« Je le sens qui approche, père », hurle la guerrière.

« Je l’ai transformé en monstre, je suis une meurtrière.

« Je suis revenue des enfers de ma transformation,

laisse-moi l’aider et le faire revenir à la raison.

Te parler m’a aidée à trouver la solution.

J’irai sur son chemin, me donner à son affliction ».

« Je ne te laisserai pas faire » mugit son père.

« Je ne te laisserai pas risquer ta vie sur un coup de tête.

Ta mère m’a affligé d’une terrible chimère,

qu’il approche, ce roi déchu, et je tuerai cette bête.

Il a voulu te salir, te faire sienne pour maîtresse.

Il goutera plutôt à ma haine vengeresse ».

Quand il approche, le chevalier lève sa hache.

Il écarte sa fille, combat son ennemi avec rage.

Le sang coule, la fille pleure, et les capes s’arrachent.

Le preux efface toute trace du sortilège sans âge.

Le roi combat sans arme, avec force et férocité, mais sans âme.

Ses yeux voilés et sa gorge rougie témoignent de son sort infâme.

La lutte dure et s’éternise, jusqu’à ce que la guerrière décide.

Elle se lève, empoigne son épée. L’amante refuse ce régicide.

« Je le sens qui approche, père », hurle la guerrière.

« Je l’ai transformé en monstre, je suis une meurtrière.

« Je suis revenue des enfers de ma transformation,

laisse-moi l’aider et le faire revenir à la raison.

Te parler m’a aidée à trouver la solution.

J’irai sur son chemin, me donner à son affliction ».

« Je ne te laisserai pas faire » mugit son père.

« Je ne te laisserai pas risquer ta vie sur un coup de tête.

Ta mère m’a affligé d’une terrible chimère,

qu’il approche, ce roi déchu, et je tuerai cette bête.

Il a voulu te salir, te faire sienne pour maîtresse.

Il goutera plutôt à ma haine vengeresse ».

Quand il approche, le chevalier lève sa hache.

Il écarte sa fille, combat son ennemi avec rage.

Le sang coule, la fille pleure, et les capes s’arrachent.

Le preux efface toute trace du sortilège sans âge.

Le roi combat sans arme, avec force et férocité, mais sans âme.

Ses yeux voilés et sa gorge rougie témoignent de son sort infâme.

La lutte dure et s’éternise, jusqu’à ce que la guerrière décide.

Elle se lève, empoigne son épée. L’amante refuse ce régicide.