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On se rendirent à la bibliothèque la plus proche, il faisait trop chaud pour rester dehors, donc Marion a pensé qu’une petite visite à ma deuxième maison me réconfortait. Car elle le voyait bien que lorsque je l'avais vu, j'étais terrifié. Dès que je l’ai vu dans la librairie des mauvais souvenir me revient, je me revois attachés mes mains par du scotch, et quand il me pénétrait son pénisse dans mon anus sans mon accord et quand je lui suppliais d’arrêter il ne faisait mine de ne pas m’entendre. mais je ne sais comment j’ai réussi à me détacher de ce foutu scotch, j'attrapais son réveil et lui frappais dessus afin de l'assommer.
Puis Marion me ramen à la réalité :
– William ? ça va ? me demanda-t-elle avec tant de gentillesse.
J'essuies la larme qui avait coulée le long de ma joue, et la rassure :
– oui ne temps fait pas, alors on y va ? lui demandai-je avec assurance.
On marcha jusqu'à l'intérieur de l'immense bibliothèque. Rien que le doux parfum des anciens et des nouveaux livres me faisait frissonner, de l’encre sur le papier me donnait l’air d’être chez moi dans ma chambre plus précisément. Je saluais les propriétaires qui me saluent de leurs bureaux, je m’en rapproche d’un en particulier. Celui de Mike et oui il travaille dans cette bibliothèque fabuleuse, il y travaille pendant le week-end, mais des fois il est obliger de secher des cours pour aller sur son lieu de travail.
– Hey toi ! ça va ? lui demandai-je en chuchotant.
Il se lève tout en disant à ses collègues qu’il allait prendre une pause et me fait signe de me rejoindre dans un coin, je laisse Marion seule dans le rayon dark romance dans son monde à elle. Arriver là où il voulait nous avait entraînés dans un coin loin des curieux. il regarda autour de lui si personne ne nous avait suivis. Puis il me plaque contre le mur, et m'embrassa tendrement ? et je ne refuse pas bien au contraire je le laisse faire. Après de 8 seconds, il décollas ses lèvre des miennes et me répond :
– Hey toi, me chuchote-t-il à l'oreille.
un peu perdu par ce qui venait de se passer là, a l'espace d’un instant je n’en revenais pas de se qui venait de se passer. M’aime t’il vraiment a se point où s'était je ne sais quoi ? je lui dévisage du regard.
– Qu’est ce qui t'a pris ? Enfin je veux dire, je prends un moment avant que les mots sortent. Je pensais que tu était plus hétéro ?
– Tu ne le voyais peut-être pas mais je te tournais autour de toi depuis bien la seconde…
Je lui coup la parole toujour en chuchotant :
– Attends tu est en train de me dire que tu craquais pour moi depuis la seconde ? lui demandai-je avec un soupçon de doute ?
Est-il en train de me mener en bateau ?
– Oui mais je n’assumais pas se que je ressentais enver toi et puis comme tu sais que mes parent son homophobe s’est pour sa que j’ai un petit boulot, c'est pour que je me casse de chez eux, et pouvoir vivre ma vie comme j’en ai jamais rêvé. Et je veux la passer avec toi, m’avouais-je-t-il avec tant d'enthousiasme. Enfin si tu le veux bien sûr ?
Sur l’instant, je ne saurais quoi dire, mais l’instant d’après c'est moi qui le plaque contre le mur pour l’embrasser. quand nos lèvre se séparent je lui chuchote à l'oreille et lui répond :
– Avec plaisir mon cher ami.
Et nous revoilà en train de nous embrasser avec joie, mais ce que de courte durée. Nous fus interrompus par une de ses collègues, qui se demandait où il était-il passée, mais en nous voyant nous embrasser elle a eu sa réponse. Elle lui demanda de reprendre son poste ce qui fit tout en nous séparant de lui je senti un vide mais avant de disparaître il m’adressa un clin d'œil ce qui me fit rougir sur le coup et puis il disparu. Je reste là un moment.
