13* CETTE MAUDITE VIEILLE DAME.

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Sous un ciel bleu éclatant, ils entament les prémices

du combat contre cette fameuse vieille dame. Dès le

départ, celle-ci invoque un familier de type hybride,

c’est-à-dire, ayant plusieurs facultés qui n’ont rien avoir

les unes avec les autres. De base, il en possède deux

natures différentes. Celui-ci est inconnu au bataillon,

mais cela ne change rien pour Zia, habituée à combattre

sans connaitre ses adversaires. Ressemblant plutôt moitié

oiseau et reptile. Zia, comme à son habitude, fonce tête

baissée dans la bataille, suivi de très près par Maēlo, la

soutenant avec ses sortilèges.

Pendant que Natz observe à distance, Anton établi sa

stratégie de combat avec Solveig. En effet, elle concentre

son énergie pour la matérialiser en forme d'écu à double

barrière muni de deux espèces de pics sur chaque côté,

prête à déployer sa défense. Zia tente de frapper du mieux

qu’elle peut la vieille dame, mais le familier de celle-ci

l’empêche de l’atteindre, ripostant par des sorts qu’elle

évite bien évidemment. Maëlo quant à lui, n’hésite pas à

balancer ses sorts vers elle, décrits comme bas de gamme

par celle-ci. Pour une vieille dame, elle est très habile et

donne l’impression d’avoir fait de la gymnastique toute sa

vie depuis sa naissance.

Quand celui-ci y repense, à cause d’elle, il a très mal parler

à son amie pour pouvoir s’occuper de cette ingrate. La dame,

démontrant sa classe principale de Mage, lance un sort

foudroyant de couleur jaune vers Zia, qu’elle appelle

l’hyperactive en raison de son acharnement exagéré. Maëlo

lance à son tour un effet miroir qui dévie l’attaque vers Solveig,

qui elle, absorbe l’attaque grâce à sa magie noire. Celle-ci se

propulse alors vers la servante grâce à une magie spécialisée

dans le petit coup de fouet physique et magique d’une personne.

Arrivée juste devant la dame, Solveig enchaine ses techniques

d’assassin et tente de poignarder celle-ci, mais elle est bien trop

rapide et évite les moindres lames venant vers elle, et tente de

riposter via sa magie. Solveig esquive l’attaque, et Zia revient à la

charge pour lui faire tâter de sa massue. La vieille dame esquive

de justesse et envoi son familier en attaque kamikaze, la spécialité

de celui-ci, dont chacun d’eux évite depuis le début. Avant que

l'hybride n’atteigne Zia, Solveig apparait devant celle-ci et active le

sort de défense préparé précédemment, et bloque celui-ci de toute

ses forces. Une grosse explosion se fait ressentir à deux kilomètres

à la ronde.

La servante rigole à plein poumon, pensant avoir massacrés les

deux filles, et par la même occasion, avoir fait d’une pierre deux

coups. Elle se tourne désormais vers Anton :

« - Ça ne doit pas être facile tous les jours d’être en soumission

constante par des sans cerveaux. » tacle celle-ci, se moquant bien

de la condition du garçon.

- Elle ose parler de la sorte, elle ne le connait même pas ! » s’irrite-t-il.

Anton sourit machinalement et toujours avec sincérité, énervant la

vilaine dame. Se concentrant sur lui, elle tente de l’intimider :

« - Je vais te battre jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de toi, et je

passerais ensuite à tes amis ! jure-t-elle.

Tout à coup, elle est projetée à plusieurs mètres de là, laissant

échapper un cri de douleur impossible à retenir. Zia venait de la

frapper de toutes ses forces avec sa massue, faisant apparaitre son

visage des plus sadique devant Anton, qui préfère ne pas l’embêter,

même si ce n’est pas dans ses intentions. Celle-ci souffle de plaisir

intense comme une vraie barbare, contente de son coup. Grâce au

sort défensif de Solveig, le familier s’est fait absorber son attaque

pour être renvoyé instantanément vers l’envoyeur, en dix fois plus

puissant.

