19* CERVEAUX EN SURCHAUFFE.

12 minutes de lecture

Les voici donc dans la zone des énigmes,

et Zia compte les résoudre elle aussi, même si

elle prétend le contraire. Cette fois, il n'y a pas de

recherche pour y accéder. Un autel se trouve

juste en face d'eux, avec un point d’interrogation

gravé à sa surface :

« - Approchez dès que vous serez prêt jeunes

gens. prononce une voix douce en écho. Ils se

regardent, puis se dirigent vers l’autel.

- Nous sommes prêt. confirme Anton.

- Bien. Voici la première énigme. Qu’est-ce qui sert

à s’asseoir, dormir et se brosser les dents ? » énonce

la douce voix.

- euuuuh… on a droit à combien de chance ? demande

Zia.

- Vous avez un nombre et un temps illimité jusqu’à

la fin de l’évènement. Vous avez également de quoi

vous restaurer et vous reposer sur votre droite. Il y a

aussi quelques divertissements. Tous ceux qui en ont

profité ne sont pas déçus. assure-t-elle.

- Et est-ce qu’ils ont réussis cet évènement flash ?

demande Solveig.

- De rares personnes ont réussis. répond-elle.

- On pourrait donc en profiter un peu alors, non ?

demande Maëlo.

- On n’est pas là pour se divertir je te signale. dit Zia.

- Oui mais on a encore le temps, il reste plus que les

énigmes à passer. insiste-t-il.

- Et les serrures avec les bonnes combinaisons. continue

Zia.

- Ça ne met pas un mois. rétorque-t-il.

- Il faut aussi trouver la salle du trésor. insiste-t-elle.

- De toute façon, tu as dit que tu ne résoudras pas les

énigmes alors je ne vois pas où est le mal ? s’étonne

Maëlo.

- Fais ce que tu veux, mais ne viens pas te plaindre

parce que le temps sera trop court pour tout terminer.

se vexe-t-elle en fronçant les sourcils.

- Bah on peut bien faire une petite pause, sans en

abuser ! » S’immisce Natz pour calmer un peu le jeu.

D’autant plus qu’il n’a toujours pas récupérer de son

combat contre le troisième gardien :

« - Mouais, je ne suis pas chef de toute façon, chacun

fait comme il veut après tout. dit-elle en s’éloignant du

groupe.

- Et voilà, maintenant elle boude, je pense que tu l’as

vexé. dit Anton.

- Mais je ne vois pas pourquoi, je n’ai fait que dire

la vérité… se défend Maëlo en essayant de comprendre.

- Elle s’énerve souvent en même temps, reposons-nous

un peu, on n’est pas des pantins. dit Solveig, en se

dirigeant vers le lieu indiqué.

- Je suis un Pantin moi. dit Anton ironiquement.

- Ce n’est pas pareil, toi c’est ton statut. soupire-t-elle.

- Aller viens Zia, ne boudes pas, on va se reposer un peu !

appelle Maëlo.

- Est-ce que j’ai le choix… Murmure celle-ci.

- Oui, tout à fait, vous êtes tous libre de vos choix

mademoiselle. confirme la voix douce.

- J’ai l’impression que toi aussi. dit-elle avant de rejoindre

ses compagnons.

- Exactement jeune fille. » répond-elle, une fois que Zia

soit partie.

Ils arrivent dans le foyer, et s’aperçoivent que

l’espace est plus grand que prévu. Il y a tout ce

qu’il faut pour se restaurer et boire, faisant penser

à Zia que beaucoup ont dû en profiter plus d’une

fois, jusqu’à en oublier leur épreuve. Quelle tentation

pour une barbare de voir tout cela sous son nez. Une

grande cuisine est aussi à leur disposition, faisant

rêver Maëlo sur toutes sortes de recettes qu’il compte

utiliser dans son futur restaurant, mais pour le

moment, il préfère ne pas se laisser tenter par ce

divertissement très attirant. Il y a même un gymnase

qu’ils peuvent utiliser, assez costaud pour subir leurs

attaques respectives. Solveig ne s’étonne pas que

beaucoup n’aient pas réussis leur épreuve, ils ont

sûrement préféré se la couler douce dans ce luxe, en

espérant retomber sur cet évènement par la suite.

