journal personnel
Un acteur s'avança sur la scène après que le rideau soit clôt. Les rideaux rouges camouflés l'arrière de la scène. Il regarda la foule d'un oeil inquisiteur au travers de son masque. Le Public commença à comprendre que quelque chose clochait. L'homme s'approcha du bord de l'Estrade et déclara d'une voix forte:
- Ici est réuni une partie de la noblesse de cette belle ville qu'est Landfall et de nombreux partisans de notre chère empire. Je tiens à vous dire que la représentation n'est pas terminé. Vous êtes désormais dans le Théâtre de la vie.
des voix commençèrent à s'élever dans la foule, certains personnes se massaient vers la porte principale qui ne s'ouvrait pas. le comédien s'éclaircit la gorge et les regarda:
-retournez à vos places ! et veuillez faire du silence durant la représentation.
un coup de feu retentit et les spectateurs regagnèrent leurs places complètement paniqué. des cris aigus et ridicule pouvaient être entendu de gauche à droite. Le comédien commença par se mettre sur ses genoux:
-Ma mère était une femme exceptionnelle. Chaque enfant pense cela de sa mère..
un spectateur s'approcha de la scène en menaçant le comédien mais avant qu'il s'approche, un nouveau coup de feu retentit et l'homme vit le trou qu'avait formée la balle juste à côté de son pied. Des hommes étaient postés au deuxième balcon du théâtre. L'homme regagna sa place avec sa fierté coulant sur son pantalon dans une odeur caractéristique d'urine.
-...elle était comme nombre de femmes ici, elle prenait toujours soin de ses enfants et sa famille. Elle était la bonté même. Nous étions une famille nombreuse...
différentes ombres d'enfants apparaissaient derrière le rideau.
-nous étions unis et nous devions travailler d'arrache-pied. Mes soeurs Lilas, Aurore et Lou n'ont plus donné signe de vie après leur mariage. qui pourrait leur en vouloir d'avoir cédé à une vie plus facile ? elles avaient envie d'aventure et de luxe comme chaque petite fille qui a connu les champs et le pain rassis de 2 semaines. Ma mère après chaque départ se contentait de sourire et de donner suffisament de ses économies personnelles pour que les filles puissent voyager jusqu'à leurs destinations et trouver leurs princes. Nous étions trois garçons : Alexander, William et moi, Maxime. Willis était un excellent cavalier, il rêvait d'entrer dans la garde montée de l'empereur, il passait des heures entières avec son cheval. Il est mort lors d'un accident de cheval où sa tête fut piétiner violemment. On nous l'a ramené assez tard et les vers avaient commencé leur ouvrages. Ma mère devant ce corps si familier et si étranger pleura pendant trois jours devant le crâne ouvert de son fils. On l'enterra. Mon père, mon Frère et moi devinrent les seules sources de revenus de ma famille.
Certaines femmes cachaient leur bouche déformées par un rictus d'effroi, les hommes se crispaient. Maxime en était persuadé maintenant, cette présentation sera un de ces derniers tours de pistes. il avait toujours apprécié les spectacles. il était ravi de voir ces humains si étrangers, si propre, si gras aussi effrayé. ils n'étaient qu"une bande de porc qui se goinfre sur les paysans du coin.
-mon père nous quitta peu après. Il avait attrapé une maladie en travaillant d'arrache-pied. il avait donné sa vie à sa famille. Ma mère trembla devant le corps amaigri et maladif de son mari. La maladie détruit l'être. d'un seul coup, un corps familier devient étranger. Il n'a passé qu'une nuit à tousser et à essayer de chercher de l'air.
Maxime imiter évidemment les actions qu'il décrivait. l'essentiel était le discours ici mais le jeu pouvait être amusant. il ;imita quelqu'un s'étouffant.
-Ma mère profondément affecté par la perte de son mari et de son fils n'avait plus la force de travailler. Mon frère et moi étions les seuls revenus de la ferme. Alexander décida de se trouver un parti afin de nous aider. D'un seul coup, la vie revenait dans la ferme, de nouveaux enfants née de l'union de mon frère avec sa femme. Esmeralda était une femme avec de magnifique cheveux blonds Elle était...incroyable. Ma mère retrouva des couleurs et se remit à nous cuire sa fameuse Tourte aux champignons. Cette femme de mon frère était divine, un véritable rayon dans mon existence. J'avais peur de ce que je ressentais pour elle. Je me sentais de moins en moins à ma place et ma famille allant mieux. je me mis à douter et avec le soutien de ma belle soeur. je me tournais de nouveau vers le théâtre. Elle était parfaite mais complètement inaccessible, j'avais toujours été très proche de mon frère. je décidais donc de parti vers notre chère capitale par peur de mes propres sentiments. Les enfants de mon frères me firent des adieux plus que touchants. Ma mère me souhaita bonne chance, elle était convaincu que j'allais y'arriver. Mon frère et sa femme me saluèrent.