Je l’ignorais qu’il avait des sentiments depuis si longtemps, moi au bout de 3 semaines si je vois que ce n'est pas possible j’abandonne mais lui non il n'a pas renoncé.
Je rejoins Marion, tout en joie. Elle me dévisageait du regard.
– Qu’est ce qui s’est passé pour que tu sois dans cet état ? me demanda-elle
Je regarde autour de moi et lui chuchote que Mike m'a embrassé, elle arrondit ses yeux, puis se tourne sa tête vers le bureaux de Mike puis ver moi et elle continue sa pendant bien 10 secondes le temps de digérer ce que je venais de lui dire puis elle s'arrête.
– Mais j’ai cru qu’il…
Je lui coup la parole pour lui annoncer la vérité.
– En fait je pense qu’il doit être bisexuelle tout comme moi, lui remarqua encore.
Un moment de silence pris vie entre nous, jusqu'à que Marion brise ce silence interminable :
– Donc il est bi tout comme toi mais je te préviens s’il envisage de te briser ton petit cœur pour une nana qui vaut même pas la carrure d’un mannequin, elle prend une pause avant de continuer. Je lui ferais littéralement bouffer ses couilles.
Je me mets à m'esclaffer comme jamais mais en silence car on est comme même dans une bibliothèque, et Marion me suit dans mon rire qui n'avait pas vraiment de son. Même une dame qu’on ne connaissait pas nous a demandé d’arrêter nos sottises, mais comme à son habitude Marion ne se laisse pas faire par une vieille dame et se contente de limiter. Et sans le vouloir Marion nous avait fait virer de la bibliothèque. C'est l’une des collègues de Mike qui nous a forcé de sortir alors qu’on avait rien fait dans l’histoire, mais bon on ne croit jamais les jeunes dans les histoires. Devant la porte de la bibliothèque on reste bien 2 à 3 minutes avant de savoir ou pouvons nous aller sans que d’autre personne vienne nous déranger ou qu’on dérange des gens ! Bref, on n’a finalement décidé d’aller à ma demeure. Sur le chemin on recroisa Victor avec sa nouvelle bande de con avec qui il traîne désormais, ils nous ont même pas vue ce qui me rassurait sur l’instant mais peut-être que s’il il s’était excuser ou même arrêter lorsque du viol, je pense que j’aurrais pus lui pardonner. Mais non il préfère rester avec sa bande de con qui je puis-je le dire sont vraiment con un jours lorsqu'un prof de math qui est aussi notre prof principal, nous avais poser des question sur notre avenir et l’un de la bande de Victor a répondu je cite << Je vais devenir le nouveau Pablo Escobar >> en fait devenir le nouveaux trafiquant de drogue et se con la a valu une convocation chez le directeur de l'établissement. Sur le coup je me suis dit << Et c'est avec ça que je vais devoir travailler pour l’expo de chimie >> Oui car je devais faire un travail en commun avec un gros imbécile ! Bref, arriver chez moi Marion salu ma mère qui sentant à merveille. Je ne sais pas pourquoi mais elles sont assez proches même si Marion a le même âge que moi désormais je ne sais pas pourquoi elles sont aussi proches j’ai l'impression qu’elle se connaisse depuis des années. Mais cela est impossible. Après que Marion eut mangé une part de gâteau de ma mère, on montèrent les escaliers. Arrivée dans ma chambre, elle s’installe sur mon lit et moi sur ma chaise. On s'est mis à parler de tout et de rien mais pendant un moment Marion partis au toilettes, et quand elle quittas la pièce je reçu un message de… Victor !
Victor
Tu crois sincèrement que je ne t’ai pas vue ?
Après avoir lu le messages je décide de le bloquer et cela pour de bon, le passé c'est le passé, rien ne peux le changer, la seule chose qui peut changer c'est mon futur. Il faut a tout pris que j’ai mon bac sinon les vœux que j’ai fait pour aller à la fac seront refusés. Et ça je ne me pardonnerais jamais, car je serais obligé de redoubler et ça serait juste hors de question. Et quand je repense aux secondes de cette année, c'est juste non !
