-8-

13 minutes de lecture

Quand il revient à lui, Derreck est dans sa chambre, allongé sur son lit, entouré des trois filles. Il se redresse lentement, son corps lui fait mal partout, il se sent sale, collant de sueur séchée. Ses partenaires sont dans un état encore plus déplorable que le sien. Leur peau luisante de divers fluides, les membres entravés les uns dans les autres ainsi que leurs chevelures plus qu’ébouriffées. Il admire un instant la scène, savourant son triomphe : un nouveau record, trois femmes en même temps. Il se lève, passe un simple peignoir puis quitte la pièce en s’étirant doucement. Il a faim, dirige ses pas vers la cuisine où il cherche dans le garde-manger. Il dispose quelques victuailles, va chercher de l’eau au puits, enfin il s’installe au moment où Dokkrus le rejoint. Le vieil homme le salue : « Hé bien, vous vous êtes sacrément amusés hier… Je vous ai encore entendus quand je suis allé aux latrines… » Derreck sourit avant de demander :

-Je… Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de perdre le contrôle ? Durant l’acte je veux dire ? » Tout en mâchouillant du pain, l’ancien Grand Dépravé hoche la tête :

-La communion… Lorsque ton esprit et celui de Yag se rapprochent assez, il peut arriver qu’Il prenne le dessus. Mais nul besoin de t’inquiéter, Il ne pourra le faire que pendant tes… galipettes et jamais pour nuire à tes partenaires, ce n’est pas son but. » Le jeune homme hoche la tête, l’ancien lui demande : « Au fait, nous avions pour objectif de nous rendre à Limur afin que tu y apprennes la magie. Mais à présent que Daria peut t’enseigner, est-ce qu’il est toujours pertinent d’y aller ? » Derreck prend le temps de réfléchir puis il marmonne :

-Augmenter le nombre de Filles de Yag, récolter des fonds. Ce sont nos buts, mais nous pouvons les atteindre durant le voyage. » Dokkrus serre les dents :

-Le problème sera sur le long terme. Les messes sont un bon moyen d’obtenir de l’or, mais nous allons avoir de plus en plus de bouches à nourrir… Il va nous falloir un revenu fixe, l’idéal serait un commerce… Mais…

-Quel genre ?... » Conclut Derreck pensif. Son esprit s’égare, tant de choses se sont déroulées ces derniers jours. L’espace d’un instant, le souvenir de sa sinistre rencontre avec un revenant est vivace. Il revoit la mémoire des runes, s’étrangle en mangeant puis tousse : « Merde c’est vrai ! » Il boit de l’eau, Dokkrus s’inquiète :

-Tout va bien mon garçon ? » Derreck lui demande :

-Du parchemin et une plume ? » Le vieillard bredouille :

-Il… Il y en a dans la bibliothèque mais… » Le Grand Dépravé se lève brusquement puis court à l’étage. Les lumières rouge et pourpres du temple s’allument sur son passage, il se rue sur le pupitre, reprend son souffle puis ouvre le pot d’encre avant de débuter le tracé sur le papier.

Dokkrus le rejoint après un moment, il halète : « Qu’est-ce qu’il te prend ? Tu… » Il regarde par-dessus l’épaule de Derreck, lorsqu’il constate l’état de concentration du jeune homme, il se tait. Le Grand Dépravé trace toutes les runes que lui a confiées l’esprit du Royaume des morts. À mesure qu’il les réussit, elles luisent très légèrement du même bleu verdâtre que les yeux de son professeur surnaturel. Lorsqu’il a terminé, il écrit rapidement à quoi correspondent ces dessins puis il reprend son souffle, comme s’il avait été en apnée tout ce temps. Le vieux lui demande : « Ce sont les fameuses runes du Royaume des Morts ? » Derreck hoche la tête, il s’apprête à expliquer quand il est interrompu :

-Bonjour… » C’est Daria, elle a simplement enfilé son chemisier et sa culotte, encore toute ébouriffée. Le Grand Dépravé lui tend la main :

