"L'étrange journal de Cassie Washington" prend la forme de deux journaux intimes qui sont intrinsèquement liés, lien qui apparaitra à la fin de la lecture du second récit.

Dans le premier récit, on suit Cassie Washington, une adolescente comme toutes les adolescentes de son âge.
Le jour de ses 15 ans, elle reçoit de sa grand-mère un grimoire bien étrange: avec ce livre qui sera son journal intime, elle pourra discuter avec elle-même dans le futur, afin de faire les bons choix dans la vie..Un parcours initiatique qui lui permettra de s'épanouir pleinement.

La seconde partie, "un Robinson en ehpad", nous montre un homme qui se retrouve en maison de retraite contre son gré. Mélange de Robinson Crusoë et de Don Quichotte, il tentera de s'évader grâce à un imagination décalée, une douce folie. Mais un jour il fera une découverte qui changera sa vie à jamais...

J'avais déjà exprimé ma conception de la paix intérieure dans le roman« l'étrange journal de Cassie Washington» que je suis en train de publier sur scribay, c'est en fait la chute de ce roman.
J'en ai fait deux décasyllabe à l'occasion de ce défi

La conception que j'ai du bonheur est résumée dans les 2 alexandrins du deuxième proverbe

Loi 4 : la dépression est interdite aux robots

Loi 5: le mensonge est interdit aux robots

Loi 6: l'humour et l'ironie sont interdits aux robots

Puis viennent les deux lois de contrôle.

Loi de contrôle 1 :en raison des lois 5 et 6, si on demande à un robot s'il a trahi une des lois précédentes il se doit de dire la vérité

Loi de contrôle 2 . Si on soupçonne le robot d'avoir trahi les lois 5, 6 et/ou la loi de contrôle 1 , on est en droit de demander au robot si il dit toujours ou jamais la vérité . Si il répond« jamais» , alors nous sommes face à un problème logique, un paradoxe qui nécessite le démantèlement du robot pour dysfonctionnement logique et donc dangerosité de ce robot( Voilà ce qu'on appelle le syndrome de la folie chez les robots, ce qui contredit la loi 4)