Chapitre 5 Vacances lesbiennes. (2)

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Le lendemain, après le petit déjeuner, les deux femmes partaient à la plage pour s’installer dans le coin qu’elles avaient découvert la veille. Sylvie était très tendue et avait beaucoup d’hésitations à enlever le soutien de son bikini. Carmen constatait cependant que les tétons de sa compagne étaient érigés et que son slip montrait déjà une petite tache d’humidité. En cours de matinée plusieurs hommes seuls arrivaient sur la plage dont quelques jeunes qui montraient un corps athlétique. Sylvie demandait à Carmen s’il fallait le séduire sur place ou l’amener dans notre coin. Carmen précisait que le mieux c’était de l’amener dans leur cachette ainsi elle pourrait voir et se délecter de l’acte de la fellation et peut-être y participer.

Sylvie se levait et partait à la recherche d’un homme qui pourrait convenir à l’accomplissement de son gage. En marchant ses seins généreux se balançaient doucement et sa démarche sensuelle provoquait des réactions de plusieurs hommes et même de quelques femmes qui regardaient avec envie. Sylvie faisait de son mieux pour regarder certains hommes droit dans les yeux avec une bouche entr’ouverte qui voulait provoquer des réactions. Arrivée au bord de l’eau et elle faisait lentement demi-tour et finissait par se coucher dans le sable à côté d’un gars athlétique et solitaire dont le maillot avait déjà un sérieux gonflement. Sans une parole elle tendait la main vers le renflement et avec ses ongles passait avec légèreté sur la bosse en murmurant qu’elle pouvait arranger cela et qu’il n’avait qu’à la suivre. L’homme n’en croyait pas ses oreilles mais semblait hésiter, elle prit une main du gars en lui demandant son prénom et elle l’approchait de son sein. Du coup ce n’était plus un renflement mais un pic de tente qui se pointait dans son maillot. Il s’appelait Bernard, Sylvie lui répétait son invitation et le tirait en avant pour qu’il se lève ; il avait juste le temps d’attraper son essuie de bain pour cacher son ventre aux regards des personnes allongées sur la plage et qui regardaient le couple passer.

Carmen les voyait s’approcher et avait un sourire gourmand qui illuminait son visage. Sylvie fit les présentations et ils se couchaient à côté de Carmen de façon à ce que le corps de Carmen fasse barrage visuel pour le reste de la plage. Sylvie prit les lèvres de Bernard et commençait à pointer sa langue entre les dents pour commencer un duel de langues passionné. Au bout de quelques minutes d’excitation Bernard sentait qu’on tirait sa tête en arrière et ce fut Carmen qui prenait la suite dans un baiser long et passionné. La verge de Bernard commençait à pointer légèrement au-dessus du maillot et Sylvie en profitait pour le titiller un peu pendant que Carmen chauffait la bouche de Bernard. Sylvie était en admiration devant l’érection de Bernard et tirait le maillot vers le bas. Elle disait à voix basse qu’elle n’avait jamais vu une verge en activité car son mari ne s’était jamais mis en érection devant ses yeux. Carmen interrompait son duel de langues pour sourire à Sylvie en disant : « ne reste pas planté comme une gourde c’est le moment d’apprendre à te servir de ta bouche pour exciter un homme, un vrai ». Sur les conseils de Carmen elle libérait entièrement la verge et les couilles et commençait à caresser timidement le mât qui se pointait devant elle. Carmen lâchait enfin la bouche de Bernard pour décalotter la verge et de guider la main de Sylvie pour masturber lentement l’engin en lui murmurant qu’il fallait encore un peu de temps pour gonfler cette bitte à fond avant de la mettre en bouche. Bernard commençait à réaliser qu’il avait tiré le gros lot de la tombola de la plage et prit un sein dans sa main qui s’avérait être celui de Carmen. Celle-ci prenait la main de Bernard pour se caresser les tétons avant de guider la main vers la poitrine de Sylvie et recommencer la même caresse en insistant sur les aréoles et en soulevant les seins pour en mettre un en bouche. Cette manœuvre faisait augmenter la tension sexuelle de Bernard et qui commençait à se prendre au jeu. La verge de Bernard gonflait encore et les caresses appliquées par Sylvie devenaient plus rapides, Carmen estimait qu’il était temps que Sylvie passe à la réalisation de son gage ; elle suggérait à Sylvie de commencer par le gland, où perlait déjà une goutte de liquide, de lécher à grands coups de langue et puis d’introduire lentement le gland dans sa bouche et de le ressortir tout aussi lentement en aspirant très fort pour faire sentir la succion, elle devait répéter ce mouvement lentement sans s’arrêter. Bernard sentit sa verge se gonfler encore plus d’autant plus qu’il s’excitait en malaxant les seins de Sylvie. Carmen trouvait le spectacle à son goût et passait une main entre ses jambes à la recherche de plaisir en caressant son clitoris. Au bout de quelques minutes, la tension devenait palpable et Carmen poussait la tête de Sylvie plus en avant sur la verge pour qu’elle sente le pieux dans le fond de sa bouche et l’obligeait à accélérer les mouvements de va et vient tout en guidant sa main à caresser les bourses. Bernard sentait qu’il arrivait bientôt à l’orgasme et prévenait les filles qu’il allait juter, Carmen suggérait à Sylvie de le garder en bouche pour recueillir le sperme sans l’avaler et puis de le partager dans la bouche de Carmen. Ne pouvant plus se retenir Bernard giclait de grands coups dans la bouche de Sylvie qui était surprise de la violence de l’éjaculation. Carmen tirait la tête de Sylvie en arrière et plongeait sa langue dans la bouche pour recueillir sa part de sperme.