Elle n’hésite pas à faire part de ce sentiment,

et Natz répond qu’ils s’en mordent certainement

les doigts aujourd’hui, car ce genre d’évènement

ne court pas les rues :

Elle n’hésite pas à faire part de ce sentiment, et

Natz répond qu’ils s’en mordent certainement les

doigts aujourd’hui, car ce genre d’évènement ne

court pas les rues :

« - Si ces épreuves sont dirigées par mère nature,

et je suis sûr que c’est le cas, leur échec cuisant a

forcément déçue la pauvre petite planète sans

défense. » exprime-t-il d’un ton moqueur.

Il aperçoit alors une machine de massage sous

différentes catégories :

« - Idéal pour renforcer et détendre le corps de

personnes dans le besoin. Si tu veux essayer mon

petit Natz, fais-toi plaisir, tu ne le regretteras pas. »

annonce la petite voix.

Celui-ci rougit en affirmant qu’il n’a aucunement

besoin de ce genre d’ineptie, surtout si ça sort de

nulle part. Celle-ci alors ricane toujours de façon

douce :

« - Pff c’est ça rigoles bien petite nature… » pense

Natz, facilement agacé par celle-ci. Ils s’installent

donc après leur courte visite. Une fois reposés,

ils reviennent devant l’autel pour répondre à la

première énigme :

- Cette fois nous sommes prêt, désolés pour

l’attente. s’excuse Anton.

- Ce n’est rien, voulez-vous que je répète la

première énigme ? demande-t-elle.

- Non c’est bon. Anton l’a en tête, je l’ai entendu

murmurer dans son sommeil. » se moque Zia.

Anton rougit et préfère ne pas répondre:

« - Je dirais du bois ! On s’assois sur du bois, on dort

sur du bois… et … euh… se lance Maëlo.

- Et on se brosse les dents avec du bois ? coupe

Solveig, pas convaincue de la réponse.

- Faux. répond la voix douce.

- De l’eau ? propose Anton.

- Faux. répète-t-elle.

- Des racines. tente Solveig, mais toujours une

mauvaise réponse.

- À ce rythme-là on y est encore pour des mois !

s’exclame Zia.

- Ben tu n’as encore rien dis-toi non plus. rétorque

Maëlo.

- Ce n’est pas moi qui vais résoudre les énigmes, tu

te souviens ? ironise Zia.

- Oh mais ça va hein. » dit Maëlo assez doucement.

Ils tentent de répondre ce qu’ils pensent se

rapprocher de la bonne réponse. Bien des heures

plus tard, ils ne trouvent toujours pas la bonne

réponse :

« - La sève ? répond Natz.

- Faux! dit-elle d’un ton moqueur.

- Hé ! pourquoi tu te moque de ma réponse et pas

celle des autres ! Je te signale qu’on peut s’en servir

pour s’assoir, en se servant de la sève pour fabriquer

de quoi s’assoir ! Une fois mise sur le nez et la bouche,

on s’endort… définitivement certes mais bon. Et certains

se servent de la sève pour se brosser les dents.

explique Natz.

- Wow je n’y ai pas pensée ! s’exclame Solveig.

- Bien réfléchit, mais ce n’est pas ça ! répond-elle.

- Je l’imagine déjà me tirer la langue la peste. » pense-t-il.

Cinq jours passent sans que personne ne trouve la

réponse, et se rendent de temps en temps dans la zone

de confort. Zia ne s’y rend uniquement pour manger et

dormir. Le reste du temps, elle reste devant l’autel en

réfléchissant.

