31* PETIT ARRÊT A PURESHIELD.
Après quelques aventures bien mouvementées
mais tout de même enrichissantes, notre belle équipe
font une halte dans un village qui accueille toutes
sortes de personnes. Le but étant de cohabiter
chacun avec ses différences. Les yeux de Maëlo
brillent, car il a bien l’intention de développer son
niveau en cuisine. Solveig a pour but d’améliorer sa
classe enseignante, négligée jusqu’ici. Anton et Natz
ont déjà leurs classes secondaires d’un niveau élevées,
donc ils comptent bien profiter de leur séjour dans ce
village. Zia part de son côté, sans rien dire de ce qu’elle
veut entreprendre pendant ce temps. Son but étant de
s’occuper de sa classe nourrice, car en arrivant, elle a
remarqué beaucoup de bébés et d’enfants dans les
environs. Pendant que les trois amis s’occupent de
leur classe secondaire, Anton et Natz se baladent en
discutant, de ce qu’ils doivent faire pour s’amuser.
Petit problème, aucun des deux ne sait vraiment
comment s’amuser. Anton ne s’amusait qu’en présence
de Solveig, et Natz a le don de faire semblant de
s’amuser. Ils vont alors demander conseil à Solveig, qui
n’hésite pas à leur proposer quelques idées. Mais elle
leur suggère tout de même d’improviser, sinon ce ne
sera peut-être si amusant que ça. Ils partent alors sur
les suggestions de Solveig, et aviseront la suite comme
ils pourront. Maëlo, de son côté, rencontrent plusieurs
queux et veut en apprendre un maximum de tous ceux-là.
Ils lui assurent en rigolant que c’est impossible de tout
apprendre en même temps.
Il leur demande alors de lui apprendre ce qui est
possible, car son rêve est d’ouvrir son propre restaurant,
en régalant les papilles de recettes venant du monde
entier. Ceux-ci lui proposent de rester quelques temps avec
eux, dans leur stand ou restaurant. Un tavernier lui
propose même de cuisiner dans sa taverne, car eux aussi
font de la bonne nourriture. Il accepte toutes les propositions
sans hésiter, faisant rire la galerie. Ils aiment la motivation
de Maëlo, et ne demandent qu’à lui enseigner les valeurs
d’un queux authentique.
Il trouve dommage que Natz n’ait pas la même motivation
que lui, étant donné son titre de fin gourmet :
« - Il aurait pu développer son talent, mieux que ces mécréants
ne lui ont appris, il aurait pu s’amuser en cuisine. » compati
Maëlo, qui commence à se demander s’il ne peut pas le
motiver, dès qu’il aura assez d’expérience en la matière.
Pendant ce temps, les deux vacanciers finissent toutes les
idées de Solveig et se demandent quoi faire à présent.
Assis sur un banc, ils papotent de leur passé, et sans s’en
rendre compte, s’allègent l’esprit mutuellement.
Dans le même temps, Zia a réussi à trouver des
nourrices dans un bâtiment exprès pour apprendre à le
devenir, mais n’est pas au bout de ses surprises. Toutes
les nourrices restent à bonne distance pour ne pas être
trop proche d’elle. Elle leur demande alors de lui apprendre
à devenir nourrice, elle aussi. Elles ont l’air effrayé de la
voir, surtout de leur demander une telle chose :
« - Vous êtes bien une barbare ? ose demander l’une d’elle
de sa petite voix.
- Oui bien sûr, ça pose un problème ? demande Zia.
- Non, bien sûr que non... » répond tout de suite une autre,
aussi effrayée que les autres.
Zia se demande pourquoi elles sont dans cet état, alors
qu’elle n’a fait qu’entrer dans la pièce :
« - Vous savez, nous avons de très bons gardiens dans ce
bâtiment, vous ne nous faites pas peur ! clame une autre
d’une voix tremblante.
