Chapitre 19. Thérèse rencontre Sarah.

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### Thérèse ###

Jusqu’à présent ma grossesse se passait bien, pas de nausées matinales, juste mes seins qui me faisaient mal aux tétons. J’avais l’impression que les aréoles de mes seins s’agrandissaient !

La séance d’essayage avec Rita m’avait fait un bien fou, les caresses de ma sœur avaient réveillé ma sexualité, j’avais envie de tendresse.

Le matin en prenant ma douche j’avais toujours tendance à me toucher, de caresser mon clitoris pendant que je passais une éponge savonneuse sur mon corps en insistant sur mes seins, sur mon ventre dont le renflement commençait à se voir ! L’effet de l’éponge sur mon corps était excitant, mes tétons se dressaient gonflant également mes aréoles. Mon clitoris vibrait et demandait encore plus de caresses.

Je me trouvais plus attirante, plus sensuelle et la vue de mon corps en me regardant dans ma glace me convainc que je pouvais encore plaire. Les paroles de ma sœur me restaient en mémoire. Lorsque je lui avais fait part de prendre un amant, elle m’avait laissé entendre qu’elle avait une connaissance qui pourrait me plaire.

D’autre part la redécouverte de Marc me plaisait aussi, aussi drôle que cela puisse paraître ma future maternité m’inclinait à me rapprocher de Marc qui voulait assumer sa paternité.

Je voulais sentir un mâle dans mon lit, surtout dans mon vagin, rien que d’y penser je sentais de l’humidité suintant de mon intimité et qui mouillait mon string ! Mais un homme ne me suffisait plus, je voulais plus de caresses, des caresses de femme, de l’amour.

Je téléphonais donc à Marc pour lui exposer mon trouble :

– Marc, ma demande va peut-être de paraître bizarre mais j’ai des envies lubriques de caresses, de verge et tout mon corps aspire à des orgasmes que je ne parviens pas à satisfaire ! J’ai essayé de me satisfaire en me masturbant à la main ou avec un vibro mais rien n’y fait ! Viens m’aider !

– Je viens ! Je serai chez toi dans la demi-heure et on verra ce qu’on peut faire pour te soulager !

Effectivement une demi-heure plus tard Marc sonna à ma porte, je le fis entrer alors que je n’avais qu’un déshabillé transparent.

Marc, écarquillait les yeux en me voyant mais ne fit aucun geste si ce n’est un baiser tendre sur mon front et ma joue. Je me blottis dans ses bras alors qu’on était encore debout dans l’entrée. En me serrant contre lui je sentais la dureté de son érection mais assez bizarrement il ne fit rien d’inconvenant à mon égard.

Je l’entraînai vers le canapé :

– Marc, j’ai des pulsions que je ne parviens à satisfaire, j’ai envie de sexe, de sentir ta verge et de caresses lesbiennes tout à la fois !

– Mais Thérèse tu veux qu’on essaye avec une troisième personne ? Tu veux qu’une femme te caresse pendant qu’un homme te fait jouir ?

– Oui en quelque sorte !

– Attends, laisse-moi appeler quelqu’un qui peut nous aider, j’espère.

Marc sortit de la pièce pour téléphoner et revint un peu plus tard :

– Thérèse, je me suis permis d’inviter une amie qui m’a beaucoup aidé récemment à équilibrer mon attitude envers les femmes, tu as déjà pu constater mon évolution. Elle avait exprimé le souhait de te rencontrer, je crois que le moment est bien choisi !

– Qui est-ce ? Est-ce que je la connais ?

– Non, tu ne la connais pas. Elle s’appelle Sarah, je l’ai rencontré via un site de rencontre, elle est très gentille et elle te ressemble un peu. Elle n’habite pas loin et sera là dans un quart d’heure. Elle m’a promis d’être très douce avec toi.

– Oh, alors je n’ai pas beaucoup de temps pour me rendre présentable !

– Non, Thérèse tu es bien comme tu es, Sarah adorera ton déshabillé !

– Mais Marc, je me suis jamais montré ainsi, à part pour toi !

