Pour lui, c'était Aokigahara

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Il faisait encore nuit quand il descendit du bus. 

À l'entrée d'aokigahara, il jeta sa montre, ses bagues et son dernier paquet de cigarette. 

Il continuait comme assuré d'un rêve grandiose. 

À cet instant-là, beaucoup de personnes crurent comprendre ce qui arrivait, mais il avait déjà disparu dans la futaie qu'ils pensaient à intervenir.

En pleine nuit, qui voulait se trouver à Aokigahara ? 

Il s'avançait stoïque vers le bas de la montagne, la démarche vive par une impatience presque joyeuse.  

Le dessin de ses joues flétries et de ses yeux arrachés de peur.

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