- Ok, mais je ne comprends pas du tout votre réaction, je
croyais que vous acceptiez tout le monde sans exception ?
s’irrite Zia.
- Svlad ! Svlad ! crient-elles, comme si elles se faisaient
attaquer.
- Hey ! essaie-t-elle d’interrompre.
- Non laissez-nous tranquille ! dit une autre en fermant
les yeux.
Zia ne sait plus du tout comment les calmer et est
exaspérée par la situation :
« - Me voici mesdames, que se passe-t-il ? » une grosse
voix, arrivant sur le côté.
C’est un homme baraqué, muni d’une arme légendaire.
Zia sent la combativité, la robustesse et le courage de cet
homme :
« - Il a l’air d’avoir vécu sur les champs de batailles celui-là,
j’en ai des frissons. Se dit-elle.
- C’est une barbare qui est encore venue nous humilier ! »
crie une nourrice.
L’homme se retourne alors vers elle d’un air sérieux et
désapprobateur :
« - Hm ! Tu as choisi le mauvais endroit, petite, ces gens
sont sous ma protection ! dit-il d’un ton ferme.
- Minute papillon, je n’ai encore rien fait, je viens à peine
d’arriver. se défend-elle.
- Pas encore, ça veut tout dire. dit-il.
- Ça ne veut rien dire, si vous n’acceptez pas tout le monde,
il va falloir changer vos affiches dehors. dit-elle de sa
franchise habituelle.
- Tu vas me faire croire qu’elles ont paniquer pour rien
peut-être ? demande-t-il d’une voix intimidante.
- Mais c’est qu’il est intimidant le gardien des nourrices
hé hé ! Je ne sais pas si c’est pour rien, mais dans mon cas
c’est un peu ça. Je n’ai même pas d’arme à la main. dit-elle
d’un ton moraliste.
- Que fais-tu là si ce n’est pas pour les
humilier ? demande-t-il, toujours sur le même ton.
- Tu ne vas quand même pas la croire, tous les barbares
sont pareils. presse l’une d’elle.
- Hm ? je ne sais pas quelle image vous avez des barbares,
mais tout le monde ne réagit pas de la même façon, et ça,
c’est valable pour tout le monde. Pour répondre à ta
question gardien, je suis venue pour… pour… » dit-elle,
d’un ton hésitant sur la fin.
Elle vient de se rendre compte qu’elle doit parler de sa
classe secondaire à un homme qu’elle considère comme
un grand combattant. Cela n’a rien de glorieux pour un
barbare et sa fierté prend le dessus :
« - Continues ? attend-il.
- Je… suis venue me renseigner sur le fonctionnement de
ce bâtiment… dit-elle nerveusement.
- Tiens ? elle a changé d’air d’un seul coup. se dit-il.
- Et moi je suis Duc d’un grand village ! balance une autre,
se cachant derrière le gardien.
- C’est possible Duchesse, mais cela ne me concerne
absolument pas ! répond-elle une nouvelle fois avec
franchise.
- C’est tout ce que tu veux ? pourquoi tu veux connaitre le
fonctionnement d’un tel endroit ? demande-t-il.
- Ça me regarde, et c’est pas interdit à ce que je sache, sinon
j’aurais pas pu entrer. assure-t-elle.
- Pourquoi ne pas lui laisser une chance mesdames ?
demande-t-il en rangeant son arme.
- Mais… c’est une barbare… jeune ou pas, ils sont tous
pareils… dit celle qui a une petite voix.
- Si elle s’attaque à nous, elle aura de toute façon le village
contre elle au vu des règles. » se résignent-elles enfin, mais
pas question de rester seules sans le gardien en compagnie
de Zia.
- Je dois bien avouer qu’il y a des barbares sans envergure,
mais il ne faut pas généraliser non plus. » marmonne-t-elle.