– Justement, elle pourra rentrer dans ton petit cercle de relations intimes.

– Marc, tant que nous sommes seuls, quelles sont tes intentions ? Comment envisages-tu l’avenir ?

– Je te l’ai déjà dit, Thérèse j’envisage d’assumer ma paternité même si elle est accidentelle, j’ai convenu avec ton avocat de t’aider financièrement pour ta subsistance et celle de notre enfant. Je ne te laisserai pas tomber, même si au début j’ai tout nié !

– Marc, je ne te reconnais pas du tout, tu es devenu gentil et respectueux envers moi !

– Merci, mais tu pourras remercier Sarah, c’est elle qui me « soigne » avec une thérapie très originale. Je suis sûr que tu l’aimeras. Elle m’a appris à maîtriser mes pulsions envers la femme. J’ai enfin compris que faire l’amour, c’est plus que de défoncer le vagin et d’éjaculer dans la minute !

– Tant mieux, embrasse-moi !

Je ne pus résister, je voulais qu’il m’embrasse, il ne se fit pas prier et nous eûmes une longue bataille de langues pendant laquelle il me prit un sein dans sa main sans plus. Il me caressait doucement, il devait se rappeler que ma poitrine devenait douloureuse et je lui en sus gré. Je ne pouvais résister à me saisir de son épée qui se dressait fortement dans son pantalon.

Nous étions toujours ainsi lorsque la sonnette d’entrée retentit, nous obligeant à nous désunir en haletant.

Marc ouvrit à la visiteuse et nous présenta, d’emblée Sarah me plut. Elle me ressemblait effectivement, rousse, belle poitrine, vêtements simples et un grand sourire. Ses yeux parcouraient mon corps et je vis qu’elle appréciait la vision.

Elle vint s’asseoir près de moi et entama la conversation tout en posant une main légère sur ma cuisse :

– Bonjour Thérèse, je suis heureuse de te rencontrer ! Marc m’a raconté votre relation et je dois vous féliciter de votre grossesse, même si au départ ce n’était pas voulu. Tu te sens bien ?

– Oui Bonjour Sarah, alors c’est à vous que je dois le changement profond de Marc. Comment as-tu fait ?

– C’est purement fortuit, je cherchais une relation de sexe sans plus et j’ai réussi à dominer les pulsions brutales de Marc. Es-tu heureuse ?

– Maintenant oui, au départ j’étais au désespoir, je voulais avorter et même mettre fin à mes jours mais le soutien de ma sœur et d’une autre amie m’a permis de remonter la pente. J’ai même intenté une action contre Marc qui a longtemps refusé l’enfant, mais a finalement accepté la prise en charge et on s’est réconciliés.

– Et maintenant ? Marc m’a dit au téléphone que tu voulais une thérapie pour te donner une paix intérieure, que le sexe avec Marc ou avec un homme en général ne te suffit pas ?

– Oui, je dois avouer que dans ma jeunesse j’ai eu des relations sexuelles avec ma sœur qui ont duré jusqu’au mariage de celle-ci. Puis ma première relation avec un homme c’était Marc qui m’a violé et m’a mis enceinte, je n’ai jamais connu d’autres hommes.

– Et maintenant tu veux que Marc te fasse jouir mais tu es bloquée car tu penses à ta sœur ?

– Oui, c’est un peu ça !

– Quels sont tes sentiments envers Marc maintenant ?

– Ben, c’est comme quand il flirtait avec moi avant que…

– J’ai compris, dit-elle. Et avec ta sœur ?

– J’ai repris contact avec elle, Elle était la maîtresse de Marc, je l’ai rencontrée chez la femme – enfin ex-femme de Marc – nous avons eu des jeux lesbiens toutes ensemble. Puis encore avec ma sœur dans son magasin de lingerie.

– Ah elle gère un magasin de lingerie, il faudra que tu me donnes ses coordonnées.

– Oui c’est une boutique de grand luxe.

– Tu as mal à tes seins ? me demanda-t-elle.

