Les traits de caractère des personnages sont exagérés, d'autres ont disparu afin d'accentuer un côté tragique dans le récit. A vous chers lecteurs (famille et amis qui se reconnaîtront) de ne pas vous insurger si vous êtes morts ou si votre caractère ne vous correspond pas, ceci est en grande partie une fiction basé sur quelques faits réels, agrémentés et enjolivés, retranscrits dans une époque différente.

Si vous lisez ce livre et que vous n'apparaissez pas dedans, je vous prie de m'en excuser, je n'avais pas assez d'expérience, à l'époque, dans l'écriture pour traiter beaucoup de protagonistes en même temps.

Les noms des personnages ont changé, certains détails sont inventés et le reste est vérifié de source sûre. Le personnage représentant la mère de Eve Montaigu est inspiré entièrement de la mère de Lizzie Bennet.

L'idée de se déguiser en homme lors de conférences philosophiques est tirée du film « La vie de Brian » des Monty Python lors de la scène de la lapidation.

Les trois sommations était une loi que Napoléon Bonaparte mit en application. Le consentement des parents est indispensable pour les garçons de moins de trente ans et pour les filles des moins de vingt-cinq ans. Passé cet âge, on tolère que les mariés se passent du consentement paternel, à condition toutefois d'avoir fait aux parents des "sommations respectueuses".

Remerciements à Jane Austen à qui j'ai repris quelques passages « D'orgueil et préjugés » qui m'ont touchée. En effet, une vie sentimentale qui se passe un peu de la même façon que celle de Lizzie Bennet, est assez émouvante et drôle. Enfin, ce n'est que mon point de vue...

Merci à toutes ces femmes du dix-neuvième siècle qui se sont battues petit à petit pour que nous puissions avoir la liberté dont nous nous réjouissons à l'heure actuelle ! Remerciements aussi à Maupassant, Flaubert, tous les écrivains, musiciens et artistes de ce siècle qui m'ont inspirée.

Merci à mes parents, sans qui je n'aurais pas pu écrire cette nouvelle si je n'étais pas née, et si je n'avais pas eu la vie que j'ai menée jusqu'alors !

Papa, merci de l'avoir lu avant de t'en aller et de m'en avoir dit du bien même si tu n'aimais pas les romans à l'eau de rose...

Remerciements à Virgil, grâce à son amour et son soutien, cette nouvelle ne serait pas sortie de mon imagination.

Alice qui fut la première lectrice, merci pour tous les conseils et détails précieux que tu m'as donnée.

A Jennifer, qui a entreprit avec patience de faire une très bonne correction de mes milliards de fautes !

A Laure qui, en précieuse copine a un personnage qui lui va, je crois, comme un gant...

A tous mes proches et amis qui m'ont inspirée ce livre, ces personnages, et sans lesquels ma vie serait bien maussade, sincères remerciements !