La créature de la forêt

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C'était un soir d'automne. Je me promenais dans la forêt qui ne se trouvait pas très loin de chez moi. Ce bois, je le connaissait bien, car depuis que j'étais enfant j'y venais très régulièrement. J'adorais l'odeur de l'humus qui si dégageait, la couleur des feuilles, et le clapotis du ruisseau qui y coulait. Tout dans cette forêt m'inspirais le calme et le bienêtre. Je marchais donc le long du chemin que je parcourais depuis des années, quand soudain j'aperçut une créature qui devait faire la taille de mon bras. Cette animal ou cette chose n'inspirait pas la crainte mais n'ayant jamais vu cette "animal" de ma vie, je fis un pas en arrière et me mis sur mes gardes. La bête me regardait et suivait chacun de mes mouvements. Sa tête ressemblait à celle d'un loup, son corps à celui d'un léopard et sa queue à celle d'un écureuil. Elle avait de grands yeux un peut jaune, un pelage plutôt sombre. On pouvait apercevoir à ses pattes de petites griffes. La créature été vraiment trop mignonne. Elle ouvrit la bouche et je pus apercevoir une multitude de dents pointue. Je reculai et me pris les pied dans une racine. Je tombai par terre, la créature eu peur est alla se percher dans un arbre. M'en voulant de lui avoir fait peur, je me relevai et avança lentement vers elle. Je tendis la main, elle la sentit, ses yeux s'écarquillèrent. L'animal émit un hurlement que je ne serais décrire et des centaines de créatures semblable à cette chose, apparurent de partout autour de moi. Je me fis la réflexion que bizarrement ses bestioles ne me paraissaient plus mignonne du tout, elles me faisaient même peur. Les créatures se rapprochèrent de moi, elles paraissaient menaçantes. J'attrapa alors un bout de bois qui se trouvait à mes pieds et le brandit. Les bêtes ne reculèrent pas, elles retroussèrent même leur babine est fêlairent comme des chats. Je sentais que si je ne faisais rien se serrait fini pour moi. Je pris alors mon courage à deux mains et courut vers ma maison tout en mettant des coups de bâton par ci par là pour dégager les bestioles qui me barrait le chemin. Celle si c'était mis à me poursuivre. Je regagna ma maison hors d’haleine, referma la porte à clef et m’effondra par terre. J'entendais les bêtes gratter à ma porte. Puis, plus rien. Je restais là sans bouger pendant plusieurs minutes, peut-être même plusieurs heures. Enfin j'eu le courage de me lever et je regardai à travers l'œillet de ma porte. Rien. Les bêtes avaient disparu. Je ne sais pas trop ce qui c'est passer ce jours-là mais ce que je sais c'est que je ne suis plus jamais retournée dans cette forêt et que je n'ai plus jamais revue ces créature.

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