La servante était tellement confiante qu’elle n’avait pas pris la

peine de bien observer la situation, au petit bonheur de Zia :

« - Ben alors la vieille, ont tient plus debout ? Y a pas de canne

pour toi ha ha, t’as fait trop de mauvaises actions, bleeeeh ! »

s’amuse Zia en tirant brièvement la langue.

Celle-ci se relève, mais l’attaque n’est pas sans effet car la douleur

est encore vive, et elle promet d’un regard sombre, qu’elle ne

laissera pas passer cet acte intolérable. Zia reste étonnée qu’elle

puisse se relever aussi vite, mais se doutait bien qu’elle ne se fasse

pas battre aussi facilement. Ils reprennent donc le combat, l’état

d’esprit de la dame n’étant plus le même. Quinze minutes passent

et cette dame est sur le point de perdre son combat, malmenée par

Zia en particulier. Enervée par sa situation, elle pose fermement une

main à terre pour faire apparaitre un cercle magique de couleur jaune.

Un vent se lève et d’autres personnes apparaissent dans ce cercle:

« - Mince, c’est une invocation, sale mégère… remarque Zia qui s’éloigne

instinctivement d’un grand bond en arrière.

- Il ne manquait plus que ça… suivi Solveig tout aussi étonnée.

- Non…pas eux… dit Maëlo comme s’il venait de voir un revenant.

- Qu’est-ce qu’il y a, tu les connais ? demande Anton.

- Pas personnellement mais je les reconnais, ce sont les cinq meilleurs

fins gourmets de la région du nord … dit-il d’une voix tremblante.

- Ce ne sont que des queux, pas de quoi en faire un débat. Les massacrer

une bonne fois pour toute, qu’on en finisse avec la vieille croulante.

s’impatiente Solveig.

- Attention, si ce sont les meilleurs fins gourmets, c’est qu’ils cuisinent de

tout, jusqu’aux personnes elles-mêmes. poursuit Zia, qui écoute souvent

les histoires de Maëlo depuis qu’ils se côtoient.

- Mais c’est dégueulasse… S’écœure Solveig.

- Et le pire c’est qu’ils cherchent et obtiennent leurs ingrédients

eux-mêmes … continu Maëlo.

- Comme tout bon queux … ironise Zia. L’un d’eux regarde Natz.

- Ne me mange pas, je suis très avarié ! » s’écrit-il mort de peur, se cachant

directement derrière un rocher.

Après que la vieille dame termine de vanter la qualité de leur corps,

les fins gourmets décident de se mettre en chasse pour pouvoir les

cuisiner comme il se doit. Ces cinq personnes se battent avec leurs

outils de cuisine combinés à leur magie. Nos amis ont bien du mal à

se défendre face à ces cinq psychopathes, leur servante étant mise

de côté.

« - Je vais tous vous massacrer bande de déchets ! balance Zia.

- Toi, je te servirais sûrement dans un ragoût ! s’amuse l’un d’eux en

restant sérieux dans ses propos.

- Tu rêves ! » réplique-t-elle en mettant une certaine distance entre

eux deux.

Solveig utilise ses mouvements en combats rapprochés liés à sa

classe principale combinées à sa magie noire, mais son adversaire

à l’air bien plus fort qu’elle :

« - Aah… ça me rappelle le temps où je voyageais en tant qu’assassin,

c’était le bon vieux temps… enfin, ça m’a permis d’être ce que je suis

aujourd’hui dit-il d’un air sadique.

- Mouahaha, pas très puissant mais la qualité de la marchandise est

là ! s’extase l’une d’entre eux face à Anton.

- Hé hé, ne me dis surtout pas que tu étais un séraphin, ce serait

ignoble… dit -il nerveusement.