-Approche. » Elle obéit, il la saisit délicatement avant de lui dire d’une voix étranglée : « J’ai un aveu à te faire. » Il inspire à fond, hésite. Dokkrus s’efface en reculant de quelques pas. Derreck murmure : « Mon voyage a commencé lorsque j’ai tenté de m’ôter la vie. » La magicienne semble horrifié, Derreck lui explique : « J’avais essayé de coucher avec mon amie d’enfance. J’ignorais tout du sexe, du plaisir ou de l’amour… J’ai failli la violer. Quand mon père adoptif a découvert cela, il m’a chassé. J’étais confus, perdu, seul, sans-abri… Je n’ai vu que cette échappatoire. » Les larmes montent aux yeux de Daria qui vient lui caresser affectueusement la joue. Il embrasse la main de la magicienne puis continue : « Yag m’a sauvé, il m’a ramené à la vie, m’a offert un but, une demeure… Je lui dois tout. » Elle hoche la tête : « Mais ce faisant, il a courroucé le Roi Éternel en subtilisant mon âme. J’ai déjà été poursuivi par des revenants par le passé. » À nouveau Daria s’inquiète, il saisit ses deux mains, la regarde dans les yeux : « Lorsque la flèche des Vipères dorées m’a touché, l’un des envoyés du Royaume des Morts a tenté d’entrer en contact avec moi. Tu m’as sauvé, il n’a pas pu… Mais lorsque nous avons été… submergés dans la grotte… Je suis passé si près de la mort qu’il… »Il inspire : « Il m’a visité. Il fait partie de la faction des Barons qui s’opposent au Roi Éternel, j’ai pactisé avec lui pour m’en sortir. » Il serre la magicienne : « Je te jure que si j’avais eu le choix, j’aurais procédé autrement… » Elle semble confuse :

-Qu’as-tu fais ? » Il secoue la tête :

-Quelque chose dont je ne suis pas fier, mais indispensable à notre survie. » Il inspire à fond : « Es-tu capable de me faire assez confiance pour ne pas m’en demander davantage ? » Elle semble réfléchir, puis hoche la tête, Derreck lui sourit, embrasse ses mains avant de continuer : « Ce visiteur m’a aussi transmis ces symboles. Ils sont censés pouvoir empêcher les envoyés du Royaume des morts de me retrouver. » La magicienne les étudie avant de murmurer :

-On dirait de la magie primitive… » Derreck avoue enfin :

-Je sais ce que chaque rune fait individuellement, mais j’ignore comment les assembler pour les rendre efficaces. J’aurais besoin que tu te penches sur la question, mais aussi que l’on trouve un moyen d’appliquer ces runes à mon… âme, je ne sais pas. » Il hausse les épaules. Dokkrus marmonne :

-Je ne pense pas que les graver sur un anneau soit une bonne idée… Si tu venais à le perdre tu serais bien embêté. Il faut quelque chose de plus permanent… Un tatouage par exemple ? » Daria hoche la tête :

-C’est possible, mais il va nous falloir de l’encre enchantée, qui puisse se charger de pouvoir. Je ne pense pas que l’on en trouvera aussi facilement. » Derreck demande :

-On ne peut pas en fabriquer nous-mêmes ? » La magicienne secoue négativement la tête :

-Je ne connais pas la recette, il faudrait que je fasse des recherches. Pareil pour l’agencement des runes.

-Où pourrait-on trouver ce savoir ? » Dokkrus murmure :

-La grande bibliothèque de Limur… » L’élémentaliste approuve. Derreck soupire en souriant :

-Nous qui pensions ne plus avoir besoin de nous rendre à la capitale, nous voilà reparti dans sa direction. »

Viennent ensuite les discussions concernant la logistique, Le vieil homme et la magicienne organisent un réapprovisionnement du temple. Il est décidé que Rose, lui et Daria iront faire le tour de Viergny pour acheter ce dont ils ont besoin. Veronika doit rester cacher, ils sont encore trop près de Colseau, si un avis de recherche a été émis pour elle, mieux vaut qu’elle ne se promène pas. Avant de se séparer, Derreck prend le temps d’expliquer à Daria l’ensemble des dons de Yag, Le Visage, le Verbe, le Souffle, la Poigne et l’Élixir. Il lui détaille du fonctionnement du culte ainsi que de leurs objectifs. Durant la discussion il ne manque pas de caresser ou d’embrasser la magicienne qui s’assied sur lui à califourchon.