Après les explications sur le fonctionnement des
nourrices et de leurs bâtiments, elle ressort sans faire
d’histoire. Le gardien la regarde s’éloigner et se dit qu’il
n’a ressenti aucune mauvaise intention de sa part, tout
le long de la visite guidée. Solveig a de son côté, à trouver
des enseignants qui acceptent de l’aider à améliorer son
niveau, en participant à des cours d’alchimie en tant
qu’assistante de ceux-ci. Ils se rejoignent à la fin de la
journée et discutent de ce qui s’est passé pour chacun
d’entre eux. Ils ont tous l’air d’avoir eu ce qu’ils veulent
sauf Zia. Elle leur avoue ce qu’elle veut faire dans ce
village, mais ce n’est pas gagné :
« - Pourquoi tu ne lui as tout simplement pas répondu
ce que tu voulais ? demande Solveig.
- Sa fierté de barbare a dû prendre le dessus. » répond
Maëlo, sans critiquer son action.
Maëlo sait que son amie n’y peut rien, et qu’elle n’est
pas du genre à se confier à n’importe qui. Pour les
barbares, la fierté est ce qui permet d’avancer sans se
retourner, de trouver la force et le courage de combattre
n’importe quel ennemi, d’avoir une résistance à toute
épreuve. Un jour, elle lui a confiée qu’elle n’est pas tout
à fait d’accord avec cette vision des choses qui reste
ancrée en elle. Quelques fois, pendant ses voyages en
famille, il lui arrivait d’admirer des personnes accepter
leurs défaites sans émotions négatives, puis repartir de
plus belle. En devenant nourrice, elle espère pouvoir en
faire de même :
« - Mouais on va dire ça, enfin bref peu importe.
presse-t-elle.
- La prochaine fois, peut-être. » sourit Anton.
Par la suite, Zia retourne dans le bâtiment des nourrices
et espère qu’elles changent d’avis. A sa grande surprise,
elle voit également des hommes :
« - Tiens, il y a des hommes dans ce bâtiment ?
s’exclame-t-elle.
- Tu me vexe là ! dit l’homme baraqué, qui vient tout juste
d’arriver, ce qui rassure les nourrices.
- Mouais bon, tu n’es pas une nourrice toi, donc ce n’est
pas la même chose. réplique-t-elle.
- Tu viens à nouveau pour une visite guidée ? demande-t-il.
- C’est ça, j’aimerais la version des hommes maintenant. »
poursuit-elle.
Elle refait donc une deuxième visite guidée, cette fois par
un homme qui est lui aussi nourrice. Pendant ce temps,
Maëlo commence son apprentissage avec un des queux. Il a
choisi d’aider dans un stand qui est spécialisé dans les
pâtisseries. Celui-ci a l’air plutôt content de son apprenti
temporaire. Solveig enseigne la chimie pour la première fois
dans une école, surveillée par l’enseignant lui-même. Anton
et Natz parcourent encore les rues du village, voulant voir
les moindres recoins.
Les jours passent et ils continuent leur train-train de vie :
« - Ça fait trois jours qu’elle vient faire des visites guidées… je
n’ai jamais vu un barbare sans arrière-pensées faire ça, surtout
qu’en général ils s’en lassent vite de ce genre d’endroit. »
pense le gardien, absolument plus surpris de voir Zia venir
chez eux.
Les nourrices sont beaucoup moins effrayées que les
premiers jours, et se demandent ce qu’elle veut réellement :
« - Et si tu disais ce que tu veux vraiment, j’en ai connu des
barbares et aucun d’entre eux ne serait resté plus de trois
jours d’affilés à visiter ce lieu. Or, cela fait trois jours que tu
viens ici. demande-t-il, curieux de connaitre la raison de sa
venue.
- Pourquoi tu es toujours là toi aussi… rouspète-t-elle.
- Je suis leur gardien, et les nourrices ne sont vraiment pas à
l’aise avec toi. » répond-il.
Elle essaie tant bien que mal de répondre ce qu’elle veut
réellement, mais sa fierté l’en empêche :
« - C’est vraiment un fléau cette fierté, je n’arrive même pas à
le dire ouvertement, pourtant ce n’est pas compliqué. » se
dit-elle.