- Bien deviné ! Mais ça manquait d’excitation tout ça, alors je suis

devenue ce que je suis aujourd’hui, c’est vraiment exaltant brrr ! »

frissonne-t-elle de plaisir, empirant le dégoût du garçon.

Zia ne se gêne pas pour dire ce qu'elle pense, une fois de plus:

« - Manquerait plus que mon adversaire soit un ancien barbare et celui

de Maëlo un ancien mage. Se moque Zia.

- Bien sûr que non, quel barbare deviendrait quelqu’un d’aussi

exceptionnel que nous ho ho voyons petite ! En revanche pour ton ami,

tu as raison. se moque l’adversaire de Maëlo.

- Encore heureux que je ne sois pas né barbare, quelle horreur.

Personnellement j’étais un puissant clerc, aaaah nostalgie… Mais je

ne regrette rien, je suis devenu quelqu’un de bien évolué. sourit-il

sombrement.

- Et moi, j’étais un simple guérisseur, enfin sans moi personne n’aurait

pu retourner au combat. frime le cinquième.

- Et toi vieille chouette, c’est quoi ton histoire, tu voulais vivre avec eux

mais personne n’a voulu de toi alors tu leur fais des offrandes ? ha ha

ha ! lance Zia.

- Oh mais non, elle travaille pour nous ! Grâce à elle, nous pouvons

travailler sur des ingrédients d’exception! » reprend l’ancien mage.

Reprenant leur combat de plus belle.

Cette fois, la bataille est d’un tout autre niveau, car non seulement

ils sont plusieurs, mais chacun d’entre eux est beaucoup plus fort que

la servante. Natz se dit intérieurement qu’il a été négligeant, et qu’ils

n’auraient jamais dû entrer dans cette zone. Solveig n’arrive pas à

suivre les mouvements de son adversaire, et celui-ci montre

clairement à quel point il jubile de faire durer la chasse. Il s’amuse

même à lui prodiguer des conseils pendant la bataille, afin que ça

soit plus stimulant. Faire travailler la viande est pour lui toute une

passion incontrôlable. Une fois la bonne maturité atteinte, il prend

plaisir à la découper vive. Solveig est horrifiée par ses paroles, ce

qui ne fait qu’encourager le gourmet assassin dans cette voie. Anton

aussi a beaucoup de difficulté à se défendre face à son adversaire,

et n’arrive pas à riposter une seule fois. Le séraphin tient à le féliciter

pour ses faibles performances de cette classe et s’excuse faussement

de devoir stopper son évolution pour se servir de lui afin de satisfaire

ses caprices.

A ce moment-là, elle retire le haut de sa tunique qui laisse apparaitre

le haut de sa poitrine, faisant rougir Anton qui ne veut absolument pas

tomber dans son piège et détourner son regard :

« - Elle n’a vraiment aucune tenue cette horrible femme ! pense -t-il.

- Dépravée ! T’as vue l’écart d’âge ?! lance Zia.

- Vous avez l’esprit un peu trop tordu pour des enfants ! » dit-elle d’un

ton sec.

Le séraphin assure ne montrer que l’amulette légendaire qu’elle

porte, en mettant celle-ci un peu plus haut. Anton remarque en effet

l’amulette brillant de mille feux, pensant tout de même qu’elle n’a pas

besoin de retirer le haut de ses vêtements pour montrer une amulette.

Les adultes font vraiment des choses étranges quelques fois. Maëlo

sans surprise, ne fait pas le poids contre celui d’en face, mais arrive

néanmoins à esquiver les attaques, étonnant son ennemi.

Les amis se rassemblent pour ne pas les affronter chacun de leur

côté. Zia se prend des attaques mais revient toujours à la charge,

typique d’une barbare. Mais Anton pense qu’elle ne tiendra pas

très longtemps face à ce genre de personne. On peut déjà

apercevoir des blessures plus qu’apparente sur la petite barbare

féroce. Même elle, qui a l’habitude des combats intenses, a

beaucoup de difficultés à se battre contre eux, et s’essouffle de

plus en plus au fil du temps. Solveig est dégoûtée de sa propre

impuissance face à des êtres aussi puissants. Peu de temps après,

nos amis sont à court d’idées, et Zia est épuisée bien qu’elle reste

debout en gardant son esprit combattif intact.

