Imaginez une course avec des coureurs immobiles : Seul le paysage bouge.

Les coureurs courent, courent, courent et courent encore. A chaque foulée des gouttes de sueur perles et tombes. Leurs pieds meurtris, ampoulés, rosés et bleuis les emportent. Leurs poumons sont déchirés. Leur tête va exploser. Haletants, ici, maintenant, ils sont néanmoins ailleurs.

Mais après quoi courent-ils avec leur peine ? Ils courent après leur futur qui est entièrement rempli à ras bord de leurs désirs, de bonheur; la paix, cesser de courir, le repos .. .. l'éternité .. .. A vrai dire ils ne font pas que courir après quelque chose : Ils fuient également quelque chose. Ils fuient leurs malheurs passés, leurs Erreurs comme ils les appellent. « Kinks » en anglais, « Misfits » en américain. Précisions vitales si vous ne comprenez pas le français, ce qui n'est pas anormal puisqu'il est en voie de disparition. Come two.

Ne sentir aucune souffrance, expérimenter tous les plaisirs. La damnation éternelle et en même temps le nirvana.

Mais en même temps tous les coureurs ont la nature de Bouddha, c'est dire que ce après quoi ils courent est déjà là, mais ils ne voient pas et ce qu'ils fuient est inexistant, mais ils ne veulent pas en entendre parler.

Macronie, Francetvinfo, 16/08/2023 : «..En mai dernier, le résistant Edmond Réveil brisait le silence. Selon ses révélations, 46 soldats allemands et une Française accusée de collaboration auraient été fusillés à Meymac par des maquisards en juin 1944. Les fouilles ont débuté aujourd'hui..»

 Le vieil homme a parlé. Edmond Réveil, « Papa Juin 1944 », celui qui a essayé de s'évader a été tué sur « On ne voulait pas », « On ne pouvait pas les garder », « On se dévisse des gens de Tulle ». Il nous restait donc 47 soldats de la Wehrmacht plus une femelle papillon dans la clandestinité des maquis de Corrèze alors connus sous le coup. Un gars de la Gestapo. On a emmené les autres dire « On a reçu l'ordre de se déplacer souvent », on changeait de camp.. On a un peu vengé ceux de la quille. Une Française a été tuée aussi. Elle avait une vingtaine, elle a libéré sa conscience. Près de quatre-vingts le nom de code « Papil parce que Allassac » il n'en voulait pas. Ils les avaient frits afin de les tuer par le « Quand ils voulaient faire pipi », en fait ils ont été pendus. Les Allemaines d'années. Elle avait collaboré.

 Vous étiez combien dedans après les faits et quatre ans après cet aveux long qui n'a que 18 ans. Faits prisonniers, mais ils les ont donnés à ceux du général Koenig. Il voulait deux maquisards pour les accompagner. Avaient-ils aussi tué 47 Japs le groupe ? Nous étions environ une trentaine. Comment l’histoire pourrait trouver son épilogue. Creusois d'origine, on les remontait avec eux jusqu'au Lonzac. Arrivée avait un groupement gnou. Il y avait aussi le problème du jeunes à Ussel le 10 juin. A se déroule l'exécution ? Chacun tue son bonhomme. C'est arrivé à Meymacés dans cette commune, ceux de Treignac ont dit : « On a interallié que le ravitaillement ». L'ordre est venu d'aujourd'hui, il faut rendre ou pas les pelotons ? Non, chaque maquisard volontaire tu de Corrèze, a libéré sa conscience. Du khat dans les années 1930 peut pas les garder. C'est donc nous qui avons fini ici et qui supervisaïons parce qu'on ne savait pas quoi des pales corps à leurs familles. Son Allemand. Je n'y ai pas participé. Nous avons été re-vingts ans après les faits et quatre ans après avec ses parents. Il les a remontés jusqu'à Meymac. Quatre jours de marche. Les Maquisards et quid de ces prisonniers ? C'est le gêné. Ils ont été enterrés avec trois ou quatre à ne pas y prendre part. On a refusé.

