6  - Resto et dessert

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Nous nous étions mis ensuite à la recherche d’un bon restaurant pas trop loin de l’hôtel, pour pouvoir y aller en marchant, et éventuellement pouvoir rentrer rapidement... Nous choisisons un italien assez classe, et demandons une table isolée pour un diner en tête à tête. Le jeune serveur nous amena à un petit renfoncement où se trouvait une table ronde avec uniquement une banquette autour pour s’assoir. Nous nous étions donc installés côte à côte, face à la salle presque vide que nous voyions à peine de là où nous sommes. Niveau intimité, on pouvait difficilement rêver mieux.

Nous avons donc commandé 2 flutes de champagne pour fêter notre anniversaire, avec un plateau d’antipasti qui servit à la fois d'apéritif et d'entrée. Nous avons parler de tout et de rien, nous nous embrassions régulièrement, nous tenant la main. Puis nous avons mangé nos plats, tagliatelles diavola pour moi (même si le piment n’est pas nécessaire…) et ravioles de saumon pour elle. La petite bouteille de prosecco les accompagnant descendit rapidement, provoquant une légère euphorie chez elle. Nous avons ensuite commandé 2 tiramisu en dessert, classique pour moi et aux fraises pour elle, et avons demandé l’addition.

Elle s’absenta alors pour aller aux toilettes, en exagérant légèrement le dandinement de ses fesses, consciente que je la materais. Elle revint quelques minutes plus tard, les joues rosies et les bras le long du corps. Elle se rassit à côté de moi et me dit:

- P’tit cadeau pour toi, ça me gênait…

Elle posa alors sur la table un tissu turquoise que je compris vite être son shorty !

Même si c’est bien le sous-vêtement que j’avais choisi, je décidais de vérifier tellement j’étais abasourdi. Je relevais l’ourlet de sa robe et posais mes doigts directement sur sa chatte humide ! Elle me souriait et haussa les épaules, comme pour me demander « Ça te dérange ? ». Je répondis à sa question silencieuse en l’embrassant passionnément tout en la caressant. Je m’interrompis en entendant des pas approcher. Le serveur, tout juste adulte je suppose, déposa nos coupes pendant que je récupérais le sous-vêtement en évidence sur la table. Je souris en le regardant, et le feu qui apparut sur ses joues m’indiqua qu’il avait très bien compris ce que je venais de mettre dans ma poche.

- Bonne dégustation messieurs-dame, nous dit-il avant de paniquer. Heu, enfin je veux dire, heu …

Il tourna les talons et courut plus qu’il ne marchait pour s’éloigner de nous, complétement mortifié. Nous avons éclaté de rire avant d'entamer nos desserts. A un moment, je lui proposais de goûter le mien, puis elle fit de même. Elle me dit alors:

- Tiens c’est bizarre, ma cigarette russe a pas un goût habituel…

Je croquais la mienne sans m’apercevoir de rien.

- Goûte celle-là, ajouta-t-elle.

Effectivement, il me fallut quelques secondes et son sourire coquin pour comprendre que le goût particulier était celui de sa mouille qu’elle avait déposée à la frottant sur son sexe nu. Dans tous mes états, je lui murmurais suavement:

- Putain, tu perds rien pour attendre …

- Pourquoi, je t’ai mis mal à l’aise ? minauda-t-elle.

- C’est surtout ma bite à l’étroit qui est mal à l’aise !

Elle passa sa main sur mon entrejambe et murmura:

- Effectivement… Tu finis ton dessert ou on peut y aller ?

En guise de réponse à sa proposition, je me levais et lui pris la main pour sortir. Mon T-shirt couvrait à peine la bosse dans mon short, mais je m’en foutais. Le serveur ayant visiblement oublié de nous déposer l’addition, il posa celle-ci sur le comptoir à mon approche, en prenant soin d’éviter mon regard. Je payais rapidement en espèce avec un pourboire pour sa peine, et il me remercia

- Merci bien messieurs-dames, et bonne soirée.

- Vous inquiétez pas pour nous, elle sera très bonne ! lui répondit ma femme avec un grand sourire

Il devint aussi rouge que la sauce tomate qu’il servait habituellement ! Nous sommes sortis main dans la main du restaurant et je la plaquais contre le mur à côté de l’entrée en l’embrassant fougueusement. J’appuyais ma bite contre son ventre pour qu’elle sente bien dans quel état elle m’avait mis. Elle me repoussa délicatement et m’entraina derrière elle.

Nous sommes entrés dans un parc quelques dizaines de mètres plus loin. Comme il faisait presque nuit, il était désert, et elle me poussa sur un banc avant de s’assoir à côté de moi. Elle m’embrassa férocement en me caressant à travers mon short. Je profitais qu’elle soit tournée vers moi pour passer ma main dans le décolleté de sa robe et saisir à pleine main son sein. Elle ouvrit la fermeture de mon short et sortit mon sexe à l’air libre. Elle me branla en gémissant dans ma bouche car je titillais son téton.

- Tu peux pas rester comme ça, me dit-elle en se mordant la lèvre inférieure. Préviens-moi si quelqu’un arrive.

Et elle baissa la tête pour me prendre en bouche. Elle me suça frénétiquement, aspirant en même temps, tout en me branlant, pour me donner un maximum de plaisir. Le message était clair, elle voulait me faire jouir rapidement avant que quelqu’un n’arrive. Je me laissais donc totalement aller, une main caressant sa tête. Loin de moi l’idée de la forcer à aller plus profondément, je la retenais même par les cheveux pour la faire ralentir. Le rythme devint exactement celui que je préfère et je sentis que j’allais bientôt craquer.

- Fais-moi jouir dans ta bouche !

Je sentis sa langue tourner autour de mon gland et mon orgasme me saisit brutalement. Elle ne s’arrêta pas pour pouvoir me vider entièrement, et je fus surpris de tout ce que j’éjaculais. Je la sentis déglutir au fur et à mesure afin de ne pas en perdre une goutte, et je pense qu’elle eut raison car sa bouche n’aurait jamais pût tout contenir.

Elle continua lentement encore quelques dizaines de secondes, le temps que mon sexe dégonfle entre ses lèvres. Une fois une taille plus modeste retrouvée, elle le remit dans mon boxer et referma ma fermeture éclair en souriant

- Oups, j’ai tout avalé !

Elle se leva devant moi en tenant ma main et la fait passer sous sa robe pour me montrer à quel point elle est trempée

- Par contre maintenant je dégouline. On va rentrer à l’hôtel pour que tu puisses me baiser violemment …

Elle s’enfuit alors, m’obligeant à m’extirper de la torpeur dans laquelle elle m’avait plongé pour la rejoindre en courant. Je lui pinçais les fesses, et lui dit:

- Avec plaisir !

***

Voila, nos 2 protagonistes osent de plus en plus. J'espère réussir à faire transpirer autant leur complicité que le désir de l'autre.

La soirée va être de plus en plus chaude, mais jusqu'à quel point? Prochain chapitre: " En apesanteur "

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