Le séraphin commence à faire apparaitre un sort de type lave

vers eux, mais Natz prend sort de sa cachette et lance un caillou

vers celui-ci derrière la tête, avant de partir en courant. Celui-ci

arrête sa technique pour se retourner vers le fauteur de trouble

irrité par la petite combine de celui qui a l’air de trembler comme

une feuille à la moindre petite chose. Anton en profite pour lancer

un sortilège de diminution de défense, surprenant le séraphin, qui

se rend compte de sa négligence. A la demande d’Anton, Solveig

lance un sort tout droit sorti des ténèbres pour s’éclipser. Maëlo

réussi à utiliser un objet magique pour les téléporter de justesse.

Les fins gourmets se rendent comptent de la disparition soudaine de

leurs ingrédients de premiers choix, et fixent le point désormais vide.

Nos amis apparaissent dans un autre lieu :

« - Ouf, on l’a vraiment échappé belle cette fois… souffle Solveig.

- Mince, Natz n’est pas avec nous ! remarque Maëlo.

- Ce trouillard a dû s’enfuir avant nous de toute façon ! » dit Zia,

espérant au fond d’elle que ce soit le cas.

De son côté, Natz reste caché derrière un autre rocher :

« - Ben voyons, ils se sont carapatés. Tant pis pour les plats. dit

l’ancienne séraphin déçue.

- Bref, et si tu sortais de ta cachette maintenant que tes jouets sont

partis ? demande l’ex assassin.

- Ce ne sont pas des jouets Hassan, mais j’aimerais bien savoir ce

que vous faites dans cette partie de la région, il n’y a pas grand-chose

dans les parages. corrige Natz en sortant tranquillement de derrière

le rocher, mains dans les poches.

- Voyons, tu sais bien que la meilleure viande se trouve dans ce genre

d’endroit reculé. dit l’ancien guérisseur en souriant.

- Je ne vois pas de quoi tu parles mon cher Plasoveus. dit Natz.

- Je vois, tu les garde sous la main au cas où l’envie te reprenais c’est ça ?

bonne idée mais pourquoi nous avoir laisser faire, tu frissonne en

analysant leur qualité ? » Ironise à son tour l’ancien mage.

Natz reste debout face à eux mais ne répond pas :

« - Tu vas nous chasser d’ici ? reprend-il.

- Pff tu sais très bien que je n’en ai pas l’autorisation Apep !

répond sèchement Natz.

- Ouf, me voilà rassuré ! dit-il.

- En revanche, ne me cherchez pas trop, vous risquerez de le

regretter sinon. » menace Natz.

- Ouuuh ! Attention, tu vas nous faire peur. se moque Hassan.

Natz leur tourne directement le dos :

« - Il y a toujours une place de libre chez nous si tu changes d’avis.

reprend l’ancienne séraphin.

- Non merci, sans façon Empusa. Je m’abstiendrai de m’expliquer

sur le sujet. Et puis vous m’avez bien remplacé par cette vieille,

estimez-vous heureux qu’elle soit encore en vie pour vous

satisfaire. répond Natz.

- J’ai bien envie de les traquer tellement ils ont l’air appétissant.

dit Apep.

- Je n’ai rien le droit de vous faire dans certaines zones. Mais

prenez-vous en à eux devant moi hors de cette zone, et je ne

répondrai plus de rien. Mieux vaut pour vous que ce soit clair et

enregistré. » menace Natz.

A ce moment-là, une énergie maléfique émet de son corps

comme pour affirmer son désaccord avec leur débat, enveloppant

tout ce qui les entoure, dans un environnement sombre et sans

animation. Etrangement, ils ne le provoquent pas plus et l’observe

simplement. Sur ces paroles, il se téléporte pour rejoindre ses amis.

