Le roi avait son fou. La reine avait sa folle

Moins d'une minute de lecture

« Bon sire, par sainte Nitouche et saint Pansard, patrons de la folie, je demande à mourir de vieillesse »


Le roi, forcé de rire face à la vivacité d'esprit de son bouffon, commua la peine de mort en bannissement.


« Le bouffon l'Angely avait bien raison de dire qu'il vivait par curiosité. La vie est certainement amusante, et, bien qu'on doive s'attendre à tout, nous apporte toujours quelque chose d'inattendu »


Pensées et opinions de Henry Maret car dans la vie, il faut toujours se marrer

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Louise 17 ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0