– Oui dis-je, regarde comme ils sont gonflés !

J’ouvris mon peignoir et je vis les yeux de Sarah s’écarquiller puis se rétrécir. Elle dégrafa mon soutien que j’avais reçu de Rita et qui se fermait devant, elle passa ses mains en douceur sur mes seins. Elle était extrêmement douce, sa caresse était apaisante, elle évitait de toucher à mes tétons et contournait mes aréoles.

Même si ce n’était pas son but de m’exciter, je sentais que je mouillais à nouveau. Je voulais la remercier pour sa douceur et je pris son visage entre mes mains et lui donnai un baiser sur ses lèvres. D’abord surprise, Sarah ouvrit la bouche pour laisser ma langue envahir son espace buccal.

Elle avait une bouche fraîche et avait dû sucer un bonbon de framboise avant de venir, car sa bouche était parfumée au goût framboise ! Sa bouche était douce et sa langue se laissa faire sans violence ni passion.

Ses mains descendaient sur mon ventre en une caresse sensuelle, on dirait qu’elle cherchait quelque chose.

– Est-ce que tu as déjà senti bébé bouger ?

– Non je n’ai encore rien senti !

– Tu n’as peut-être pas remarqué !

– Voyons un peu dit-elle.

Puis elle me fit une douce caresse depuis le nombril vers le bas, et là je sentis sous sa main un petit coup presque imperceptible.

– Oh oui, dis-je j’ai senti quelque chose !

– Oui Thérèse, je l’ai senti sous ma main.

– Viens Marc, mets ta main ici sans appuyer, si bébé est éveillé il sentira la chaleur de ta main.

– Effectivement ! dit-il, c’est merveilleux !

– Marc, chaque fois que tu auras l’occasion, tu devras caresser doucement le ventre de Thérèse comme aujourd’hui. Le bébé ne réagira pas à chaque fois mais à la longue il percevra ta caresse.

– Comment sais-tu cela Sarah ?

– J’ai accompagné la grossesse difficile d’une cousine, qui devait rester couchée après plusieurs fausses couches. La gynéco avait suggéré de caresser doucement son ventre pour calmer le bébé et cela a fonctionné ! En finale elle a accouché d’un joli garçon.

– Tu as des enfants ? demandais-je

– Non, répondit-elle avec une pointe de nostalgie dans la voix pendant que sa main descendit vers mon intimité.

Elle passait ses doigts fins sur les lèvres extérieures sans pénétrer dans un premier temps en disant :

– J’ai beaucoup caressé ma cousine, je l’ai même donné des douces jouissances qui étaient apaisantes. Mais toi Thérèse tu ne dois pas hésiter, j’ai lu beaucoup sur la grossesse à l’époque, faire l’amour en douceur Marc ne fera pas de tort. L’essentiel de l’aimer sans aucune brutalité.

– Marc, dis-je caresse moi encore le ventre, c’est apaisant !

– Oui, continue Marc, dit-elle mets ta main à la place de la mienne caresse-la sans pénétrer dans un premier temps. Et toi Thérèse regarde comme la verge de Marc gonfle de désir ! Attends encore un peu avant de le toucher ! Je lui ai appris à se dominer, tu verras Thérèse comme ce sera intense tout à l’heure !

Sarah remit ses mains sur mes seins en les captant avec douceur sans les exciter juste un doux toucher sous le galbe de mes seins. Je sentais la mouille sortir de mon intimité et je ne pouvais retenir un petit gémissement.

– Voilà Marc, tu peux introduire un doigt en douceur dans le vagin de Thérèse, sans toucher d’avantage, tu titilleras son clitoris plus tard ! Thérèse, touche-moi, je sens que je commence à mouiller aussi, caresse mes seins !

Je défis donc les boutons de son chemisier, elle ne portait pas de soutien et je vis ses tétons en érection au milieu de ses aréoles gonflées. Je passais mes mains en douceur sur ses mamelons, mais Sarah murmurait doucement

– Pince-moi, fais-moi mal, n’aie pas peur Thérèse, j’ai l’habitude de me tordre les tétons surtout depuis que je pense au gros bâton de Marc ! Oh oui, encore !

