels des métros, au-delà des stations, au-delà de la dernière station, au-delà du terminus ?
2- Lorsque l'on est seul dans une cité, à l'étranger en voyage d'affaire, il arrive parfois que l'on cherche à tuer l’ennui, certains sortent en boite, d'autre observent les gens, d'autres restent cloitrés dans leur chambre d'hôtel. Que se passerait il si on décidait de suivre le premier être vivant rencontré dans la rue, un chien errant, un chat, une blatte ou la belle jeune femme tout de noir vêtue qui vient de tourner dans cette ruelle obscure ?
3- Un homme se lève le matin, un trouble s’immisce en lui, sans qu’il ne comprenne pourquoi. Une ombre se pose sur lui, un arbre gigantesque se dresse au milieu de sa cour, masquant une partie de sa fenêtre, il n'était pas là la veille.
4- Parfois, les vieilles demeures sont facétieuses, avec leurs embrouillamini de couloirs, leur plancher qui grince, leurs caves inexplorées et leurs escaliers qui ne donnent que sur des murs. Quoique, je suis sûr que cette porte n'existait pas hier encore.
5- Lorsqu'on vient souvent dans le même troquet de quartier, les habitués finissent par ne plus faire attention à vous. Au bout de quelques temps, ils vous effacent du paysage, ne se méfient plus du tout de vous et recommencent à parler librement.
6- Un accident de voiture, trois tonneaux et il se retrouve au fond d’un ravin. Une rivière serpente dans la brume nocturne. Il s’extirpe difficilement de son véhicule et s’aperçoit, dans la lumière de ses phares qu’il est au milieu d’une forêt de conifères, rien à voir avec la côte bretonne qu’il vient de quitter.
7- On en croise malheureusement tous les jours. Des SDF faméliques, des vieux clochards dont la sagesse s’est enfuie avec le dernier litre de gros rouge, parfois, on leur donne une pièce, pour se donner bonne conscience ou éviter l’embarras. Si cet homme en guenille, avec son caddie de supermarché vous donne un objet, une petite bille insignifiante, que vous la mettez dans votre poche pour ne pas le vexer et que plus tard vous entendez en permanence le grincement des roues du chariot qu’il remorque sans fin dans le quartier..
8-Passer un entretien pour un poste de spécialiste en cryptographie dans une curieuse bâtisse en plein quartier historique de la ville. Une maison énorme, encombrée de vieux objets pittoresques et un interlocuteur au nom évocateur : Roy Draconic, certainement un Américain.
9- Passer une nuit dans une petite ville de la côte normande et croiser des gens bizarres et légèrement hostiles.
10- Le brouillard génère parfois une grande angoisse Lorsqu’on sait pertinemment où l’on se trouve mais que nos sens contredisent cette certitude.
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