Chapitre 29 – Shopping avant le mariage

7 minutes de lecture

NDA : comme promis Libertinage sort de sa léthargie, j’avais cru pendant mes vacances progresser sur les trois récits en même temps mais ce ne fut pas simple. Les nuits africaines et la Grèce ont gardé le rythme de rédaction mais pour ce récit, c’était un peu la panne !

C’est le nombre de lectures anonymes qui m’a incité à rajouter encore quelques chapitres.

Les chapitres avec les amours lesbiens gardent la cote et donc j’essayerai de repasser dans le lit de Sylvie, Rita, Thérèse et pourquoi pas Carmen !

Ce n’est pas parce que Carmen va se marier qu’elle doit délaisser les joies saphiques !

### Carmen ###

J’amenai donc Benoit dans notre « chez-nous ». Il n’y avait pas de changements depuis son dernier passage, mais j’avais un besoin urgent à satisfaire. À peine la porte fermée, je le collai contre le mur avec une main sur son épaule, ma bouche contre la sienne et mon autre main sur la proéminence de son pantalon.

Benoit grinça sous mon agression :

– Carmen, quand avons-nous baisé la dernière fois ?

– Je ne me rappelle pas, mais lorsque je portai la robe de mariée durant le défilé, je pensai à notre prochain mariage et durant toute la présentation j’eus des flashs concernant notre nuit de noces. Je mouille abondamment depuis. Alors tu as intérêt à te montrer entreprenant ce soir car mon désir est immense.

Je serrai mon ventre contre le sien, son gourdin était prêt, je ne devais pas faire de préliminaires. Ma petite robe, qui l’avait bien excité fut débarrassée en moins de temps pour le dire et toujours debout à l’entrée je défis sa ceinture et son pantalon.

Il me pénétra sans aucune difficulté, son chibre glissa au plus profond, je l’aidais seulement un peu en soulevant mes jambes dans son dos et en me cambrant pour raffermir le contact. Je sentis sa verge au plus profond de moi, quelle jouissance. Benoit pris une profonde inspiration et sans nous désunir passa dans mon salon pour me coucher dans le divan.

Il entreprit des mouvements de va-et-vient qui me parurent des véritables coups de bélier, je sentis distinctement son gland toucher mon utérus.

– Benoit, tu vas trop fort ! Tu me défonces et je ne tiendrai pas sous ta violence !

– Pardon Carmen, ton vagin est tellement trempé que je sens à peine que je te baise !

– Je comprends, laisse-moi faire.

Je le fis descendre du divan pour qu’il se couche sur le tapis, je repris le rapport en m’accroupissant sur sa bite, en serrant mes muscles pelviens. Benoit sentit les contractions qui resserrèrent sa verge.

– Oh oui, Carmen continue ainsi, là, je sens que ma verge est serrée dans ton vagin de vierge.

Je me laissai aller en arrière, ce qui tordit un peu son gourdin vers le bas et ce qui me donna de l’espace pour me masturber. Benoit prit l’opportunité de prendre en main mes seins qui ballottaient devant ses yeux. Sous les vibrations Benoit ne put se retenir d’avantage et je sentis un jet de sperme buter dans le fond de mon corps. Quel délice, je criais son nom sous la puissance de mon orgasme, je me laissai aller en avant pour que nos torses se rejoignent. J’avais du mal à respirer et je sentis que le cœur de mon amant battait à du cent à l’heure.

Je parvins quand même à m’approcher de sa bouche pour un baiser calme mais profond, ma langue explorant sa bouche avec délectation.

Après que ma respiration fut revenue à la normale, je me désunis et me penchai sur son gourdin encore tout dressé et plein de sperme que coulait encore sur la hampe.

Je mis son engin en bouche pour me délecter de son jus et avec ma langue je passai doucement sur le gland en insistant sur le frein et la couronne. Mes caresses suscitèrent des gémissements de plaisir dans la bouche de Benoit.

– Carmen continue, je vais jouir à nouveau, c’est trop bon !

Effectivement je reçus dans ma bouche une giclée chaude et délicieuse de sa semence. Quelle vigueur ! J’avalai son jus et tournai ma tête vers lui.

– Quelle soirée ! Benoit pour ce soir j’ai mon compte, viens on va dormir, reste comme tu es, j’adore te sentir nu dans mes bras.

***

Le lendemain matin, je me levai la première, pour un rituel qui sera bientôt notre quotidien :

Le café, les croissants pour lui, les biscottes pour moi. L’odeur du café le fit émerger, il vint dans la cuisine en singlet et caleçon, ce n’était peut-être pas très romantique mais il me fit un baiser plein de tendresse en passant sa main sur mes courbes que ma nuisette ne cachait pas vraiment.

– Benoit, ce matin je ne viendrai pas au bureau car je dois encore m’acheter quelques affaires pour le mariage. Mon amie Sylvie viendra avec moi, elle a toujours été d’un bon conseil. Je te rejoindrai début d’après midi, pour traiter les dossiers en cours.

– D’accord, salue Sylvie de ma part.

Sylvie me rejoignit devant le magasin de Rita, elle était toute joyeuse et fraîche. Après de longues embrassades nous entrâmes et fûmes accueillis par Rita qui retourna l’écriteau de la porte pour laisser apparaître la mention « fermé ».

Pendant un bon moment ce furent des babillages où chacune donnait de ses nouvelles. Sylvie avait beaucoup changé, elle s’était laissé aller avec Bernard qui nous avait bien plu pendant nos vacances. Elle nous raconta en long et en large son escapade dans le bordel/sauna que je lui avais recommandé.

