Dire, se taire, il y a des mondes qui ont disparus, mis à l'écart. Hors de nos quotidiens. Alors face au silence, doit-on hurler, ou se cacher ? Je n'ai pas de reponses.

Fuit-on cette solitude, ou du désespoir on exposé sans pudeur l'ombre qui nous envahie.

Peut-on se servir de cet chose qui peut nous hanter pour la rendre public, situation véritable ou fabriqué, médiatisé, qu'en sera-t-il lorsque l'écho résonne en soi, pour soi ?

Comment pourrais-je entendre ? Était-ce un appel, un partage, une demande...

Que peut-on partager ? Serai-je sourd, voyeur, trouverais je quelque chose à dire, une présence ? Y-a-t’il une bonne réponse ?