Il était une fois dans un petit village isolé oh non évocateur <le fournil humain > situé au cœur de la campagne française dans la région des hauts de France, un homme qui se faisait appeler la bonne chère d'Alexis était un cuisinier renommé dans la région, connu pour ses compétences culinaires exceptionnelles. Mais derrière son apparence charmante et son sourire chaleureux se cachait un côté sombre et machiavélique.

Un jour, Alexis tomba gravement malade et fut alité pendant des mois. Alors que les habitants du village venaient lui rendre visite et lui souhaiter un prompt rétablissement, personne ne se doutait de ce qui se passait réellement dans la maison du cuisinier.

Pendant ses longues journées passées au lit, Alexis commença à élaborer un plan diabolique. Il était obsédé par l'idée de créer le plat ultime, celui qui rendrait les gens dépendants de sa cuisine pour l'éternité. Il commença à expérimenter avec des ingrédients étranges et inconnus, allant jusqu'à voler des herbes rares et des épices exotiques pour ses expériences culinaires.

Les rumeurs commencèrent à circuler dans le village. Certains disaient avoir vu la bonne chairs errer la nuit dans le bois Magneux, à la recherche d'ingrédients mystérieux. D'autres racontaient avoir entendu des cris étranges venant de sa maison la nuit.

Pourtant, malgré ces avertissements, les habitants du village continuaient à fréquenter les cuisines de la bonne chairs, attirés par l'odeur envoûtante de ses plats exquis. Mais bientôt, les clients commencèrent à disparaître mystérieusement après avoir dîné chez le cuisinier malade.

La terreur s'empara du village lorsque les corps des disparus furent retrouvés le long des voix des chemins de fer, horriblement mutilés et vidés de leur sang. Les autorités furent alertées et une enquête fut ouverte, mais Alexis était rusé et savait comment manipuler les gens pour qu'ils croient en son innocence.

Pendant ce temps, la bonne chairs continuait ses expériences macabres, déterminé à percer le secret de l'immortalité à travers sa cuisine. Il avait découvert un ingrédient rare et puissant, une plante connue sous le nom de Lys de Sang, qui avait le pouvoir de prolonger la vie de ceux qui en consommaient, mais à un terrible prix.

Les villageois, de plus en plus terrorisés par les événements qui se déroulaient, décidèrent d'agir. Ils formèrent une milice avec les anciens des villages pour affronter le cuisinier malade et mettre un terme à ses expériences meurtrières une fois pour toutes.

Une nuit sombre et orageuse, la milice des anciens attaqua la maison de la bonne chairs, déterminée à le capturer vivant pour qu'il puisse répondre de ses crimes. Mais ce qu'ils découvrirent à l'intérieur de la demeure du cuisinier les glaça jusqu'aux os.

Les murs étaient tapissés de peaux humaines, les ustensiles de cuisine étaient tachés de sang frais et des membres humains étaient conservés dans des bocaux remplis de liquide étrange. Au centre de la pièce, la bonne chairs se tenait, riant de manière maniaque alors qu'il présentait fièrement son plat ultime, un ragout fait à partir des corps des villageois disparus.

La milice des anciens fut prise de nausées et d'horreur en réalisant l'étendue des atrocités commises par le cuisinier machiavélique. Dans un dernier acte de désespoir, la bonne chairs ingéra une portion de son plat maudit, pensant qu'il pourrait échapper à la justice en devenant immortel.

Mais le prix à payer pour cette immortalité était trop élevé. Alexis se mit à hurler de douleur alors que son corps commença à se transformer, sa peau se déchirant pour laisser apparaître des tentacules noirs et visqueux. Les villageois regardaient, pétrifiés, alors que le cuisinier malade se transformait en une créature monstrueuse, assoiffée de chair humaine.

La bataille qui s'ensuivit fut violente et sanglante, avec la milice des anciens luttant désespérément pour vaincre la créature née des expériences de cuisine démoniaques de la bonne chairs. Finalement, après une lutte acharnée, la créature fut vaincue, mais le village avait payé un prix terrible pour sa liberté.

Le cuisinier machiavélique avait été vaincu, mais son héritage de terreur et de mort hantait toujours les ruelles sombres du petit village français. Les habitants se demandaient si un jour ils pourraient oublier les horreurs commises par celui qu'ils avaient autrefois idolâtré comme le plus grand cuisinier de tous les temps.