Pour la première fois Sylvie regardait un homme de façon totalement différente, un homme qui lui donnait du désir sexuel au contraire de son mari qui se contentait de la posséder brutalement ; Bernard au contraire n’avait fait aucun geste pour la posséder et s’était laissé faire sans effectuer le moindre commentaire ; Carmen n’était pas indifférente non plus et proposait de monter en chambre pour terminer ces ébats en beauté. Tous les trois prenaient donc le chemin vers la chambre, Sylvie tenant la main de Bernard et lui lançant des regards sensuels. Dans la chambre Sylvie se déshabillait rapidement et défit le slip de bain de Bernard. Carmen qui mouillait déjà sur la plage se déshabillait également et passa son doigt entre ses jambes pour caresser son bouton. Bernard à la vue des deux femmes nues ne restait pas insensible ce qui se voyait à sa verge qui pointait déjà vers le plafond mais ne faisait aucun geste vers les femmes. Il restait impassible et attendait soumis, l’initiative de Sylvie et de Carmen. Sylvie s’agenouillait devant le pénis de Bernard et timidement repoussait le prépuce pour découvrir le gland déjà rouge et qui palpitait dans la main. Carmen de son côté se plaçait derrière Bernard pour lui masser les épaules, puis les pectoraux et descendre enfin vers les couilles pendant que Sylvie le masturbait avec sa bouche. Sylvie demandait à Bernard de lui masser ses seins et d’exciter les tétons pendant qu’elle continuait à sucer goulûment sa bitte. Carmen voyait que Bernard montait rapidement au paroxysme et stoppa Sylvie dans la fellation. Elle voulait aussi profiter de cette verge et couchait Bernard sur son dos sur le lit enfila un préservatif sur le magnifique engin et enjambait les jambes bien écartées pour enfoncer le pieux dans son vagin. Sylvie faisait face à Carmen et mettait son con sur la bouche de Bernard en lui demandant d’une voix rogue de lui lécher le minou ; les deux femmes se caressaient mutuellement les seins et s’embrassaient avec autant de vigueur que l’excitation montait. Carmen explosa la première alors que Bernard essayait de prendre du temps. Carmen criait son orgasme et se retirait de la verge en disant à Sylvie que le moment était propice de profiter à son tour de ce beau mâle. Sylvie dont la chatte était brûlante sous les coups de langue ne se fit pas prier et prit la place de Carmen ; pour la première fois Sylvie était assise sur une queue qui ne l’avait pas prise de force et elle montait et descendait sur ce mat en se donnant tout le plaisir suivant le rythme qu’elle imposait. Il ne fallait pas longtemps pour Bernard de jouir en force et Sylvie sentait le sperme remplir la poche du préservatif et quelques coups de butoir plus tard Sylvie hurlait son orgasme sans retenue. Epuisées, les deux femmes se couchaient sur le côté de Bernard qui put encore profiter à pleines mains en caressant doucement les seins qui étaient à sa portée. Les trois amants étaient comblés et s’endormirent rapidement.

