Chapitre 8 La vengeance (vacances lesbiennes suite 5)

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NDA : petit rappel : nos deux personnages principaux Sylvie et Carmen viennent de passer une semaine assez chaude ensemble, pendant que leurs maris, Marc (mari de Sylvie) et Jean (mari de Carmen) étaient en voyage professionnel. À son retour Marc s’est retrouvé à la rue. Nouveau personnage : Thérèse enceinte de Marc et sœur de Rita maîtresse de Marc. Thérèse est venue chez Sylvie pour essayer de récupérer Marc. Elle tombe entre les mains de Carmen, qui flashe grave et l’aide à monter sa vengeance.

– Tu crois qu’elle va rappeler ? demanda Thérèse encore en larmes.

– J’en suis quasi certaine répondit Carmen en caressant les seins endoloris de Thérèse, je suis désolée de t’avoir fait mal tout à l’heure mais je voulais que tu pleures vraiment pour te rendre crédible.

– D’accord, mais j’ai failli jouir de douleur et maintenant quand tu caresses mes seins, je mouille encore !

Sylvie qui s’est un peu calmée de son agressivité, vient également câliner Thérèse :

– Je suis désolée de m’être emportée contre toi, mais je suis furax contre Marc. Tu dois savoir Thérèse, que Marc c’est comporté avec moi comme un vrai salaud, il m’utilisait comme son vide couilles que lorsqu’il n’avait pas eu de rapports avec une autre ! Il ne m’a jamais câlinée, c’était toujours une pénétration brutale durant mon sommeil dans mon vagin ou pire dans mon derrière. Aujourd’hui je réalise que c’est assimilé à un viol conjugal ! C’est Carmen qui m’a montré les caresses d’amour et qui m’a fait comprendre que l’amour c’est quelque chose de tendre et qui donne une jouissance mutuelle.

– Je te comprends murmura Thérèse, pendant des années Marc m’a tourné autour, il flirtait avec moi, me proposait de boire un verre ou m’offrait des chocolats. Il me trouvait belle, il aimait mes cheveux roux, j’ai compris maintenant qu’il faisait une fixation sur les cheveux roux. Puis petit à petit, il est devenu plus insistant, me serrait contre le mur des couloirs en me faisant sentir son érection, me prenait les seins quand je photocopiais des documents et que j’avais des papiers en main.

– C’est étonnant commenta Sylvie, avant le mariage il était tendre avec moi aussi et c’est comme ça que je l’ai épousé. Puis très vite après le mariage, il ne me baisait plus que par intermittence. Je n’ai jamais compris !

– Oui, je crois que Marc est un désaxé, continua Thérèse, pendant très longtemps il cherchait un contact sexuel. Il m’a dit un soir qu’il rêvait d’une fellation, et moi conasse je lui en ai donné plusieurs fois. Il jouissait dans ma bouche et j’avoue que j’aimais ça. Mais il hésitait à me toucher entre mes jambes, il prétendait toujours qu’on risquait de nous voir alors qu’il attendait toujours après les heures pour jouir dans ma bouche.

– Qu’est ce qui lui plaisait alors dans ses contacts ? demanda Sylvie.

– Au début, il me frôlait dans les couloirs, puis comme je ne disais rien, il est devenu plus franc. Il disait qu’il aimait bien la couleur de mes cheveux, me demanda si ma couleur était naturelle.

– Et qu’avez-vous répondu ?

– Que c’était facile à vérifier, en regardant attentivement mes racines de cheveux et la couleur de mes poils pubiens.

– A-t-il vérifié ?

– Oui, il a regardé mon intimité et en a profité pour me faire un cunnilingus passionné ! ce qu’il a continué de faire par la suite en alternance avec la fellation que je lui prodiguais.

– Mais Thérèse ça se faisait toujours au bureau ?

– Oui, après les heures normales de service.

– Et si on comprend bien, pendant ce temps-là il couchait avec Rita ?

