Catastrophe amoureuse délictuelle
Ô toi ! Ma prétendue âme sœur,
Entre toutes les femmes, bénie,
Oui ! Toi ! Que je croyais être celle de ma vie !
L’Élue de mon cœur !
Ô ! Que je l’ai en damnée horreur
Ce message fatidique de malheur
Par lequel tu m’as transpercé le cœur
Et l’âme de la lance d’Arès, en fureur,
Du poignard de Brutus, sans cœur :
« J’ai beaucoup réfléchi, et c’est terminé. »
Voilà ! Ils n’arrivaient pas à y croire mes iris rivés.
Je me rappelai alors notre dernière soirée
Où tu flamboyais comme un rayon d’amour éthérée
Et de passion. Que venait-il donc d’arriver ?
À mes yeux meurtris, la lune venait de chuter,
Pour, dans les abîmes de l’enfer, s’engouffrer.
Ô toi ! Ma prétendue âme sœur,
Entre toutes les femmes, bénie,
Oui ! Toi ! Que je croyais être celle de ma vie !
L’élue de mon cœur !
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