Tous les défis littérairesApprendre par l'aventure
Dayson vous lance un défi !
Mon défi est simple :
Vous racontez une histoire très courte, ca peut être une anectode, une histoire drôle, romantique, tragique ou avec de l'action.
Mais l'importance c'est que vous mettez un métier ou un domaine en avant de sorte à ce qu'on apprenne quelque chose.
Il faut qu'à la fin de l'histoire on ait appris un nouveau truc et comme je l'ai dis peu importe ce que ce c'est , ca peut être dans le domaine alimentaire, mécanique, journalistique philosophique...
bref vous êtes libre :)
3 auteurs ont déjà relevé avec succès ce défi !
Défi
Un samedi matin, atelier d'écriture à la médiathèque. Des petits bouts de papier dans une panière, il faut en tire quatre.
- un bouc émissaire
- une tête de linotte
- Entrer dans la fosse aux lions
- être une poule mouillée.
Mission ? Écrire une aventure, un texte avec ces quatre expressions.
Vous la voyez l'expression sur mon visage ? Mais qu'est-ce que je vais pouvoir faire avec toute cette ménagerie ? En plus, je ne peux même pas les mettre ensemble. Le lion va tous les bouffer, en commençant par le bouc. Je vois d'ici le tableau, il ne voudra pas perdre la face, le lon. Il va entrer comme un combattant, comme un gladiateur, avec un.... sèche-cheveux ou une serviette pour sécher les plumes de la poule. Et puis, si ça se trouve, va falloir ramener des animaux, parce qu'une linotte, c'n'est déjà pas bien gros, mais si en plus il n'y a que la tête à becqueter, il va avoir faim, le lion. Et ce n'est même pas de dire qu'il pourrait en bouffer un de lion, ben si, vous savez, celui de la Pub, celui qui fait rugir de plaisir.
En plus, s'il se met à bouffer la tête de linotte, le lion, il va sûrement souffrir d'effets secondaires indésirables, genre il ne va plus se rappeler où il a posé sa crinière ou son lionceau.
Le lionceau, ça me fait penser à Simba, le bouc émissaire qui s'enfuit de la tribu, persuadé qu'il est responsable de la mort de son père. Et Scar, l'affreux pervers jaloux, manipulateur, si pleutre, si veule, si lâche. Et Timon et Pumba qui n'hésitent pas à entrer dans la fosse au lion, ce n'est rien de le dire, pour aider leur ami qu'ils nourrissent à coups de larves et de Hakuna Matata.
Et non, ma Tata n'a rien à voir là-dedans, c'est juste que c'est une vraie tête de linotte, elle a oublié de venir me récupérer au zoo.
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Défi
L’amphithéâtre débordait. Le bruit résonnait dans la salle. Des étudiants se trouvaient parterre avec l’unique objectif : de participer à ce cours.
Le professeur arriva. Tout le monde se tut. Le professeur souria. C’était le genre d’homme qu’on avait envie d’écouter. Son visage semblait apaisé, sûrement du à ses connaissances. Le cœur triste, dit-il. Et l’attention de tous les étudiants se focalisait sur les paroles du professeur. Cela veut dire quand une personne sent qu’elle ne peut pas voir la vérité. Quand elle se tourne vers son corps et son esprit et qu’ils sont tristes. A présent nous comprendrons la tristesse. La tristesse est de pleurer avec votre cœur, et non pas avec vos yeux. Et de monter au sommet de la douleur. Et d’essayer de voir la vérité entre les sons qui vous entourent. Il n’y a pas de partenaire en tristesse, elle se vit seul. C’est d’entrer dans le angles les plus sombres en vous. Et de se brûler pour éclairer votre chemin. La tristesse c’est de brûler pour éclairer votre chemin, et de pouvoir sourire en brûlant.
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Défi
J'esprit l'apostrophe pour soigner ma peau
Quelques points pour l'incruster de grains de beauté et avec du Poe
Une exclamation pour le miroir
Et une interrogation à l'intérieur du peignoir
Deux ronds-points pour façonner mes pupilles
Le regard pour tiret Camille
Guillemet le sien vers le paysage
Alors que le Capitaine crochet traînage
Tiens, un spectacle d'Hobbit au Point-Virgule
Le trait-d'union de l'ovule
Suçons ces parenthèses inattendues d'émotions
Espaçons aussi l'antidote
Une cure de Grevisse y bisque l'homard qui toussote
En corps de l'ironie
Ah, les petites contrariétés de Bernie
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