Puis mon attention se dirige vers les toilettes, Marion était encore en train de vomir, ça me fait mal au cœur à cause de sa maladie, car oui Marion a bien une maladie. Elle peut être violente au point de mourir, mais tout ce que je peux savoir est qu’elle ne peut pas manger trop, ni trop sucré ou salé. donc tout se que je peux faire c'est la réconfortée même si pour cela je suis totalement incapable !
Puis mon téléphone vibras, numéro : inconnu. Ma mère m'a toujours dit qu’il ne fallait pas que je réponde à des numéros inconnus, mais la tentation de répondre était bien présente. Je prend mon téléphone en espérant que ce soit Mike qui me fait une de ses nombreuse blagues, je décroche :
– Allo ?
puis une voix sortie du téléphone, une voix que j’avais déjà assez entendu :
– Tu pensais vraiment que tu te débarrasserais de moi aussi facilement ? me demanda Victor avec un soupçon de rage qui s’entendait dans sa voix.
Je ne répond pas tout de suite mais avant que je puisse dire quoi que ce soit, il me devança :
– Je sais que tu vas faire la teuf chez Mike, d’un coup mon cœur cesse de battre dans ma poitrine. Et je sais que c'est aussi ton nouveau petit copain et…
Je lui coupas la parole avant qu’il me disent plus :
– déjà de 1 : si tu viens à la fête je te tuerais et de 2 : vas te faire foutre !
Puis je raccroche à ce connard excentrique, puis Marion entre dans ma chambre et me dévisage du regard, comme si j’avais quelque chose sur la figure.
– Quoi ?! lui lâcha l’aires énerver.
– Rien, elle se tut un moment avant de reprendre. Je pense savoir pourquoi tu es en colère, me dit-elle l’aires sur d’elle.
je lui répond que je suis désoler de l’avoir mal parler, sur cette phrase elle me répond :
– Victor.
Me lâche t-elle sans rien dire de plus, elle avait compris à mon expression de mon visage.
– Je vais le tuer cette enfoirée, me dit-elle en s'installant sur mon lit. Et qu’est qu’il t'a dit cette enfoirer ? me demanda t-elle
Je lui dit tout sur notre petite conversation, et je vis l'envie de tuer Victor en elle. Mais je sais très bien qu’elle ne ferais rien, pour me rassurer elle me fait une blague à la con, ce qui me fait rire. Puis elle fouille dans ma bibliothèque si j’avais eu des nouveaux livres, ce qui n’était pas le cas, car ma mère a été bien clair aucun livre pour mon anniversaire sur le coup je n'étais pas content mais plusieur jours passe et je me suis dit << elle a peut-être raison >> tout en voyant ma tonne de livre que je n’avais toujours pas lus. Puis mon téléphone se remet à vibrer, numéro inconnu ! pourquoi il veut a tout pris me revoir dans son lit, je n’eu pas le temps de décrocher que Marion me le pris de mes mains mon téléphone :
– Ecoute moi bien espèce de connard excentrique, elle marque une pause avant de me le rendre en m'annonçant que s’est Mike. Je vais aller voir ta mère ok ? Et rien de bizarre d’accord ? me demanda-t-elle.
– Oui maman, me moquai-je tout en mettant mon téléphone sur mon oreille droite. Oui allô ?
– Salut, désoler de te déranger mais je vien tout juste de virée la vielle folle, sa te dit de revenir ? me demanda-t-il avec tant de gentillesse.
– Je ne sais pas, je marque une pause avant de reprendre. Et si je reviens, est-ce-que j’aurais droit à d'autres bisous de ta part ? lui demandai-je avec l’espoir qu’il me réponde un simple oui.
– Au que oui, bien sûr mon cher ami, me dit-il avec charme. Mais il faudras que tu attendes pour les bisous que je sois en pause. m'avoua t-il
Je lui dit << OK >> mais avant de raccrocher il me posa une question qui me remplit de colère :
– Et s’est qui le connard excentrique que Marion a crus avoir au téléphone ?
