Chapitre 2 - l'hirondelle
Elidwenn la comparait toujours à un de ces volatiles majestueux et libre. Son regards sondait n'importe qui jusqu'à son absolu, guérissant la plus noire des âmes, faisant fuir les peurs les plus lointaines.
Elle savait, de son premier regards enfantin, jusqu'à sa transformation de mouflette, que Elidwenn enfouissait ses secrets. Il est pourtant plus facile quand les sangs se répondent d'aspirer la peine et effacer le rejet. Elles n'avaient aucune affiliation autre que ce lien familiale qui les ratachaient. Par obligation dirait certains, cependant aucune abîme ne c'était formé au fil des années croissantes.
Elidwenn savait que la montre du temps reprenait toujours ces secondes de bonheur pour n'en laisser que des brides. Réclamment son du, aspirant la moindre création qu'elle avait permis d'éclore pour n'en laisser que la brume. Aspirant le survivant à la haine, l'incompréhenssion, le regret, la solitude et le déchirement.
Ele n'avait pas vu son teint s'assombrir, ses pupilles jaunire , son corps devenir cette statue de cire. L'ombre s'était fofiler tel une couleuvre à travers chacune de ses bonnes actions. Délivransse pour certains, elle avait aspirée ce venin, le laissant affecter chaque globule de son corps, lui permettant de contruire ces petites maisons grossissante.
Un matin une colombe c'était posé sur le rebord de la fenêtre, alors elle avait compris. Elle se laissa submergé par sa colère envers le petit messagé. Même si maintenant elle la savais libre, affranchi de ces douleurs, exempt de ce combat.
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