– Marc dis-je, mets plus de doigts dans mon vagin tu m’excites.

– Oui Marc, continues regarde comme les seins de Thérèse laissent perler des gouttes !

En disant cela, elle ouvrit la braguette de Marc et extirpa son épée !

Je vis son engin avec envie, mais Sarah le gardait dans sa main sans le masturber. Je voyais le corps de Marc s’arquer tout en gardant ses doigts dans mon vagin.

Je m’attendais à ce que Marc éjacule, mais il parvint à dominer ses pulsions, Sarah maîtrisait bien le désir de Marc ! Comment avait-elle fait pour le changer ainsi ?

J’étais jalouse et je pinçais d’autant plus fort les tétons de Sarah qui ne put retenir un long gémissement. Elle se penchait en avant, je crus que c’était sous la douleur mais c’était pour mettre le chibre de Marc dans sa bouche !

Cette vue m’excitait encore plus et je demandais à Marc de me caresser plus fort !

Sarah lâchait mes seins pour se concentrer sur la verge de Marc qu’elle caressait sur la hampe en léchant son gland. C’était de trop pour Marc qui se déversa dans la bouche de Sarah dans un grincement de jouissance. Ce faisant ses doigts se crispaient dans mon vagin et mon désir éclata expulsant la crème de cyprine de mon corps.

Je lâchais les tétons de Sarah pour enfoncer ma main entre ses lèvres intimes, Sarah était trempée et en quelques mouvements elle atteignit le nirvana en criant le nom de Marc ( ?)

Sa bouche était encore pleine de sperme, mais elle parvint à tout avaler pour reprendre sa respiration.

Tous les trois, on essayait de calmer nos halètements ce qui prit plusieurs minutes. La verge de Marc restait dressée comme un drapeau en signe de victoire et je ne pus résister à glisser ma main sous celle de Sarah qui tenait toujours son bâton de maréchal !

Je voulais le sentir en moi ! Je me redressais et me mis à califourchon sur sa bitte. Oh la douce sensation de la sentir me pénétrer. Marc eut un gémissement de bien-être, pendant que Sarah lui mit ses seins devant sa bouche.

Pendant que je montais et descendais sur son bâton qui décidément ne faiblissait pas, Marc le gourmand suçait à pleine bouche les mamelles de Sarah, qui très rapidement poussait des cris aigus de jouissance.

La vue que j’avais sur ce bébé qui faisait jouir Sarah me poussait aussi au paroxysme et je dus étouffer mes cris de jouissance alors que Marc était à la traîne.

Je me désolidarisais de mon amant pour être remplacé séance tenante par Sarah qui était déjà proche de l’orgasme et finalement Marc grogna dans son éjaculation et porta la jouissance de Sarah à un sommet jamais atteint comme elle le déclara par la suite.

Le seul problème était que lorsque Sarah se coucha sur son flanc, le pieu de Marc était toujours dressé !

Ni Sarah ni moi nous ne comprenions pas ! Il avait joui deux fois abondamment et aucune des deux était incapable de baisser son drapeau, même Marc était embarrassé.

Ce n’est qu’au bout d’un quart d’heure durant lequel Sarah et moi retrouvions un rythme cardiaque un peu normal et durant lequel le bébé me donnait des coups de pied, ce qui me donnait des vibrations post-orgasmiques, que la verge de Marc descendit lentement.

Je m’endormis entouré des bras réconfortants de mes deux partenaires qui s’assoupissaient également, minés par l’effort.

NDA : Voilà encore un épisode de Libertinage avec une rencontre très sensuelle de Thérèse et Sarah ! Je sais que j’étais un peu long sur cet épisode en négligeant les autres acteurs de cette série, mais j’ai laissé courir mes doigts sur le clavier jusqu’à ce que mon inspiration se tarisse !

Cet épisode ne restera pas unique car ce trio a laissé des traces mémorables chez les participants !

À bientôt !

Solo_x

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