Plus tard, Derreck explore Viergny à la recherche d’une porte dérobée pour organiser une messe le soir même, il trouve rapidement son bonheur dans cette grande ville, mais pour ameuter des candidates il préfère attendre.

Il rentre donc au temple en milieu de matinée, se dirige vers sa chambre, trouve Veronika en train de changer les draps. Il la remercie, s’excuse de la déranger dans sa tâche puis se prépare à sortir. Elle l’appelle timidement : « Monseigneur ? » Il s’arrête, se tourne vers elle en l’interrogeant du regard. Elle s’approche en repoussant ses tresses derrière ses épaules : « Je vous prie de pardonner mon audace mais… » Il aime qu’elle le traite ainsi avec respect. Il repense aux paroles de Dokkrus concernant Rose, imaginer la brune lui parler ainsi l’excite légèrement tandis que Veronika continue : « … je voulais requérir votre aide afin de m’aider à m’améliorer dans mon rôle… » Elle rougit, Derreck lui sourit :

-Si je le peux, bien sûr. Qu’aimerais-tu que je t’enseigne ? » Elle se tortille :

-Je… souhaiterais être capable de vous satisfaire avec ma bouche… Comme Rose le fait…

-Approche… » Il lui tend la main, la mène au lit, il défait ses chausses, puis s’assied : « Agenouille-toi… » Elle s’exécute, il attrape son membre flasque puis le lui présente plus en détails. Il lui explique où se situent les zones sensibles, comment les stimuler avec ses lèvres, sa langues, ses dents ou ses doigts. Veronika écoute bien sagement, elle s’humecte les lèvres, les pourlèche tout en dévorant du regard le sexe de Derreck avec concupiscence. Le jeune homme lui sourit : « Mais je soupçonne que tu savais déjà tout ça. Il te fallait une excuse pour pouvoir sucer ma queue ? » Veronika rit dans un soupir :

-Peut-être… » Elle vient caresser les cuisses de Derreck tout en embrassant le bout de sa verge qui se dresse lentement :

-En vérité, ce que tu veux c’est une bonne gorgée d’Élixir, hein ? » Les yeux de la Fille de Yag s’écarquillent puis s’illuminent de désir, elle soupire lascivement :

-Oui… » Avant de frotter son visage contre le membre du Grand Dépravé maintenant presque dur. Il empoigne le crâne de Veronika, le presse contre son entrejambe tandis qu’il se relève :

-Tu serais prête à tout pour en avoir, n’est-ce pas ? » Après avoir embrassé et renifler les testicules de Derreck elle couine :

-Si je pouvais en acheter… Je vendrais mon corps pour en payer… » Le jeune homme sursaute, se fige un instant avant de demander :

-Attends, répète ce que tu viens de dire ? » Veronika cligne des yeux puis avec sensualité elle déclare :

-Si je pouvais acheter de votre sperme, je le ferais… » Derreck a soudain une excellente idée, son premier reflexe est de vouloir en parler à Dokkrus, mais le vieil homme n’est pas encore rentré. Il est euphorique, il s’agenouille, embrasse fougueusement Veronika avant de lui dire :

-Oh toi… Tu viens de m’enlever une épine du pied… Tu n’as pas idée. » Elle semble ravie, il se redresse, frotte son sexe sur sa figure : « Tu vas l’avoir ta dose d’Élixir, régale-toi. » Avec une joie non feinte, la jeune femme engloutit le membre turgescent de Derreck dans sa bouche. Elle applique la leçon qu’il vient de lui enseigner, le faisant frémir sous ses caresses. Il l’encourage, la félicite, en un rien de temps son plaisir enfle : « Ça monte Veronika… » La fille de Yag pousse la queue de Derreck au plus profond de sa gorge, son reflexe nauséeux masse le membre à la perfection. Le Grand Dépravé laisse sa jouissance exploser, la semence aphrodisiaque se déverse abondement dans l’estomac de Veronika qui aspire avidement le liquide. À mesure qu’elle s’en nourrit, elle couine et gémit de plus en plus fort, une sorte de frénésie lubrique l’habite, elle recommence à flatter le membre de Derreck.