Il fit la moue du dégoût et regarda la foule en éclatant de rire:
-A vous voir, on dirait que vous êtes pris en otage. m'enfin, Je me suis promis de revenir prendre soin de cette famille si malheur il devait y'avoir. J'ai fini par être accepté au sein des Lames célestes, j'ai pu donc rejoindre une troupe de théâtre en même temps. J'avais une correspondance assez agrébale avec ma belle soeur et ma famille. Je donnais tout ce que je pouvais pour notre empire comme ma famille me l'avait appris. J'ai effectué chaque mission sans jamais remettre en question notre empereur. Tout se passait pour le mieux jusqu'au jour où je trouvais une lettre non-cacheté sur mon bureau, je savais qu'il valait mieux se mêler de ses affaires dans cette ville. Cependant la curiosité l'emporta: c'était un contrat d'assassinat. Un de mes camarades me regarda et je compris que je n'aurais pas dut voir cela. Il tenta de m'attaquer mais je réussi à m'enfuir. je rassemblai mes affaires en toute hâte et quitta la ville. Il fallait que je retourne au village, que je vois le visage de ma belle-soeur. j'avais tout gâché mais il fallait les faire partir. Le visage d'Esmeralda ne quitta pas mes pensées durant ce long voyage. Finalement, après plusieurs jours de voyage, j'arrivais à destination. je sentis une odeur de bois brûlé et je me mis à courir aussi vite que je pouvais. La Ferme était en cendre, une missive était accroché à la porte et maitenue par un couteau: "cette maison a acceuilli la famille d'un traitre, merci de laisser les corps pourir au soleil. Ceux qui seront pris en train de les enterrer seront passible d'une ..." je ne finis pas cette foutu missive et la déchira. J'entrais dans la salle principale et je sentis l'odeur caractéristique du cadavre en décomposition. J'avançais et je découvris que la porte de la cave était fermé à clé. Je la défonçais en hurlant "mère ! Alexander !". Je découvris les cadavres de ma mère et de mes nièces et neveux. tous morts. Je découvris une lettre qu'un ami m'avait adressé sur le cadavre de ma mère bien en évidence. "tu n'aurais pas dut la lire, nous n'avons fait que notre devoir. Par respect pour toi et l'amitié qui nous liait, j'ai décidé de tuer ta mère et tes nièces et neveux. Elle était exactement comme tu l'avais décrit: forte et courageuse, elle a emporté l'oeil d'un de nos hommes dans la tombe. Ton frère et sa fiancé sont condamnés à mort, ils seront brûlés sur place publique d'ici une semaine. Reste là où tu es et fais toi oublier. ne rend pas les choses plus compliqués".
Les spectateurs semblaient intéressé par l'histoire, comme hypnotisé par la performance de cette acteur qui pourtant menace leur vie.
-Je m'y suis rendu, grimée en vieille femme avec les habits de ma mère. La place était noire de mon monde, les exécutions publiques sont devenu un divertissement familail avec le temps. Je me suis mêlé à la foule, le Bourreau prononça la sentence alors que mon frère et sa femme était accroché au bûcher, mon frère avait un visage détruit par les écorchures et constellé d'hématomes, il avait la lèvre fendu, sa femme pouvait à peine ouvrir les yeux et il lui manquait une partie de la dentition supérieur . Il alluma les flammes alors que je me jetais vers lui, des gardes se mirent autour de moi et m'empêchèrent de passer. j'entendais leur cris de douleurs. il résonne encore en moi certaines nuits. quand les cris cessèrent, les gardes commençèrent à me rouer de coups, une botte s'écrasa contre ma tempe et je vis des points noirs dansait dans ma vision. je pensais que c'était la fin.
Soudain, J'entendis des coups de feu, des cris, le bruit des armes dégainaient. Un homme me retourna sur le dos et me dit "hey mon gars ! tu ne crains rien, Hell's Hunt est là"
L'empire a trucidé ma famille, brûlé ma maison et voler ma vie. Vous qui êtes ici devez vous doutez de qui je suis. Appelez moi Légion et ceci était ma dernière presta...
Un homme s'époumona dans la foule:
-Mensonge ! l'empire serait incapable de cela ! il oeuvre pour notre bien ! vous n'êtes qu'un menteur et un traitre !
La foule suivit le mouvement. des années de propagandes et l'effet de foule faisait que la foule semblait rugir. l'acteur laissa s'échapper de sa main des cendres. la foule se tut.
-Vous êtes là pour envoyer un message à l'empire ! ce qu'il a fait! ce qu'il m'a pris...
Une femme se leva de son siège:
- Cette représentation était minable comme votre existence ! l'empire aurait du vous écraser ! Personne ne noius croira si nous disons ce que vous nous avez dit ce soir ! vous tomberez dans l'oubli ...
L'acteur salua et éclata de rire
-Vous m'avez mal compris ! vous n'allez rien dire du tout. Maxime était faible, incapable de protèger les siens, il tombera dans l'oubli mais Légion en revanche... lui le monde s'en souviendra. Ceci était mon dernier rappel. A vous qui n'ose point se révolter par peur de perdre leurs biens. Je vous offre le destin. Vous brûlerez ici avec Maxime, il n'y aura plus que Légion quand je serai dehors
Le théâtre s'était muré dans le silence, se demanda si l'acteur était devenu fou. un homme essouflé couru dans la salle et s'écria:
-Au feu ! la salle est en train de brûlée !!
Le public s'affola et les spectateurs se mirent à essayer de défoncer la porte principale. Maxime semblait saluer paisiblement, comme le ferait un acteur lambda après une représentation de Tragédie.
- Des acclamations aux cris de douleurs, il n'y a qu'un pas. Bienvenue dans le Théâtre de votre vie !
Quand le public se retourna, il ne restait plus que le masque sur le sol.
Rapport des gardes impériaux: le théâtre a brûlé dans son entiéreté mon général. Nous n'avons pu sauver personne, certains cadavres ont été entièrement brûlé. par conséquent, Nous n'avons pu établir avec certitude l'identité de tout ceux qui était présent. Nous avons retrouvé un masque qui n'avait pas brûlé, Il portait l'insigne de la garde Royale. Nous ne pouvons fournir plus d'informations sur ce rappport, nous allons mener une enquête approfondis. Certains étaient des membres hauts-placés de notre belle-ville. les habitants sont sous le chox et estime que nous n'avons rien fait pour sauver les citoyens. Conformément à votre requête, nous allons établir que les responsables sont les hell's hunt.
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