Elle se force tellement qu’elle en devient toute rouge. Au bout
d’un moment, le gardien comprend ce qu’elle veut des
nourrices et sourit sans rien dire :
« - Oh et puis zut, ça ne regarde que moi ! finit-elle par sortir.
- Tu as bien vue qu’il n’y a pas de trésor ici… dit nerveusement
l’une d’entre elles.
- Je ne veux qu’un seul trésor ici. lâche-t-elle.
- Quoi donc ? s’étonnent-elles.
- Euh… ce n’est pas important ! Bon, je reviens demain, aurevoir ! »
dit-elle avant de s’éloigner.
Les nourrices répondent évidemment à la politesse, même
si elles ne sont toujours pas confiantes. Le lendemain, les
nourrices l’attendent déjà :
« - Quel accueil hé hé, vous progressez ! s’amuse-t-elle.
- Bonjour, veux-tu t’inscrire aux cours des nourrices ? homme
ou femme, les leçons seront les mêmes, il faudra simplement
être assidus et rester motivé ! » demande une nourrice, qui
choque sur place Zia.
Elle ne sait pas quoi répondre et bégaye quelques mots sans
dire qu’elle accepte. Elle remarque alors que le gardien n’est
pas là et demande aux nourrices ce qui lui ont fait changer
d’avis sur elle. Elles lui répondent alors que le gardien a
remarqué sa volonté de vouloir apprendre d’elles. Zia rougit
instantanément et répond par un petit oui timide.
Cela les étonne au plus haut point, car c’est la première
barbare qui réagit de la sorte, et regrettent déjà d’avoir mal
réagit depuis le début :
« - Nous sommes vraiment désolées ! Tous les barbares
rencontrés jusqu’à présent étaient vraiment très mauvais
avec nous. Tous les villageois de Pureshield le confirmeront
sûrement. » s’excusent-elles.
Zia est tellement contente et choquée, qu’elle n’a pas l’idée
de lancer une de ses vannes habituelles. En rentrant, elle
annonce la nouvelle à ses amis, qui sont heureux pour elle.
Evidemment, Natz lui lance des vannes, et elle n’hésite pas
à les lui renvoyer :
« - Et ça l’amuse en plus, on dirait un maso… » chuchote
Maëlo en regardant Natz.
« - Qu’est-ce qu’il y a ? » demande celui-ci.
« - Hein ? euh non rien, ne t’inquiète pas, ha ha ! » sourit-il
nerveusement.
Chacun a désormais trouver de quoi s’occuper dans ce
village, en espérant augmenter au maximum leur niveau
respectif. Solveig demande d’un seul coup, combien est-ce
qu’ils ont d’argent sur eux pour le moment. Anton précise
directement ne pas avoir grand-chose. Elle décide de
commencer la chaine :
« - En plaque, j’ai quatre or, une en argent et trois en bronze.
Pour les pièces, vingt-sept or, quatre-vingt-huit en argent et
quarante-trois bronzes. Voilà ! dit-elle en souriant.
- Tu es riche dis donc. dit Maëlo.
- Qu’est-ce que tu as fait du reste, je croyais que tu venais d’une
famille riche, et on a eu pas mal de butin entre temps. Je veux
bien croire qu’en quatre ans ça part, mais tu as bien fait des
quêtes non ? demande Zia.
- Haha, j’avoue avoir utiliser une très grande partie pour la
bonne nourriture, et pas question de manquer de confort
tant que je peux en avoir ! Et toi Zia ? répond Solveig en
terminant par une question.
- En plaque j’ai cinq diamants, huit or, six argents et neuf
bronze. Et pour les pièces, soixante-quinze or, quinze
argents. répond-elle.
- Wow tu es plus riche que moi ! s’étonne Solveig.