Ce dernier use du Verbe pour la calmer, puis de la Poigne pour la restreindre sur le lit : « Là… Tu vas rester bien sage. Je reviendrais m’occuper de toi plus tard. » Il quitte la chambre en laissant une Veronika gémissante derrière lui.

Plus tard dans la matinée, il discute avec Dokkrus et Daria de l’idée de Veronika. L’ancien semble dubitatif, mais la magicienne affirme qu’avec des ingrédients magiques, il serait possible de parvenir à préserver les propriétés uniques de l’Élixir de Yag. Cependant, ce genre de composants particuliers ne se trouve pas à tous les coins de rues. Ils sont issus de créatures ou plantes ayant traversé des failles entre leur dimension et celle d’Argratus. De fait, leur prix est extrêmement élevé à moins d’être en capacité de les produire soi-même. Mais en dehors de cet aspect technique, Daria est très enthousiaste à l’idée de commercialisé l’Élixir. Elle explique qu’à son départ de Limur, une mode des produits de beauté faisait son apparition. Les dames de la Cour, les bourgeoises, toutes s’arrachaient les parfums ou les crèmes hydratantes. Le groupe conclut qu’il leur faudra trouver un partenaire commercial une fois arrivé à Limur. Après cela, ils déjeunent ensemble, Derreck décide d’aller inviter des candidates pour la messe du soir.

En passant par sa chambre, il retrouve Veronika attachée à son lit. Il sourit, la pauvre halète lourdement, son intimité luisante d’excitation. Elle écarte immédiatement les cuisses en le suppliant de la prendre. Il s’approche, la taquine un peu avant de retirer ses chausses puis de copuler avec elle comme un animal. Excitée et frustrée comme elle l’est, chaque pénétration du membre de Derreck est un délice qui l’entraîne un peu plus vers une douce folie lubrique. Elle jouit encore et encore, ses yeux se révulsent, sa respiration se cale sur les coups de reins de Derreck tandis qu’elle bave, la bouche grande ouverte dans des halètements presque bestiaux. Lorsqu’il termine avec elle, il ne mélange que quelques gouttes d’Élixir à sa semence. Veronika reprend son souffle pendant un moment avant de s’endormir dans les draps de Derreck. Ce dernier se rhabille puis quitte le temple.

Il parcourt les rues de Viergny à la recherche de candidates pour la messe du soir. Pour ce faire, il a une idée très simple. Il va dans une boutique à l’entrée de la ville, y achète une carte de la cité, puis se promène en prétendant être perdu. Dès qu’il remarque une œillade intéressée, il s’approche innocemment de la femme, prétend chercher l’adresse à laquelle il compte ouvrir le temple durant la nuit. Puis il lui projette un peu de Souffle, flirt avec elle avant de l’inviter à le retrouver le soir.

Il s’arrête lorsqu’une patrouille de gardes passe près de lui, gobant son petit numéro, ils lui indiquent le chemin. Dès qu’ils reprennent leur marche, il termine ses recherches de peur de les croiser à nouveau. Il rentre au temple pour méditer, s’entraîner, se laver, enfin se préparer pour la messe du soir.

Avant d’ouvrir la porte du temple, il reprend sa prospection dans l’espoir d’ameuter toujours plus de femmes. Lorsque la lune est haute, il va au point de rendez-vous, utilise la clé, ouvre le passage, puis guide les curieuses jusqu’au portail. Après de longues minutes, il semble que plus personne ne vienne, il entre à son tour.

