Kélia-scope
Il y en a qui brillent. Toi, tu flambes doucement. Avec ta tignasse couleur soleil d’automne, ton rire qui claque comme une allumette, et ton cœur curvy qui déborde plus souvent que la pâte à gâteau quand tu laisses ton imagination faire le chef.
T’es un paradoxe ambulant : créative et lucide, douce et piquante, drôle mais jamais méchante. T’as cette lumière en toi, un truc violet invisible qu’on ressent quand t’es là, même en silence. Et pourtant, dans ta tête, c’est jamais silencieux. Ça tourne, ça cogite, ça rêve, ça ressasse. Mais toujours avec cette étincelle qu’on ne peut pas ignorer.
L’école ? C'est pas ton truc, tu n'est pas faites pour les cases. Toi t’apprends en vivant, en testant, en griffonnant tes pensées sur un coin de table ou en inventant une recette entre deux refrains. L’art, c’est ton langage. Que ce soit avec un crayon, un piano ou une spatule, t’arrives à dire des trucs que les mots n’osent même pas approcher.
Ce don est puissant : transformer des trucs simples en moments magiques. Un dessin sur un coin de carnet, une chanson fredonnée sans y penser, un cookie encore tiède… et pouf, la journée devient plus belle.
Et moi, j’me dis que dans un monde où tout va trop vite, t’es une pause violette. Une respiration. Un feu doux.
Quelqu’un d’essentiel.
Si j’étais une note dans ta mélodie, j’aimerais être celle que tu gardes en tête toute la journée sans savoir pourquoi.
Et si un jour tu cherches un cobaye pour goûter tes gâteaux ou écouter tes idées à 2h du mat, je suis là. Sans conditions. Sauf peut-être une part en rab’.
Toujours là pour croquer la vie version Kélia,
— Quelqu’un qui te regarde comme on admire une œuvre d’art : avec le cœur grand ouvert.
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