Chapitre 24. Où les filles se donnent du plaisir.

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### Rose ###

Ma nuit fut agitée, je me réveillai à plusieurs reprises, c’était pour des causes variées. Parfois c’était la verge tendue de Frank qui glissait entre mes fesses, ou alors la main d’une de mes copines qui caressait mes tétons, je crus même un moment que Frank suça mes seins. Finalement, je pris le sexe du maître pour le frotter contre mon clitoris jusqu’à ce que j’eusse le plaisir espéré. Mon orgasme ne fut pas grandiose, mais au moins il facilita mon endormissement.

Au matin ce fut Frank qui vint contre mon oreille pour me murmurer :

– Ma chérie, est-ce bien toi qui t’es masturbée en utilisant ma queue comme gode ?

– Je croyais que tu dormais…

– Oui, mais j’ai quand même failli éjaculer au moment où tu as eu ton orgasme. Alors maintenant tu vas payer cher ton abus ! Tu vas recommencer ce que tu as fait cette nuit pour mon plaisir seulement, je veux jouir entre tes lèvres ! Et la prochaine fois que tu auras des insomnies tu me réveilleras pour que nous puissions jouir de concert ! Tu es aussi vicieuse que tes amies et cela me plaît. Maintenant donne-moi ma jouissance mais sans te presser.

– Oui Maître ! Reste couché sur le dos, je vais me mettre à califourchon au-dessus de toi pour glisser ton gland à l’entrée de mon vagin !

– Oui, ma puce, tu as bien compris ! Tu as fait pareil cette nuit ?

– Non, cette nuit, tu dormais sur ton flanc et je me suis couchée à tes côtés.

– Je préfère ta position actuelle : j’ai en plus le plaisir de voir tes seins se trémousser devant mes yeux ! Rose, tu es devenue une belle femme. Que de chemin parcouru depuis que tu es venue habiter avec nous. Il me semble que ta future maternité te rend encore plus épanouie. Tes seins me font bander dur et tes caresses me font un bien fou !

Mais nous faisions trop de bruit ! Maggy émergea de son sommeil et pendant un long moment elle se contenta de nous regarder. Le spectacle devait lui plaire énormément et elle se redressa pour s’asseoir à mes côtés. Je vis ses tétons dressés et elle glissa ses doigts sur les proéminences pour se satisfaire. Maggy avait vraiment une science pour réveiller son désir et au bout de quelques minutes ses soupirs d’abord discrets se muèrent en gémissements. Puis elle se pencha vers la bouche de Frank en l’invitant à sucer comme un nourrisson.

Maggy devint agressive et saisit mes seins. Je sentis quelques gouttes poindre sur mes tétons.

– Oh Maggy, arrête de me pincer, d’abord parce que c’est douloureux et de plus j’ai l’impression que tu provoques la sortie d’un liquide !

– Oh, c’est parce que tu es enceinte !

Elle prit un sein en bouche et me téta.

– Oh oui, tu fabriques déjà le liquide annonciateur du lait maternel ! Tu peux confirmer Frank ?

– Je n’ai pas suivi votre conversation, je suis concentré sur mon plaisir. Je sens la montée de mon sperme, je ne tiendrai plus longtemps avant d’éjaculer.

Effectivement, quelques secondes plus tard, Frank grinça bruyamment et éjacula sur le ventre de Rose et sur mes seins. Comme deux gourmandes à la recherche de friandise, nous récoltions le jus de notre amant avec nos doigts. Pendant quelques instants, ce ne furent que des bruits de succion et de gémissements de gourmandise. Après avoir récupéré le fluide éjecté sur nos corps, je me penchai vers le gland encore rouge pour récupérer le jus qui suintait encore de son méat. Le contact provoqua une éjaculation secondaire qui atterrit dans ma bouche. Maggy me rejoignit et ce fut une lutte entre sœurs pour s’approprier du jus qui sortait encore par saccades.

– Oh les filles ! cria Frank, calmez-vous, c’est délicieux mais c’est trop fort !

– Mais Frank, on va se calmer ! Car voilà Iona qui émerge, il faudra qu’on évite un nouvel assaut, on va te laisser reposer.

Iona avait compris ce qu’elle venait de rater, néanmoins elle glissa sa main sur le gland encore tendu et soupesa les bourses de notre amant.

– Je suis sûr que ses testicules contiennent encore de quoi nous satisfaire !

– Non, Iona cela suffit pour ce matin ! Je me lève et je voudrais un petit-déjeuner copieux pour reprendre des forces. Je vous laisse le temps de préparer le repas pendant que je prends une douche bien méritée.

– Je laisse Maggy et Iona pour s’occuper du repas, je prends ma douche avec toi, comme lorsque j’étais petite ! dis-je. Sans attendre son consentement je le suivis dans la salle de bains.