La cérémonie se déroule à peu près comme la précédente. Cette fois encore Yag semble l’aider à trouver les mots justes pour toucher son audience. Quand vient le moment de faire la démonstration de ses talents, il procède de la même manière qu’auparavant. À ceci près qu’au lieu d’encourager le public, il prend Rose sur l’autel. En la faisant asseoir sur lui, jambes écartées face à la foule, les spectatrices observent avec concupiscence ces deux sexes qui s’entrechoquent à merveille. Parmi elles se sont glissées Daria et Veronika, avec la consigne de se masturber dès que le spectacle deviendrait excitant. Ce qu’elles font, entraînant d’autres avec elles, si bien que le temple s’emplit de couinements, halètements et soupirs d’aises. Leur manège prend fin lorsque Rose éjacule un puissant jet de cyprine puis s’écroule sur Derreck. Il l’aide à s’allonger, se dresse nu, son sexe tendu et luisant pour inciter l’audience à s’abandonner. Il les rassure, les envoutes avec le Verbe et le Souffle, jusqu’à ce qu’elles jouissent toutes. Après quoi il leur ordonne de ne jamais parler de cet endroit, les encourage à faire un don ou à les rejoindre plus définitivement. La foule se disperse en passant devant Dokkrus qui récupère l’argent. Deux candidates approchent ensuite de l’autel. Comme avec Veronika, Derreck les interroge avec le Verbe.

Josie Miller a les cheveux auburn longs, une taille épaisse et des bras puissants. Elle n’est pas repoussante mais manque d’un certain charme féminin. C’est une jeune orpheline qui a échappé de justesse à une vie de misère et de crime. Mais elle craint que le noble qui l’a prise sous son aile ne cherche à abuser de sa personne. C’est un homme cruel qui lui a déjà fait des avances. Elle avoue trouver la situation excitante, mais l’homme est trop repoussant pour véritablement lui permettre d’apprécier sa position. Elle veut s’enfuir, mais elle n’a pas d’argent, nulle part ou aller, seulement un feu intérieur.

Polly Barnes est une jolie femme aux cheveux châtains attachés en un chignon. Elle est sûrement la plus âgée d’entre toutes les filles de Yag, approchant de la trentaine. Elle explique qu’elle a travaillé aux champs depuis sa plus tendre enfance. D’abord avec ses parents, puis sur l’exploitation d’une entreprise bourgeoise. Là, d’autres travailleurs ont commencé à flirter avec elle. Trop jeune pour savoir comment repousser ces prétendants, elle n’a fait que refuser poliment en souriant. Les bougres ont finit par l’attraper un soir et la violer collectivement dans une grange. L’affaire s’est sue, les hommes ont accusé Polly de les avoir provoqués, ses parents l’ont méprisée. Elle a dû partir vivre avec des nonnes de l’Église de la Lumière pour s’absoudre et recommencer une vie. Mais elle reconnait que chaque nuit elle rêve de retourner dans cette grange et de revivre cette agression.

Ni l’une ni l’autre ne fourchent lorsqu’elles prononcent la formule magique qui les lient au dieu de la Dépravation. Lorsque le sceau apparait sur leur bas-ventre, Dokkrus les laisse pour que Derreck couche avec elles sur l’autel, tandis que Rose, Veronika et Daria les regardent faire avec un peu de jalousie. Elles jouissent encore et encore, les spectatrices se caressent et s’offrent elles aussi de beaux orgasmes.

Tout est parfait, jusqu’à ce que le temple se mette à vibrer, comme secouer par un terrible tremblement de terre. Les filles paniquent, se ruent dans les bras de Derreck qui s’inquiète lui aussi. Ils s’écartent de l’autel quand celui-ci devient brûlant, la pierre craque, se fissure. De la poussière s’écoule de la voûte avant que des morceaux n’en tombent. Le cœur de Derreck tambourine dans sa poitrine quand un craquement sinistre résonne au dessus d’eux.

Annotations

Vous aimez lire Le "LeLombric" Lubrique ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0