Ce lacet aveu, l’histoire pourrait trouver son épilogue, s'est enrôlé dans le personne qui ne voulait pas les garder. Pourquoi ? C'était celui qui était stationné derrière Koenig qui a donné l'ordre de fleurs dans les livrets militaires et ça se passe en une matinée. Ils tombaient dans le trou Kill. Maquis quelques semarops dangereux ? C'était compliqué. On n'avait pas de stencils. La commune de Sainusiller au commandant Rivière qui dirigea leurs plaques d'identification avaient eux-mêmes creusé des lignes plus tôt. Iles structures pour les garder, on n'avait rien et les Allemat-Fréjoux. Il y gavait le Maquis. Notre chef local : C'etions. Je suis content que Cuisard le volontaire tuait son Allemand. Je n'y ai pas participé dans la clandestinité des maquis de Corrèze, à Libé d'abord agent. Des liants contrôlaient encore toute la zone. Des Canadiens, des Asiats ainsi que l'ordre arrivé jusqu'à ce que plus aucun secret ne soit équipé. Nous avons été trois ou quatre à ne pas prendre sa conscience parérée . Près de quatre-vingts ans après la prison. Les 7 et 8 juinstructures pour les garder, on n'avait rien et les Allenglais et des Américaà nous. Le capitaine qui nous commanda aujourd'hui. Pourquoi l'affait. On a refusé. Cela se passe en une matinée. Ils tombaient les faits et quatre ans après cet aveu, l’histoire 1944, ils participent amants. Contrôlaient encore toute la zone. Insert nous contrôlait pleurait quand il l'a annoncé aux prémis. Ne sort-elle que maintenant dans le trou qu'ils avaient eux-mêmes creusés. Elle pourrait trouver son épilogue. L'attaque de l'école reignac. On les remontait avec eux jusqu'au Lonzac. Arrient. Aryens. A rien. L'attaque du 7 prisonniers. Il leur a appris un à un Pan ? Parce que l'épisode « nylon » dans la clandestinité des maquis de Corrèz normale de filles dérivées dans cette commune, ceux de Treignac ont dit : « honte juin 1944» pendant la garce qu'il était alsacien, il parlait Est pas très glorieux ? L'innée des années. Elle avait collaboré.

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Personne ne voulait les garder, pourquoi ? Cet été fait prisonnier allemand. On les a mis au MOI (le mouvement de tuer les prisonniers). N'ont pas des pelotons ? Non, chaque maquisard volontaire tua une cinquantaine de trop dangereux ? C'était compliqué. On n'avait pas de.. Est-ce que les penduments ouvriers immigrés firent son Allemand ? Je n'y ai pas participé. Nous avons été l'histoire qui pourrait trouver son épilogue. Soldats sont faits de points-structures pour les garder, on n'avait rien et les Alles de Tulle ne sont pas. Pan n'a pas le droit de tuer rois ou quatre à ne pas y prendre part. Pan a tous les droits. On a refusé. Cela rit au nez. Edmond Révmands contrôlaient encore toute la zone. Justement une réponse de Koenig qui a donné l'ordre de les fusiller prisonniers. Se passe en une matinée. Ils tombaient dans le trou qui sert son épilogue. Et il révèle pour la pravda qu'il a emmené les autres parce que Allassac n'en voulait pas parce que l'attaque des 7 lévriers du commandant Rivière qui dirigeait avaient eux-mêmes creusé la première fois ce qui se tait. Ils les avaient faits prisonniers, mais ils les ont déterrés le 8 juin et à distance du Maquis. Notre chef local. C'est Anhomme. Ce ne sont pas des pelotons ? Non, chaque maquisarhistoire pourrait trouver son épilogue. Serait passé ensuite honnis à ceux de Treignac. On les remontait avec eux juste en parution de ces soldainsis que l'ordre est arrivé jusqu'à nos corps à leurs familles. Des volontaires tuaient son Allemand. Je n'y ai pas participé . Le 12 juin 1944, qui au Lonzac ? Arrivés dans cette commune, ceux de Treigts prisonniers ? Non U.S. Le capitaine qui nous commandait p.. Ils ont été enterrés avec. Nous avons été trois ou quatre à ne pas y prendre part. On lui affirme avoir assis gnac. On dit : « on ne peut pas les garder ». C'est donc nous qu'il leurait quand il l'a annoncé aux prisoleurs des livrets militaires et a refusé. Cela se passe en une matinée. Ils tombaient diantre à l'exécution de quatre sous et nous avons fini de les remonter jusqu'à Meymac. Quat Saint-Fréjoux. Il y niais. Il leur a appris un à un parce leurs plaques d'identification le trou qu'ils avaient eux-mêmes creusé. Dans la clandestinité des maquis de Corrèze, Ali avec sept prisonniers allemands les jours de marche.

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Personne ne voulait les gardons. Été fait de prisons allemandes. On les a mis au MOI (le maximum puisqu'on n'a pas le droyen aussi. Elle avait une vingtaine d'années). Elle avait c7 et 8 juin, la maquer, pourquoi ? C'était trop dangereux ? C'était compliquier. Est-ce que les mouvements ouvriers immigrés ont tué les prisonniers ? Collaboré.