– Je suppose. Jusqu’au jour où il m’a prise de force sur la photocopieuse et après il ne m’a plus jamais touché, il me fuyait et ne m’a plus adressé la parole.

Puis le téléphone de Thérèse émit le signal d’un appel entrant, Thérèse accepta l’appel et mit le haut-parleur.

– Thérèse ? c’est Rita, c’est d’accord, Marc et moi on veut te parler pour trouver un accord. Quand et où peut-on se voir ?

– Aujourd’hui, répondit Thérèse et elle indiqua l’adresse du bar où avait eu la réunion avec Carmen et Sylvie.

– C’est d’accord on sera là dans dix minutes! et elle raccrocha.

Le lendemain Carmen revint toute joyeuse.

Thérèse et Carmen descendirent au bar, Sylvie ne voulait pas venir avec car il est évident qu’elle ne voulait pas que Marc devine que Sylvie était co-instigatrice de ce règlement.

Elles ne durent pas attendre longtemps ! Rita et Marc firent leur entrée rapidement et Rita rejoignit la table de Thérèse.

L’accueil entre les deux sœurs était glacial, pas d’accolade encore moins un bisou, même pas une poignée de main. Marc était taiseux n’osant pas lever les yeux vers Thérèse.

Ce fut Carmen qui ouvrit les débats :

– On est ici pour trouver un arrangement financier. Comme c’est Marc qui a commis l’irréparable, c’est donc à lui de payer le dommage subit par Thérèse et dans le cadre de la procédure de divorce de Sylvie nous allons négocier une indemnité de rupture. Marc ayant une position confortable et comme Sylvie connaît sa situation financière je propose qu’on trouve un accord qui sera entériné par la suite par les avocats.

– Mais je ne suis pas d’accord intervint Marc, Je ne suis pas responsable de la grossesse de Thérèse, elle n’avait qu’à prendre la pilule ou de se faire avorter quand il était encore temps !

– Espèce de goujat ! cria Thérèse, tu m’as violé dans la salle de photocopies.

– Calme-toi dit Carmen, on est dans un lieu public, cela ne concerne pas la terre entière ! Marc, il est important de savoir que nous ne désirons pas mettre cette affaire au tribunal pénal, Nous voulons un arrangement financier qui tienne la route. Connaissant les revenus de Marc nous voulons que Marc prenne en charge les frais de l’avortement et une rente ou au cas où Thérèse ne voudrait plus avorter, une pension mensuelle pour l’enfant qui sera entérinée par un accord entre avocat et consolidée par une saisie sur salaire. – N’oublies pas Marc que Sylvie réclame aussi une pension alimentaire dans le cadre de votre divorce !

– Ce n’est pas possible ! dit Marc.

– Au contraire, si dans la semaine il n’y a pas d’accord amiable, on t’assignera en justice pour violences envers Thérèse et Sylvie déclara Carmen.

Le sujet étant épuisé, le couple Marc/Rita quitta le café.

Thérèse et Carmen remontaient chez Sylvie où elles firent un résumé des propositions.

***

Carmen prit congé en disant :

– Bien, maintenant je vais m’occuper de mon propre cas : j’ai un mari volage qui n’a pas encore donné signe de vie et j’ai rendez-vous avec lui cet après-midi.

– Tu nous tiens au courant ? demanda Sylvie.

– Bien sûr ! Et je suppose que Marc fera connaître sa proposition à notre avocat dans la semaine !

Carmen retourna à son appartement, il était convenu avec Jean qu’il viendrait pour trouver un arrangement.

A l’heure convenue Jean vint à l’appartement et entra sans s’annoncer puisqu’il avait les clés.

– Ah te voilà enfin Jean, tu n’as pas donné signe de vie depuis un moment, il a fallu que je te convoque par SMS pour que tu daignes te montrer. Je suppose que tu as rencontré mon avocat pour la procédure de divorce !

– Oui, bonjour Carmen, c’est d’ailleurs à ce propos que je voulais te voir. J’ai laissé entendre à ton avocat que je voulais me réconcilier avec toi et trouver un arrangement !