Un soir, Zia décide de rester devant l’autel pendant que

ses amis dorment :

« - Sérieusement, ça m’exaspère tout ça… jamais

entendue parler d’un évènement flash de la sorte pour

gagner un statut. Et puis c’est quoi toutes ces rencontres

bizarres depuis le début. Aucun membre de ma famille

n’est jamais tombé dessus, pourtant, ils en font des

voyages ! » s’agace Zia, se sachant seule.

Elle continue de gémir de la sorte pendant un bon

moment en s’allongeant sur le sol, se demandant ce

qu’elle a bien pu faire pour en arriver là :

« - Tu es bien pensive, quelque chose te tracasse?

demande la petite voix douce.

Zia rougit, ne s’attendant pas à ce qu’on lui réponde,

se relève pour s’assoir, hésite puis décide de converser.

« - Ça me plais pas de converser avec quelqu’un que je vois

pas mais bon, je vais faire une exception. répond-elle

nerveusement.

- Dis-moi tout. Je suis peut-être l’énonciatrice des

énigmes, mais je ne suis pas programmée uniquement

pour cela. répond-elle.

- Pourquoi nous ? demande Zia.

- Comment ça ? demande-elle.

- Il ne nous arrive que des choses bizarres, dans des

circonstances toutes aussi folles les unes que les autres,

je ne trouve pas cela normal. Tu as peut-être une

explication ? demande Zia.

- Pour une barbare tu réfléchis beaucoup, et ce n’est pas

une critique. Au contraire, tu ne laisses pas le regard

des autres t’atteindre. Je t’observe depuis tes débuts et

tu es quelqu’un de vraiment bien. Mais pour te répondre,

dis-toi que tout ce qui vous arrive, vous permets

d’évoluer. répond-elle simplement.

- C’est vrai qu’on voulait voyager, mais c’est vraiment

trop bizarre tous ces évènements et rencontres

improbables. » insiste-t-elle.

Après quelques secondes de silence, la petite

voix reprend :

« - Je n’ai pas entendu une seule réponse de ta

part depuis le début de l’énigme. Est-ce normal ?

demande-t-elle.

- Je balancerai mes bêtises selon mon humeur. dit

Zia.

- Comme tu voudras. dit-elle en riant.

- C’est bizarre, cette voix m’apaise, et je n’arrive

pas à m’énerver dessus. » pense Zia, se demandant

si elle aussi fait partie des gardiens de la planète.

Elle commence à parler de ses péripéties depuis le

début de son voyage avec son ami, puis de leur

rencontre avec les trois autres :

« - Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je suis en train de

parler à une petite voix qui est certainement une

gardienne de la Terre, et j’arrive même plus à m’arrêter. »

se dit intérieurement Zia, tout en se confiant à la petite

voix douce.

Au lieu de se moquer, celle-ci lui répond tout simplement

qu’elle est sur la bonne voie et qu’elle doit continuer

ses progrès car elle s’en sort très bien. Elle précise que

d’ailleurs, ses amis sont également sur la bonne voie

et qu’ensemble, ils forment une excellente équipe qui

n’attende plus qu’à voler de leurs propres ailes. Et

quand ce sera le cas, ils accompliront des merveilles

dans le monde. Zia ricane en prétextant que c’est un

peu gros cette histoire, néanmoins elle se sent mieux

en lui parlant, ce qui est plutôt étrange pour elle. Elle

lui précise également que s’ils arrivent à se faire

confiance mutuellement au sein de l’équipe, ils pourront

inventer de nouvelles combinaisons de techniques

encore jamais inventées jusqu’à présent. Ces paroles ne la

convainquent pas plus que ça, mais Zia apprécie tout de

même sa conversation avec une voix dont elle n’a toujours

pas vue ne serait-ce que la silhouette. A vrai dire, c’est

ce qui lui dérange le plus. Elle lui laisse néanmoins le

bénéfice du doute quant à la bienveillance de celle-ci.

