Louanges à ses doux fruit de printemps,
Inspiration de mes mémoires.
À la chaleur de ces tendres amants,
Secret de mes espoirs.

Certes, la tristesse enveloppe parfois,
Mon cœur creusé de doutes.
Mais toujours maternelle, son corps m'envoûte,
Et souffle sur les blessures de mes émois.

Caressé, sous le sombre plumage de la nuit,
Par ses mots, chant de mésange,
Battement d'ailes d'un ange endormi.

Alors que le matin, brutal, enflamme mon éveil,
C'est encore à peine rêvant,
Que je cache mes songes, dans l'antre de ces merveilles.