– Et à quoi penses-tu en parlant d’arrangement : coucher ici, me baiser de temps en temps, et en interlude coucher avec tes maîtresses à l’hôtel pour te distraire ?

– Tu ne t’es jamais plainte lorsque je te faisais jouir ! D’accord, je ne suis pas un exemple de fidélité mais je suis toujours revenu vers toi ! et je sais que si je tends la main vers ta chatte, tu mouilleras déjà avant que je te touche !

– Non Jean, pas cette fois, tu auras beau m’embrasser et me cajoler cela ne marchera pas !

Jean se leva de son siège et vint s’installer sur le divan à côté de Carmen. Celle-ci voyait la manœuvre de Jean mais comme prévu, serra déjà les genoux au souvenir des étreintes amoureuses et se dit qu’une fois encore …

Jean avait toujours été un bon amant et Carmen se laissa faire. Jean l’embrassa sur la bouche et immisça sa langue entre les dents de Carmen très vite la bataille des langues amena Carmen à un consentement et Jean tendit la main entre les jambes de Carmen qui frissonna de tout son corps. Carmen était déjà trempée comme le prédisait son mari/amant et sa main partit à la recherche de son gourdin qui n’avait jamais fait défaut.

Pendant que Jean introduisit deux doigts dans sa fente, Carmen dégageait la verge de Jean de son pantalon et se met à la caresser tout en douceur. Il n’y avait aucune violence dans leurs gestes, assez étonnamment ce n’était que de la tendresse. Ou était-ce une dernière fois ?

Carmen fut déshabillée avant de le réaliser, Jean parcourut de la bouche tous les endroits où il savait d’expérience que le corps de Carmen allait s’enflammer en commençant par le plus innocent : ses yeux, son cou spécialement à la naissance des cheveux, ses épaules, le haut de ses seins, omettant les aréoles, descendant sur son ventre, introduisant sa langue dans le creux du nombril, ses genoux, ses pieds. Puis il reprit le même chemin à l’envers mais en insistant sur son intimité, ses seins en titillant cette fois les tétons avec sa langue !

Carmen subissait avec un sourire épanoui, Jean était un bel amant et en pensée jura que même après le divorce, il serait toujours le bienvenu dans son lit ! Sa cyprine était vraiment abondante et Jean savait que c’était le signal ! Il déroula un préservatif sur son gourdin et pénétra lentement le vagin de Carmen.

Carmen exhala lentement de bien-être, cette sensation de plénitude de son vagin était sublime. Oui, elle aimait faire l’amour avec des femmes mais Jean était le tout opposé et elle regretta en pensée de ne pas pouvoir combiner les deux. Jean et une femme ensemble pour baiser, caresser, se faire pénétrer le vagin ou l’anus avec une verge ou un gode, tout ensemble. À ces pensées le désir grimpa au sommet et elle cria son prénom en jouissant.

Jean souriait, il savait comment donner du plaisir… étant loin d’avoir son orgasme il continuait sa pénétration alternée avec le même calme et Carmen monta à nouveau dans sa jouissance.

Au cours du rapport elle parvint à dire avec difficulté :

– Jean c’est bon ! … oh oui ! … divorçons … mais … oh … restons amis ! … oh oui encore … tu viendras encore me baiser … ouiiii ! Ses ongles griffaient le dos de Jean dans le spasme du deuxième orgasme. Jean était aussi en finale et laissa éclater son plaisir en grognant.

– Oui Carmen quand tu veux !

***

En partant Jean promit de signer les papiers du divorce chez l’avocat.

Carmen sut qu’il le ferait grâce à la clause tacite qui venait d’être ajoutée !

NDA : Bon, l’histoire n’est pas finie seul le titre du prochain épisode va changer : c’est la fin des vacances. Le récit continue avec les mêmes personnages mais un nouveau sous-titre évocateur mais qui est encore à préciser !

N’oubliez pas de voter et vous les filles dites-moi si je reste sur terre ou si je rentre sur ma planète ! (E.T. téléphone maison ?)

Merci !.

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