Au réveil, quelques heures plus tard, Carmen prit la verge molle de Bernard dans sa bouche et put constater rapidement qu’il ne fallait pas faire de grands efforts pour lui redonner de la vigueur d’autant plus que Sylvie mettait son sein contre le visage de Bernard et que celui-ci commençait à téter ce cadeau inattendu. Bernard cette fois voulait à son tour profiter de l’aubaine et glissa ses mains contre le sexe des deux femmes qui écartèrent légèrement leurs jambes pour en faciliter l’accès. Il introduisait les doigts dans le vagin des deux femmes qui commençaient à onduler sous la puissance des caresses, bientôt les gémissements devenaient plus bruyants mais aucune ne voulut atteindre aussi vite un orgasme libérateur. Toutes les deux se dégageaient de la caresse et se précipitaient sur la verge en pleine érection. Les deux bouches se rejoignaient autour de la queue l’une caressant le gland, l’autre mettait les testicules en bouche. Bernard ne pouvait pas résister longtemps et éjacula longuement sur le visage des deux femmes. Claire léchait aussitôt le sperme qui s’était répandu sur les joues et la bouche de Carmen puis embrassait Carmen pour partager le sperme. Bernard saisit l’occasion pour plonger la langue dans le vagin de Carmen qui ne demandait pas mieux de jouir sous les coups de langue. Pour ne pas laisser Sylvie sur son excitation elle attirait le bassin de Sylvie devant sa bouche est commençait à brouter le clitoris. Les deux femmes ne mirent pas longtemps à vibrer intensément et épuisées se recouchèrent dans les bras de Bernard. Les corps des trois amants étaient rassasiés mais ne pouvaient pas se détacher et les mains se remirent à explorer en douceur qui des seins ou la verge. Ce fut Sylvie enfin qui se détachait du groupe pour aller sous la douche ; vu l’espace disponible Carmen et Bernard ne tardèrent pas à la rejoindre dans une séance de savonnage mutuel en ne négligeant aucune parcelle de leur corps. Sylvie était totalement métamorphosée, elle était loin la jeune épouse soumise aux coups de boutoirs de son mari violent, elle avait pris plaisir au sexe tant lesbien qu’hétéro et ne voulait pas s’arrêter. La soirée s’approchant les femmes proposaient à Bernard de se retrouver à la nuit tombée dans le restaurant de l’hôtel ; Bernard se dirigeait donc vers sa chambre pour s’habiller en demandant aux deux femmes de mettre une tenue sexy.

Carmen et Sylvie ne furent pas longues à se décider sur leur tenues ; ce sera sans soutien ni culotte ; un chemisier transparent avec un grand décolleté et une longue et ample jupe.

Bernard revenait habillé très relax et découvrait les tenues des deux femmes, seule la vue des poitrines apparentes clairement sous les chemisiers le mirent déjà en excitation. Carmen se rapprochait et mis la main sur le renflement de son pantalon ; à haute voix elle exprimait sa satisfaction en lançant un regard à Sylvie qui en disait long. Rien ne fut révélé en ce qui concerne l’absence de culotte !

L’entrée dans le restaurant fut remarquée par les clients attablés ; beaucoup de regards envieux à l’adresse du mâle entouré des deux femmes qui en jetaient. La marche des femmes vers leur table faisait onduler légèrement les seins au point que même le maître d’hôtel chargé de les conduire sentait sa verge gonfler dans son pantalon. La table était ronde et les femmes s’asseyaient de telle façon que Bernard était à portée de leurs pieds et qu’elles pouvaient exercer une pression sur l’entrejambe de celui-ci pendant le choix du menu. Après que le maître d’hôtel eut noté les choix de chacun tout en lorgnant vers les poitrines des deux femmes, Bernard passait ses mains sous la table en soulevant un peu les jupes de ses voisines pour explorer les cuisses à la recherche de leur sexe. Tout en bavardant de choses et d’autres Bernard amenait la conversation sur la plage et aux évènements de cet après-midi. Les filles lui racontaient que leur rencontre avec Bernard était l’exécution d’un gage que Sylvie devait réaliser pour récupérer son slip de bain. Sylvie fit donc le récit de son parcours sur la plage à la recherche de l’homme qu’elle pourrait séduire du regard pour l’attirer dans le délicieux guet-apens. Elle énumérait les éléments qui avaient déterminé son choix. Elle voulait un homme jeune d’environ leur âge d’allure sportive qui était seul sur la plage et qui portait un regard intéressé sur Sylvie lors de sa parade. Elle ne voulait pas des hommes montrant trop de graisse ou qui avaient un regard lubrique. Elle avait aussi noté lors de son deuxième passage que le slip de Bernard montrait un début de renflement. Cet élément fut déterminant pour son choix, le fait qu’il répondit rapidement à son invitation avait entraîné chez Sylvie un début de désir qu’elle pût satisfaire rapidement une fois installé près de Carmen. Elle concluait que son choix s’était avéré être au-delà de ses espérances puisque la relation continuait toujours.