- Pas étonnant, elle participe aux donjons depuis longtemps
avec sa famille, et on a continué à avoir pas mal de butin
aussi. explique Maëlo.
- Le confort m’importe peu, mais j’utilise également mon
argent dans la nourriture, il y a aussi l’alcool héhé, très
important. avoue la barbare.
- Et elle n’achète pas des objets de luxes pour son petit
confort ! se moque Anton.
Solveig lui tire simplement la langue, comme à son
habitude :
« - Et tu n’as pas de pièces de bronze ? demande Natz.
- Je les donne à ceux qui en ont besoin, j’ai suffisamment
d’argent pour devoir compter mes pièces de bronze.
répond-elle.
- Que c’est gentil, c’est vraiment mignon tout plein ! » taquine
Natz en lui tenant les joues.
Elle lui dit alors de retirer ses mains, ce qu’il fait sans
demander son reste :
« - Si ça intéresse j’ai une plaque de bronze, trente-sept
pièces d’or, cinquante-trois en argent et quinze en bronze.
coupe Maëlo, voulant suivre la chaine de comparaison.
- Et toi Anton ? demande Maëlo.
- Deux pièces d’or, vingt pièces d’argent et douze pièces de
bronze. dit-il en rougissant, possédant un bien maigre butin
par rapport à ses amis.
- Mais avec tout ce qu’on a eu ? Pourtant tu ne manges
pas comme nous, et je n’ai pas l’impression que tu
dépenses beaucoup… s’étonne Zia.
- Tu as oublié que c’est un ancien esclave ? Il a certainement
envoyé la plus grande partie pour diminuer la dette familiale
pour les alléger. » rappelle Natz.
Zia s’excuse disant ne pas s’en être rappeler. Anton
la déculpabilise en disant que de toute façon cela ne
change pas grand-chose. Elle insiste tout de même sur
le fait qu’elle ne veut en aucun le vexer, surtout pour un
sujet aussi fragile. Il assure que ce n’est rien et demande
à Natz combien il a d’argent en stock. Celui-ci se vantes
alors qu’il a de quoi en faire rager plus d’un avec tout ce
qu’il a. Zia lui dit alors d’accoucher et d’arrêter de
tourner autour du pot :
« - Pas patiente toi, décidemment. En plaques, j’ai deux
cents en diamants, cinquante-six en or, vingt-cinq en
argent et sept en bronze. Et en pièces, quinze mille en or,
cinq mille sept cents en argent et deux cent mille en
bronze. » dit-il en les regardant de son sourire moqueur.
Ils restent tous bouche bée, choqués de sa richesse. Il
est beaucoup plus riche que tous ses amis réunis :
« - Qu’est-ce que quelqu’un d’aussi riche fait avec des
gens comme nous… lâche Maëlo.
- Haha ne dis pas ça s’il te plait, là tu me fais peur ! dit
Natz nerveusement.
- Hum hum ! Ne le prends pas mal, c’est juste que tu l’as
scotché sur place héhé, nous tous d’ailleurs. explique Zia.
- J’avoue avoir accumuler tout ça pendant mes sombres
années donc ce n’est pas vraiment un mérite. s’explique-t-il.
- Arrête, si c’est dans ton inventaire ce n’est pas pour rien
non plus. dit Zia.
- Mon ami préféré ! » s’amuse alors Solveig, lui prenant le
bras droit.
Anton joue le jeu en lui disant que c’est censé être lui son
préféré. Maëlo enchaine donc la bêtise que maintenant
ce sera son ami préféré à lui, lui prenant le bras gauche :
« - Ça fait quoi si je lui attrape les jambes ? demande Zia
en plaisantant.
- Ça fait slash ! haha ! taquine Anton.
- Euh oui ben non, à éviter à tout prix hein, je ne tiens pas
à être écartelé. » souffle-t-il.
Après une bonne rigolade, ils se reposent enfin. Le temps
passe, et nos amis s’habituent à leur programme bien
rempli.
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