Lorsque Roland se saisit de la corde, le fatras de planches et de métal qui constitue la bâtisse se désagrège, comme de la neige qui fond en une bouillie répugnante, le sol se dérobe pour ne laisser place qu'à un puits d'un noir abyssal tandis que les corps des spectateurs éclatent en particules scintillantes qui se projettent au loin, si bien, qu'après quelques secondes, ne restent que les deux ennemis de l'instant, perdus dans une profonde obscurité étoilée.

N.D.A. (Ceryse) : je lis dans vos pensées que vous ne vous y attendiez pas du tout...