Pendant le récit de Sylvie, Bernard avait réussi à atteindre l’entrée du sexe chez les deux femmes qui écartaient un peu leurs jambes pour faciliter le contact des mains de Bernard. La venue du garçon avec les apéritifs interrompait malheureusement le manège au grand déplaisir des femmes.

Carmen reprenait sa pression sur l’entrejambe de Bernard pendant la dégustation de l’apéritif, auquel Bernard ne pouvait répondre tant qu’il avait son verre en main. En regardant vers Carmen, il pouvait voir les tétons de celle-ci se dresser sous le tissu de son chemisier et la tension sur sa verge prenait une amplitude insoutenable. Que faire ? Carmen n’était pas dupe de la réaction de Bernard et se penchant vers lui pour l’embrasser lui donnait une vue totale sur sa poitrine ; Sylvie constatant le manège de son amie cherchait avec son pied l’entrejambes de Bernard pour constater que la place était prise par Carmen, du coup elle changeait son pied de place pour se coller sur la chatte de Carmen.

En attendant le repas, Bernard reprit son exploration des sexes des deux femmes, côté Sylvie l’accès était aisé et il entreprenait de masturber la femme ; côté Carmen par contre il touchait un pied qui fouillait la chatte et ne pouvait aller plus loin. Bernard sentait la pression monter sur son sexe et ouvrait discrètement sa braguette pour aérer son pénis. Carmen comprit la manœuvre et massait la verge en douceur avec son pied nu. Ce jeu sous la table durait un moment lorsque le repas fut servi, ce qui obligeait Bernard à ramener ses mains en surface non sans avoir posé une main sur le pied de Carmen pour lui faire comprendre de se calmer un peu car il ne voulait pas éjaculer maintenant ; côté Sylvie avant de retirer sa main, il enfonçait deux doigts dans son vagin pour les porter ensuite dans sa bouche. Aussitôt après Sylvie lui roula une pelle pour goûter le suc de son vagin qui trainait encore dans la bouche de Bernard. Le repas fut expédié sans autre incident et les 3 amants reprirent la direction de la chambre après que Bernard eut rangé son pénis dans son pantalon.

Arrivés dans la chambre les vêtements volèrent dans tous les sens et les deux femmes commençaient un jeu de « lèche-moi-partout » sous les yeux de Bernard qui se caressait doucement pour entretenir la raideur de son pieu. Au moment où les deux femmes étaient en position 69, Bernard enfonçait sa verge dans le con de Carmen qui criait de surprise. Après quelques mouvements dans le vagin de la jeune femme, il se retirait brutalement pour éjaculer et répandre son sperme sur les deux femmes. Celles-ci récoltaient mutuellement avec leurs langues les traces de sperme sur leurs corps puis lorsque tout leur corps était nettoyé, elles sucèrent le restant du liquide avec insistance sur la verge de Bernard. Cette opération remettait la verge au garde-à-vous ; Carmen et Sylvie en profitaient pour jouir à tour de rôle en s’empalant sur le sexe. En finale Bernard ayant fait jouir les deux femmes se retira prit sa verge en main et en quelques mouvements jouissait longuement permettant aux deux femmes de goûter une dernière fois de son sperme.

C’était une dernière car les vacances de Bernard se terminaient et les deux amies devaient aussi songer au retour.

Le lendemain, après longues embrassades et promesses de se revoir, Bernard se séparait des deux amies qui reprenaient la route du retour. En cours de route, tout en conduisant Sylvie réfléchissait à voix haute se demandant ce qu’elle ferait demain en retrouvant son mari. Avec Bernard et Carmen, elle avait découvert des expériences totalement nouvelles, elle ne se voyait plus subir les assauts brutaux de Marc et demandait à Carmen ce qu’elle en pensait. Carmen après un long silence, lui exposait son point de vue : la première chose à faire en rentrant est de provoquer une franche discussion avec Marc et surtout refuser tout rapport tant que cette discussion n’ait pas eu lieu.

Marc devra expliquer son attitude.

NDA : les vacances sont finies mais le récit à encore une queue/suite, votez nombreuses ou nombreux (selon) ! À bientôt…

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