Rien qu’à son récit détaillé je sentais mon désir monter et ma culotte s’imprégner de cyprine.

Je me promis d’y amener un jour Benoit lorsque le mariage deviendrait une routine.

En attendant je rappelais à Sylvie et surtout Rita que je venais pour acheter mon trousseau de « jeune mariée ».

– Mais avant de passer aux essayages j’ai encore à vous saluer de la part de Thérèse qui grossit en taille et bonheur. Dit Rita en desserrant ma ceinture, elle sortit ma blouse de mon pantalon. Rita défit un à un les boutons et découvrit ainsi que je ne portais absolument rien sous ma blouse !

– Oh, la salope, tu n’as pas mis de soutien ? Dit Rita, regarde Sylvie, ses tétons sont déjà dressés alors qu’on a encore rien fait !

Sylvie, les yeux pétillants approcha sa bouche de mes mamelons et me fit des caresses avec sa langue et mordilla mes tétons.

– Oh Sylvie, pourquoi est-ce que je veux me marier alors que toi tu me caresses comme une déesse !

– Parce que Benoit a une verge bien vivante ! Ce que je n’ai pas, même si je te baise avec un strap-on cela n’aura pas le même effet !

– Oui, Sylvie sa verge est géniale mais j’aime aussi tes caresses ! Je repense souvent à nos vacances, je recommencerai bien ce voyage !

– Et moi je compte pour du beurre ? Demanda Rita.

– Non, Rita dis-je en enlevant mon pantalon. Regarde comme ma culotte est déjà trempée !

– Attends, je vais t’essuyer avec une lingette car sinon tu vas saloper les petites merveilles que tu vas essayer !

Et joignant le geste à la parole, elle s’appliqua à nettoyer mon intimité en profondeur, passant entre mes lèvres intimes, glissant sur mon clito ! Je ne pus retenir un râle qui sortit de ma bouche.

– Oh dis-toi tu n’es pas venu que pour des essayages dit Rita. Carmen, tu es une vicieuse ! Tu ne peux pas continuer ainsi, je propose de te calmer avant de te présenter ma collection sexy, vu la délicatesse des tissus sinon tu devras tout prendre !

– Oh, ça n’est pas un problème, j’ai la carte de mon futur mari ! Dis-je en riant. Oui Rita, caresse-moi encore ! Je ne serai pas longue à jouir !

– Toi peut-être intervint Sylvie, mais tu me donnes envie de te baiser ! et je ne mouille pas encore ! Allons dans la chambre, donnons-nous du plaisir !

– Oui, dit Rita, tu as vu Sylvie, la future mariée s’est déjà rasée entièrement ! Benoit sera bien surpris de baiser une jeune fille à peine pubère !

– Qu’est-ce qui me retiens de te lécher ? dit Sylvie

– Rien dis-je, ne te gêne surtout pas, j’adore ta langue dans mon vagin !

Sylvie était lancée, elle me coucha sans ménagement sur le grand lit de la chambre, écarta mes jambes et plongea sur mon intimité. Sa langue me fouilla sans hésitation.

– Oh Sylvie, il y avait si longtemps ! Continue fais-moi jouir !

Rita ne resta pas inactive, elle vint à moitié dénudée et me présenta ses seins devant ma bouche. Ses tétons déjà gonflés, je parvins quand même à les sucer malgré l’excitation procurée par les léchouilles de Sylvie.

Mon orgasme surgit très vite, mon corps fut secoué avec violence au point que je faillis mordre les seins de Rita. Je ne pus me retenir de crier et serrai la tête de Sylvie sur mon ventre.

– Continue Sylvie, je sens une deuxième vague qui arrive ! Oh ouiii ! C’est encore meilleur, n’arrête pas !

Ma vue se voila pendant plusieurs secondes, lorsque je rouvris les yeux, Sylvie et Rita entièrement nues s’étaient mises en ciseaux et frottaient leur intimité avec énergie. Elles devaient être très excitées aussi car dès que je parvins à toucher leurs seins pour pincer fortement leurs tétons, elles crièrent leur jouissance de concert.

Nous restâmes de longues minutes pour reprendre notre souffle et d’attendre que notre rythme cardiaque revînt à la normale.

Rita se rhabilla et vint me présenter sa dernière collection de soutien-gorge sexy. La plupart étaient du genre push-up mais un modèle me plut particulièrement. Rita me précisa que c’était un modèle avec des bonnets semi-ouverts. Je le trouvai génial : mes tétons étaient nus, justes soutenus. Benoit allait certainement adorer ce modèle surtout avec une blouse un peu transparente !

Rita me présenta le string et le porte-jarretelles en accord avec le soutien et « last but not least » le string était ouvert à l’entrejambe ! Je fus conquise et achetai l’ensemble avec un autre push-up sans bretelles et dos nu. Ainsi j’avais de quoi émoustiller Benoit pour autant que ce soit nécessaire à mon mariage.

Sylvie profita de notre présence pour s’acheter un ensemble soutien et string aux bonnets transparents qui lui allaient à merveille.

– C’est pour ma prochaine rencontre avec Bernard dit-elle avec un clin d’œil !

Il était temps pour moi de rejoindre le bureau en me demandant si j’allais pouvoir soustraire mes acquisitions à la curiosité de Benoit !

NDA : Voilà bientôt le mariage ! Suspense !

La suite bientôt, mais pas garanti que ce soit la semaine prochaine car je manque un peu d’inspiration ; je dois me renouveler !

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