Du côté de la petite équipe, ils espèrent toujours apercevoir Natz

quelque part. Il arrive alors en courant vers eux en les appelant:

« - Oh hé ! je vous ai enfin trouvé ! crie-t-il au loin.

- Natz ! Tu as réussi à t’en sortir, on est vraiment soulagés ! » pleure

Maëlo.

Natz est surpris de voir qu’il pleure pour lui, alors qu’ils ne sont

même pas dans la même équipe, pensant que c’est vraiment un

garçon trop sensible. S’il ne change pas de comportement, il risque

de se faire marcher dessus par des gens profitant de sa faiblesse :

« - Mouais bof… bon on va pouvoir continuer notre route cette fois

j’espère… » dit Zia sans montrer son soulagement, mais ne pouvant

s’empêcher de lâcher un petit sourire en coin, tout de suite remarqué

par celui-ci.

Au vu de la situation, il ne veut tout de même pas gâcher cette

belle ambiance :

« - Oh oui, j’ai vraiment hâte de rentrer à la maison ! » sourit Natz

en pleurant.

Aucun d’eux ne s’est soigné en son absence, même pas Zia, qui est

censée ne pas l’apprécier. Natz suggère de se soigner parce qu’ils

n’ont pas l’air très en forme, surtout sa petite furie, dont il évite

d’embêter pour le moment. Anton acquiesce et avoue être fatigué.

Ils décident donc de camper sur place, sous les agacements de Zia

une fois de plus. Cependant, elle avoue en avoir besoin elle aussi,

même si cela la dérange. Elle fait part de son commentaire comme

quoi il y a toujours quelque chose pour les empêcher de rejoindre le

village des mages, comme s’ils ne doivent pas devenir super fort.

Pensant surtout à son ami, qui reste à ce jour, dans la catégorie des

débutants.

Elle précise qu’à l’avenir, il vaut mieux éviter de se disperser dans

des sauvetages insolites, surtout sans préparation :

« - C’est moi ou la petite furie donne une leçon de morale ha ha j’aurais

tout vu ! En même temps, elle n’a pas totalement tort, aucun d’eux

n’a le niveau pour ce genre d’épreuve. En revanche, il faut vraiment

avoir la poisse pour subir ces évènements à la chaine à leur niveau.

Je me demande ce que ça donnerait si elle n’était pas là pour combattre.

Je veux bien croire que c’est une barbare, mais elle a l’air différente de

ses semblables. Ils ont chacun un profil des plus intéressant. Mais une

chose est sûre, quel que soit leur caractère, ils ont au moins un point

commun. Ils sont tous sincères dans leur choix. pense Natz, en les

observant:

- Tu te sens bien ? demande Anton.

- Oui, oui, je vais bien, surtout maintenant ! » assure-t-il.

A ce moment-là, Natz remarque que le seul qui cloche dans le

groupe, c’est lui, car il a l’impression de leur mentir à longueur de

temps dans tout ce qu’il dit. De toute façon, ils ne sont pas vraiment

de la même équipe. Maëlo promet de ne plus s’emporter aussi

facilement, et qu’il travaillera son développement personnel dans la

bonne voie. Solveig avoue être dégoûtée de la situation dans laquelle

il se sont embarquer sans chercher à comprendre, elle qui s’était

promis de faire attention :

« - Ça doit être l’effet de groupe… suppose Anton.

- C’est vrai que ça peut provoquer des situations merdiques. Mais

bon… Tout le monde fait des erreurs, faudra bien que ça rentre dans

notre petite caboche ! » s’exprime-t-elle.

Ils se reposent ensuite pour mieux panser leurs blessures. Après une

bonne nuit de repos, ils reprennent une fois de plus leur route, afin

de se rendre au village natal de Natz. Anton se demande ce qu’ils vont

bien pouvoir découvrir sur place. Mystère…

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