Elle converse encore un moment avant de rejoindre ses

amis dans la zone de confort.

Le lendemain, ils continuent de sortir des réponses

fausses :

« - J’ai une réponse à donner si vous êtes à court

d’idée ! s’incruste Zia.

- Fais-toi plaisir ! Parce que là ce n’est pas gagné !

dit Solveig.

- Une chaise, un lit et une brosse à dent. dit-elle

calmement.

- Euh, c’est ça ta réponse ? demande Maëlo.

- Elle n’a jamais dit que c’était qu’un seul objet.

continue Zia.

- Bonne réponse ! » annonce la petite voix.

Ses amis n’en reviennent pas que ce soit Zia

qui puisse trouver la première énigme, mais sont

soulagés de pouvoir continuer vers la prochaine :

« - Excellent, bien joué la petite furie ! » lance Natz.

Zia sourit, contente du résultat, même si ce n’est que

la première énigme :

« - Voici votre première clé. » dit-elle. Celle-ci apparait

devant eux, de la couleur du sable.

- Yeah, cool ! s’exclame Zia.

- Êtes-vous prêts pour la deuxième énigme, ou

préférez-vous vous reposer d’abord ? demande-t-elle.

- Oh non, pose la deuxième énigme s’il te plait, j’en ai

marre d’attendre ! s’impatiente Zia.

- S’il te plait ? il y a du progrès ! s’amuse la voix

intérieurement.

- J’avoue, ça prend un peu trop de temps à mon goût

cette histoire d’énigme. confirme Solveig.

- Bien. Deuxième énigme. Avant-hier, monsieur poulpe

avait douze ans et l’année prochaine, il aura quinze ans.

Comment est-ce possible ? énonce-t-elle.

- Je ne sais pas encore comment il a fait, mais c’est bien

loin cette histoire ! ricane Natz, en pensant tout de suite

au gardien Kaï.

- Ha, c’est clair ! s’amuse Zia, sur la même longueur d’onde.

- C’est plus compliqué ça. dit Maëlo, ne pensant qu’à

l’énigme.

- Ce n’est pas pour moi là. affirme Zia, trouvant la deuxième

énigme, cette fois beaucoup trop complexe pour elle.

- Ce n’est pas la même personne ? essaie Solveig.

- Faux. répond-elle.

- Ses personnalités n’ont pas le même âge ? » dit Anton.

Mais aucune réussite :

« - Il a un jumeau ? dit Maëlo, sans succès.

- Il ne manquerait plus qu’il ait un frère jumeau. » dit Natz,

en pensant de quoi Kaï est capable de faire.

- Ne le prends pas personnellement mon petit

Natz ! » se moque Zia.

Ils cherchent encore et encore des réponses

qui pourrait s’avérer exactes mais sans résultats

positifs. Des jours passent, et toujours rien.

Toutes les réponses qu’ils donnent s’avèrent

souvent hors sujet ou tout simplement impossible.

Ils retournent de temps en temps dans leur zone

de confort, en se demandant si la réponse n’est pas

plus simple qu’elle n’y parait. Anton approuve la

possibilité d’une quelconque simplicité à résoudre

cette affaire. Il avoue que si c’est vraiment le cas,

ce n’est peut-être pas lui qui risque de trouver la

réponse à l’énigme actuelle. Solveig confirme que la

tête d’Anton est d’une complexité sans nom. Zia

lâche que l’énigme elle-même parait complexe, alors

la réponse ne doit pas être si simple.

Les jours se transforment en semaines et ils

commencent à s’impatienter sur la durée de cette

énigme, d’autant plus que ce n’est pas la dernière :

« - Ça fait quand même un mois qu’on bloque sur

cette énigme, il nous reste à peine trois semaines pour

tout finir ! s’agace Anton, en gardant tout de même son

calme.

- Ça y est, j’ai trouvé ! s’exclame Solveig.

- Vas-y, dis vite, je suis en train de prendre racine

à force ! lance Zia.

