Cette œuvre de fiction non monétisée est publiée à titre gratuit, utilisant des images transformées par IA tirées de sources cinématographiques et d’acteurs existants, dans un cadre purement non commercial. Toute tentative de reproduction, de diffusion commerciale ou de revente, en tout ou en partie, de cette œuvre sans autorisation expresse de son autrice ni l'accord des acteurs concernés, constitue une double infraction. Violation du droit d’auteur (articles L.111-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle). Atteinte au droit à l'image des individus identifiables (article 9 du Code civil, droit au respect de la vie privée). L’autrice décline toute responsabilité en cas d’utilisation frauduleuse rappelant que l’usage illégal de cette œuvre pourrait faire l’objet de poursuites civiles et pénales, donc, si vous décidez, dans un excès de témérité malavisée, de vous faire de l’argent dessus sans en avoir les droits, sachez que la colère des avocats des acteurs concernés s’abattra sur vous comme la peste sur le choléra d’un champ de maïs moisi infesté de sauterelles enragées. Leurs courriers vous hanteront à jamais (les hiboux de Harry Potter, c’est de la pisse de chat à côté). Leurs assignations auront plus de pages qu’un annuaire téléphonique intergalactique. Quiconque osera tirer profit injustement de cette œuvre verra sa créativité faner comme un vieux poireau oublié dans le bac à légumes, sur une place de marché un dimanche après-midi caniculaire. Ses stylos sécheront, ses logiciels planteront et ses cookies internet seront à jamais infestés de pubs pour des formations "Comment appliquer sa crème contre les hémorroïdes". Sur 100 générations, ses descendants seront la honte de la famille, tomberont amoureux de protagonistes débiles très mal écrits et n’auront jamais plus une barre de Wi-Fi nulle part, pas même avec le plus cher des forfaits Starlink.