Que de souvenirs jaillirent dans mon esprit, je me voyais adolescente nubile admirant le sexe dressé de mon maître (enfin, celui dont je voulus être son esclave). Frank comprit que je voulus lui donner de la tendresse, même si l’évocation sexuelle fut évidente. Je pris soin de l’enduire de savonnée tout en massant son torse et son ventre. Frank me regarda avidement et me surprit en glissant ses mains sur les endroits sensibles de mon corps. Il profita pour caresser mes fesses et spécialement ma raie, puis me prit contre son sexe et pénétra mon anus.

Ah ! la pénétration se fit en douceur et petit à petit, la tension augmenta et Frank s’abandonna au plaisir. Sans brutalité, il me pilonna tout en glissant quelques doigts dans mon vagin. Son expertise fit le reste ! J’eus un orgasme puissant quasi concomitant avec son éjaculation. Effectivement, l’évaluation de Iona était correcte, ses réserves de sperme étaient encore suffisantes pour me donner la sensation de remplir mon corps. Je passai mes bras sur ses fesses pour éviter qu’il se retire. Ce fut moi qui continuai les mouvements de copulation encore longtemps, je profitai de la raideur de son sexe pour poursuivre le coït d’autant plus que ses doigts accrurent le frottis de mon clitoris. Je finis par jouir à nouveau en criant mon plaisir. Ce fut Maggy qui entra dans la salle d’eau pour nous demander si tout allait bien et nous avertir que le repas était prêt.

### Frank ###

Ma chérie, est-ce bien toi qui t’es masturbée en utilisant ma queue comme gode ?

Je ne me souvenais que vaguement de la manipulation de Rose durant mon sommeil. Elle avait pris mon pénis pour frotter le gland contre son clito comme un simple gode ! Dans mon sommeil je sentis que j’étais sur le point de jouir et de répandre mon jus mais Rose atteignit le nirvana avant que je ne déclare forfait. Assez étonnamment, je ne m’étais pas réveillé suffisamment et j’eus donc une nuit relativement paisible peuplée quand même d’images érotiques. Ce furent mes esclaves qui peuplaient mes rêves, mais c’étaient des images paisibles et tendres.

À mon réveil, je demandai à Rose de certifier mes impressions, elle me confirma qu’elle s’était masturbée en douce en utilisant mon bâton pour se satisfaire ! C’était une hardiesse ! Jamais encore une femme ne m’avait utilisé ainsi pour se masturber !

Comme je lui demandai de recommencer mais cette fois pour me donner le plaisir, elle s’installa à califourchon sur mes jambes. Mon pénis était dur comme une barre d’acier et elle le présenta à l’entrée de son vagin pour mettre mon gland en contact direct avec son clitoris.

Ce contact était vraiment merveilleux. Rose se servit de mon sexe comme si c’était un gode, à la nuance que ce traitement n’était vraiment pas innocent pour ma résistance. Ce fut Maggy en se réveillant que me donna un sursis de quelques minutes. En voyant l’aînée pincer les seins de ma Rosa je ne tins plus. Mon jus explosa sur les filles qui s’empressèrent de tout récupérer. Les gourmandes ne négligèrent rien et tout fut absorbé dans un concert de rires. Mais cela ne leur suffit pas ! Rose me fit une fellation rapide qui me fit jouir à nouveau, mais cette fois dans la bouche de la cadette.

C’était délicieux mais je voulais prendre une douche et manger. Je ne pus empêcher Rose de me suivre dans la salle de bains où selon une tradition bien ancrée elle me savonna. Nos jeux de douche dérapèrent encore selon mon désir. Elle aussi voulut retrouver nos jeux et sans le vouloir vraiment, je finis par la sodomiser. Rose était consentante. Nous eûmes notre orgasme quasi en même temps. Rosa m’empêcha de me retirer car je devinai qu’elle en voulut encore.

Ces plans furent anéantis par l’entrée de Maggy qui venait nous annoncer que le repas était prêt. Elle ne fut pas longue à comprendre, Rose pliée en deux sous la puissance de son orgasme, ne voulant pas interrompre le coït. Maggy se défit de son peignoir et rentra dans la cellule. Elle dégagea sa copine de mon engin pour constater que mon érection avait à peine faibli. Elle saisit le pommeau de la douche pour rincer mon engin du savon et des fluides avant de le mettre en bouche. Rose ne fit rien pour empêcher la manipulation de Maggy.

Même si la bouche de ma première esclave était très performante, mon engin ne fut plus à même de lui offrir un jet de sperme et Maggy finit par abandonner.

– Toi, tu ne perds rien pour attendre me dit-elle rudement.

– Maggy, ce n’est pas ainsi qu’on parle ! Tu as voulu être esclave, maintenant tu restes soumise et obéissante !

– Oui, Maître, je demande pardon mais la vue de Rosa jouissant de toi, m’a rendue jalouse.

– Je comprends mais je ne t’excuse pas. Ce soir tu me donneras les mêmes caresses que ta copine. Maintenant on stoppe les jouissances et après le repas nous irons à la mission pour examiner les patientes.

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