- Elle l’a écrit sur papier ! se dit Natz en regardant la

feuille dans la main de celle-ci.

- Hum ! Hier, on était le 31 décembre et il a eu

treize ans. Donc avant-hier, il avait douze ans.

Cette année, il va avoir quatorze ans et l’année

prochaine, quinze ans. termine Solveig.

- Bonne réponse ! annonce la petite voix.

- Wouah ! trop forte, bravo ! félicite Natz.

- Voici votre deuxième clé. Annonce la douce voix.

Celle-ci apparait en forme de livre au milieu :

« - La classe ! » admire Solveig, qui récupère aussitôt

la clé.

L’équipe félicite Solveig pour cette réponse, ô combien

difficile.

Avant même que la voix ne demande s’ils

veulent se reposer avant la troisième énigme, ils

demandent qu’elle enchaine celle-ci :

« - Bien. Troisième et dernière énigme. Je suis

lourde ou légère mais impalpable. Pourtant on me

met ou on me casse. Qui suis-je ? énonce-t-elle.

- L’énergie ? demande Anton.

- Bien essayé mais faux. dit-elle.

- Trop facile, c’est Zia ! se moque Natz, faisant rire la

galerie.

- Andouille. répond-elle immédiatement.

- C’est un peu vrai. sourit-il.

- Faux. » dit la petite voix.

Ils commencent à sortir ce qui leur passent par la

tête, mais Natz les arrête disant qu’il a vraiment

trouver la bonne réponse :

« - Plus sérieusement, c’est l’ambiance ! affirme Natz,

sûr de lui.

- Bonne réponse ! répond-elle.

- Ha ! s’exclame Natz, amusé par la situation.

- Voici votre troisième et dernière clé. » annonce la

douce voix.

Elle ressemble cette fois à quelque chose de rustre

et brutal.

« - Et voilà le travail ! » s’exclame Natz.

En regardant Zia, il a tout de suite pensé à l’ambiance

qu’elle inspire à chaque nouvelle situation :

« - Félicitations ! Vous avez réussi à résoudre les

trois énigmes, vous pouvez donc passer à la prochaine

et dernière zone de téléportation. Bonne chasse ! »

termine celle-ci.

Une lueur violette apparait près de l’autel. Maëlo

demande s’ils peuvent rester une dernière fois dans le

foyer avant de partir, et la petite voix affirme qu’ils

peuvent partir dès qu’ils le souhaitent. Pour une fois,

Zia accepte sans rouspéter le fait de ne pas continuer

tout de suite. Anton en profite pour émettre des

hypothèses par rapport à la combinaison des clés

avec leur serrure. Natz se demande si c’est vraiment

possible d’accéder à un statut de cette manière, mais

l’espère de tout cœur. Celui-ci reste un petit moment

devant la lueur violette en se disant que cela ressemble

étrangement à son énergie maléfique. L’envie de

demander à la petite voix des explications sur ce qu’il est

réellement est très forte, mais il ne pense pas mériter de

réponse à cause de ses actions passées. Il promet juste

de faire de son mieux pour rester autant que possible

à l’écart des mauvais chemins et s’excuse dans le vide de

ce qu’il a pu faire de mal.

Une petite boule lumineuse dorée se balade alors devant lui :

« - J’espère que ce n’est pas encore pour te moquer de moi... »

souffle-t-il d’un air nonchalant.

A cet instant, elle se pose sur ses cheveux dorés et disparait.

Natz ne sait pas pourquoi, mais il rougit en se touchant ses

cheveux. Il ferme alors les yeux et se dirige rapidement vers ses

camarades, ne voulant pas vraiment savoir ce qu’il s’est passé.

Il se repose alors avec ses équipiers, près à terminer leur

prochaine étape avec brio. Une fois opérationnels, ils sortent

du foyer et retourne devant la lueur violette. Ils se hâtent vers

celle-ci et se téléportent directement vers la prochaine zone.

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