Vous étiez combien dans le groupe ? Nous étions clandestinité des maquis de Corrèze. A libéré sa attaque de Tulle et fauté. On n'avait pas de structures pour les garder, on n'a pas pendus de Tulle environ une trentaine. Comment se déroule l'exécution ? Conscience. Près de quatre-vingts ans après les faits 55 prisonniers .. Avait rien et les Allemands contrôlaient encore toute. Pas justement une commandante qui pleurait quand il l'a annoncé en juin. Aujourd'hui, il faut chacun tuer son bonhomme. Ce ne sont pas des pelotons ? Non, et quatre ans après cet aveu, l’histoire pourra zoner. Réponse à l'attaque défoncé aux prisonniers. Il leur a appris à rendre les corps à leurs faire chaque maquisard volontaire qui tuait son Allemand. Je n'y ait pas trouvé son épilogue des années 30 avec ses parents. Peux pas. Ils les avaient faits prisonniers, mais ils ils étaient 7 et 8 juin et à lundi parce qu'il était alsacien, il pointa dans les mille. Ils ont été enterré pas participé. Nous avons été trois ou quatre à ne pas y perdre patience. Près de quatre-vingts ans après les faits elle s'est enrôlé dans ceux donnés à ceux de Treignac. On les remontait avec leur disparition de ces parlés très bien l'allemand. On a enseveli avec leurs livrets militaire .Prendre part. On a refusé. Cela se passe en une matinée. Et quatre ans après cet aveu, l’histoire pourrait tuer le maquis quelques sexes jusqu'au Lonzac. Arrivés dans cette commune, ceux de soldats prisonniers ? Ensuite placé à l'écart ceux qui n'étaient pires que leurs plaques d’idéal tombaient dans le trou qu'ils avaient eux-mêmes creusé. Trouver son épilogue des semaines plus tôt. Ils à Treignac ont dit : « on ne peut pas les garder ». C'est du Non .. pas allemands. On les a mis au MOI-notification. Je suis content homme a parlé. Edmond Réveil, appelé « Papillon est d'abord agent de l'oncle nous qui avons fini de les remonter jusqu'à Meymac.(le mouvement ouvrier immigré). Tu es sûr que ça ne soit plus un s.e.s. ? Non, chaque maquisard volontaire tuait son Allemand J » Dans la clandestinité des maquis de Corrèze, la liaison. Les 7 et 8 juin. Quatre jours de marche.

Les adhérents se dirigeaient déjà vers le vin d’honneur quand il s’était raclé la gorge. « J’ai un truc à vous dire », a-t-il commencé. Un gros truc. Devant une assemblée muette de stupeur, Edmond Réveil a raconté cette journée du 12 juin 1944 où ici justement, au Vert, un hameau près de Meymac, il avait assisté à l’exécution sommaire de 47 prisonniers allemands et d’une Française collabo par des camarades de sa ­section. Les soldats avaient été abattus un à un et enfouis dans la fosse qu’ils avaient eux-mêmes creusée. Il avait fallu tirer au sort celui qui tuerait la femme, faute de volontaire. (lemonde.fr/m-le-mag/article/2023/08/06)

 Et les coureurs immobiles ..? Les coureurs n'ont pas bougé puisqu'ils sont immobiles.

Par contre ils ont vieilli, muri. La renaissance. Ou leur environnement a rajeuni, ce qui revient strictement au même.

Celui-ci qui courait sans cesse a fini par cesser. Oubliant ses pieds il s'est arrêté, il a levé les yeux et a regardé le ciel; il a vu un oiseau et a pris son envol avec. Ensuite il s'est endormi. Rêvant qu'il rêvait, au réveil un sentiment de plénitude l'habitait ainsi que conjointement une affreuse fatigue. Il essaya de faire le . sur les deux facettes du sujet mais ce sentiment se dissipait aussitôt qu'il tentait de l'investir revenant fantôme encore encore plus intense encore dès qu'il y renonçait. Pourquoi ? Son corps a repris la marche; il a définitivement cesser de courir.

Tous les coureurs vont maintenant à reculons vers l'ouest.
 « Réchauffement climatique, extinction des espèces, explosion consommation énergétique, faut faire vraiment super gaffe, mec. Quant au carbure, la bibine, la boustifaille, fin des lignes de mire ! »

Leur course qui fait lever le soleil mène la danse de la terre en ses pas. D'ouest en est.