Un long silence règne dans ma chambre, il faut qu’il le sache. Mais avant que je me lance il me devança :
– Ne me dit rien, Victor ?
je lui répond que oui s’était bien lui que Marion pensais avoir au téléphone, mais je lui expliquas pour le viol et les messages.
– J’aurais jamais crus qu’il t'aurais fait sa, désoler, je suis vraiment désoler.
– Ne temps fait pas, Ce… Ce n'est pas de ta faute. Bon je reviens alors a tout de suite mon cher.
Puis je raccroche et descendirent les escaliers je vais jusqu'à la cuisine la ou je vis Marion et ma mère parler de je ne sais quoi.
– Je vais à la bibliothèque, tu veux revenir avec moi ? demandai-je à Marion.
– ok mais je le fais juste pour toi, me dit-elle tout en se levant de sa chaise ou elle était assise.
Je dis à ma mère que je ne rentreras pas ce soir donc qu’elle ne se fait pas peur si je ne rentre pas pour le dîner. sur quoi elle me lâche un simple ok tout en me disant de faire attention.
On sort de ma demeure et la chaleur me donne envie de rentrer dans un frigo rien que pour le trajet. Arriver à notre destination, Mike m’attendait devant la bibliothèque avec une cigarette à la bouche << qu’est ce qu’il est sexy comme ça >> me dis-je dans ma tête. Puis j’arrive à sa hauteur, il me prend dans ses bras. Même si la chaleur de l'extérieur me donnait un mal de crâne, je ne peux pas que de refuser.
– Roméo et Juliette, fait la remarque Marion. Bon moi je vous laisse je vais voir mes Dark Romance.
Elle nous laissent que tous les deux, on se regarde et Mike me propose d’aller se balader. je ne refuse pas sa demande et on marche un petit moment sans rien dire, le silence régnait entre nous deux, il y avait même peut-être du malaise entre nous deux mais je ne sais pas le pourquoi. Puis il se lança à l’eaux :
– Je voulais te dire… il marque une pause avant de m’avouer. Que je veux pas qu’il a un malaise entre nous donc j’ai envoie a tout mes pote et connaissance que je sortais avec toi si sa te déranges pas bien sur.
Je suis tout rouge, il veut vraiment sortir avec moi ? Je lui répond que cela ne me dérangeait pas car après tout c'est sa vie.
– Tout ce que je demande c'est ton bonheur, lui dis-je avec douceur.
Son téléphone sonne, c'est une de ses collègues qui lui demande de revenir car sa pause est désormais terminée. On prend la route, je peux m'empêcher de penser à ce que m'a fait Victor, veut-il faire pareille ? Je n’en c'est rien et c'est bien ça que j’ai peur.
Arriver à la bibliothèque Marion me saute littéralement sur moi.
– Il ne faudrait mieux pas que tu rentres à l'intérieur, me dit-elle sur les nerfs.
je la regarde d’un air soucieux, comme si elle avait rencontré un connard… Victor !
– Allez vien on vas au parc ou à la librairie s’est toi qui vois, me suppliai-je encore sur les nerf.
Je fonce à l'intérieur sans rien dire, ni Marion ni Mike n'ont eu le temps de me retenir que je vis, cette enfoiré, Victor ! Il est accompagné de sa bande de cons, nos regards se croisent et il me lance un grand regard d’en joi de me voir, se qui me lance plus sur les nerfs. Je m’avance jusqu'à son niveau.
– Qu’est ce que tu veux ? me demanda Victor. Tu en reveux ?
Je le frappe d’un coup de poing en pleine tronche, il tombe à terre et je vis du sang qui coulait de son nez, et je sentit une odeur douce et bon, je ne sais d'où elle provient mais plus je me rapproche de Victor plus elle s'intensifie. Je m'accroupis sur lui et je le refrappe, mais Marion et Mike m’arrêtas avant que je l’achève.
– Lâcher moi ! je vais le tuer cette enfoiré ! hurlai-je auprès de Marion et à Mike.
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